Tout à fait, symbiosis. A ce titre, une surenchère de moyens techniques apparait comme tout à fait superflue, quoique imaginable mais ce serait pur gaspillage.
Mais Clojea aime bien la science fiction : il pense avoir appris des choses en lisant Hubbard, un auteur pourtant raté.
La scientologie aime bien faire peur dans le but de racoler. Ils font peur aux gens qui connaissent des difficultés psychologiques en leur disant que les médecins psychiatres sont des barbares du temps de l’URSS, tout cela pour que les gens restent vulnérables à la manipulation et n’aillent pas soigner leur angoisse ou leur dépression. Et elle aime bien faire peur également en ce qui concerne les moyens techniques de surveillance, en disant qu’il s’agit d’une horreur qui pourrait priver monsieur toulemonde de sa liberté. La secte joue sur la corde sensible afin de recruter des adeptes prêts à donner leur pognon. La scientologie va même jusqu’à distribuer sa propagande dans les écoles.
De ce fait, vous ne m’en voudrez pas d’émettre quelques doutes à propos de la prose de Clojea, le « grand libérateur ».