Je me place pour ma part plus dans l’espérance que dans la croyance : je ne sous-estime pas la bêtise des électeurs, leur volatilité, le peu de mémoire dont ils savent faire preuve. Rien n’est gagné d’avance, je ne me permet que l’espoir de voir dégager la droite.
Question croyance, j’ai bien peur de passer de l’espoir à la déception une fois que cela sera fait.