Bonsoir, mais le boom démographique
ne légitime guère le massacrer d’innocents, et l’usurpation de leurs terres,
comme c’est le cas en Palestine. Concernant la deuxième remarque, vous avez raison ;
mais j’ai préféré évoquer l’Histoire plutôt que la nature humaine puisqu’il y a
un rapport de métonymie entre les deux. De même, le concept d’Histoire autorise
une nitescence viscérale de la nature
humaine à différents stades de son existence. Bien à vous.
Bonsoir, dans mon article j’ai
soutenu que « les victimes s’y comptent par million », ce n’est point
un argument captieux, ni un gage de mauvaise conscience. L’expression « Million
de morts » communique une charge sémantique plus forte. Il s’agit
commodément de rendre à César ce qui est à César, et admettre sans se cacher la
face que des « millions de morts » sont le corollaire de la tyrannie
du vouloir. En outre, cette locution est loin d’être pléonastique. Cordialement.