« L’intérêt de la Grèce est d’opérer rapidement une dévaluation
compétitive avant que ses institutions ne volent en éclat et que les
manifestations ne se transforment en insurrection, ce qui ne manquera
pas d’arriver ce printemps selon tous les signes avant coureurs. »
Fantastique solution qui ouvrirait de part en part les portes de la Grèce, déjà extrêmement poreuses, à la vague déferlante du libéralisme financier à moins qu’elle n’entre dans une période d’au moins trente ans d’autarcie dictatoriale à la Franco ou à l’albanaise. Que de plaisir en perspective, pour les Grecs !