« La notion de Dieu pour justifier l’inexplicable naturel et surnaturel, a pris rapidement corps et s’est répandue dans l’humanité. »
Très tôt, un partie de l’humanité a su exploiter l’obscurantisme de l’autre ; sa crédulité et ses supersitions, pour encourager et codifier des croyances inspirées par une angoisse existentielle largement partagée, jusqu’à en tirer un pouvoir considérable ayant permis de structurer la sociéte et d’en faire les rois.
S’est ainsi établie la complicité objective de tous les pouvoir, à commencer par le religieux et le politique, plus soucieux du nombre que du bien-être des êtres humains sur lesquels ils se fondent et prospèrent depuis.
Mais parce
qu’il doit impérativement ne serait-ce que se nourrir, se vêtir,
se loger et se soigner, l’être
humain plus que tout autre être vivant est un consommateur. Et
il
l’est
depuis
sa conception jusqu’après sa mort, se doublant
d’un producteur dès qu’il est en âge de travailler. Il est
ainsi, avant toute autre opinion ou considération, un agent
économique au service du développement de l’économie et de la démographie humaine. Et plus le nombre de ces agents
augmente, plus leurs besoins s’accroissent – outre ceux qu’ils
s’inventent toujours plus nombreux –, plus ils produisent,
consomment, échangent et s’enrichissent, avec l’aide du progrès
scientifique et technique, quelles que soient les conditions du
partage de leurs richesses. Qu’il s’agisse de ressources non
renouvelables ou de pollution, les atteintes à l’environnement
augmentent d’autant et s’ajoutent à celles d’une nature jamais
avare de catastrophes inopinées ou cycliques.
Tous
les malheurs du monde,
que l’homme a la capacité de maîtriser,
en découlent et
sont aggravés
par
le caractère incontournablement
pyramidal de la
société, dû au fait que richesse et pauvreté existent
l’une
par l’autre,
dans leur relativité –
sans riches point de pauvres et réciproquement –,
et que le hasard assigne à chacun, à sa naissance, sa place au sein de cette
pyramide sociale, quels
que soient les aléas heureux ou malheureux de son existence par la
suite et jusqu’à sa mort.
Structurellement, les
pauvres s’y
multipliant
à une cadence qui
est
plusieurs
fois
celle des riches, c’est
dans ces conditions, que sous la pression de êtres
humains qui
viennent constamment s’ajouter à la
population
mondiale (220 000 quotidiennement actuellement), que
la
pyramide sociale
s’hypertrophie toujours plus et que son sommet s’éloignant
incessamment de sa base,
les écarts de richesse entre ses occupants se creusent
inéluctablement d’autant, avec toutes conséquences d’ordre sociopolitique et environnemental.
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