@Zen-Zoe, ce que je ne partage pas avec vous c’est que votre définition de la liberté des femmes les limite dans un ni ni moyen, réserve les choix extrêmes que nous offre la liberté, aux seuls hommes. C’est un féminisme paternaliste (si vous saisissez l’ironie du terme).
Si elle font le choix A, elle ne sont pas libres, si elle font le choix B, elle le sont, interdisons donc le choix A et nous serons enfin libres mes sœurs.
C’est le ni-ni de ni-putes ni-soumises. Or pour moi la liberté est un absolu, qui implique aussi les choix extrêmes pas pour tout le monde, mais pour celles qui le souhaitent : un peu pute un peu soumise, ni l’un ni l’autre, très pute et pas soumises du tout...