Je précise que la décision temporaire du juge espagnol est totalement inique :
-
le retrait des documents a été décidé au nom de l’urgence, alors que
les documents sont vieux et publiquement disponibles depuis 8 ans.
- la décision a été prise sans audition de l’accusée,
- les documents divulgués n’ont jamais été publiés, ils n’ont ni ISBN, ni copyright
-
l’Opus Dei n’est pas le détenteur d’éventuels droits d’auteur, puisque
Escriva a omis d’écrire un testament et que les droits supposés
reviendraient à son frère, unique légataire légal.