@Eric F

Effectivement, le compte de @troletbuse existe encore. J’ai lu @golum se féliciter de son éviction. Quels éléments avons-nous pour mener l’enquête ? Pourquoi le site « citoyen » se croit-il dispensé de fournir des explications ouvertes ?

Dommage que @panoramix ne vienne pas défendre en avatar son affirmation. L’arborescence des hypothèses qu’on peut raisonnablement faire sur Crocus City (pour autant que la pratique avérée du false flag soit raisonnable) est d’autant plus complexe que, derrière notre écran, nous pouvons remettre en cause quasiment tout ce qui nous est présenté comme des faits. Quel aurait été l’apport d’un @garev en cette occasion ?

En 2001, j’habitais Toulouse. Aucune victime dans ma famille ou mes connaissances directes ; et pourtant, le simple souvenir de l’odeur d’oeuf pourri amenée par le vent suffit à me suggérer l’ampleur qu’aurait pu connaître ce drame. Mon fils était proche du site AZF au moment de l’accident ...
Dans les jours qui ont suivi, presque tout le monde a semblé se résigner à ne jamais savoir la vérité. Bien plus tard, on m’a donné à lire le livre d’un chercheur de vérité indépendant ; le scenario qu’il propose est plus plausible que toutes les fausses pistes semées par la Dépêche et consorts, jusque dans les dossiers d’instruction.

Avant de vous répondre, j’ai fait une recherche rapide sans retrrouver son titre. Faites-le et vous verrez comment le web dilue mieux la vérité que le vaguemestre d’antan.

Sur des éléments crédibles, obtenus non sans mal, l’auteur affirme qu’une ligne électrique désaffectée de grande puissance passait exactement sous le hangar, et qu’un incident sur le réseau de distribution témoigne sans doute de l’arc électrique qui a amorcé l’explosion. Lui ne situe pas l’origine de l’incident à la SNPE, mais de l’autre côté du câble, chez EDF (de mémoire, vers Saint Cyprien). Je n’ai pas plus retrouvé de critique de cette proposition que le bouquin sur internet. Faudra que je croise celui qui me l’avait prêté, ce sera plus rapide.
En attendant, sachez que le milieu de la chimie sur Toulouse trouvait très improbable les hypothèses avancées pour l’amorçage de l’explosion.

Si la conclusion est exacte, on a su très vite chez EDF la cause technique de l’accident : un problème informatique qui n’aurait pas eu lieu si la maintenance avait été faite. La technique du « pas de vague » est tellement bien élaborée qu’elle explique qu’aussi bien chez EDF, que chez les décideurs locaux on ait préféré nous servir des années de salades plutôt que de reconnaître les erreurs que sont cette négligence et le maintien d’un stock explosif dans une grande agglomération.

Les techniques d’enfumage s’affinent. L’attentat de Crocus City conduira-t-il les services de renseignement à mettre en place un Poutine mondial ?