Non pas du tout, c’est d’abord la faute de Goldman Sachs (avec la complicité des Allemands et du groupe Siemens) qui a pondu un rapport foireux - et l’a remis aux gouvernants - pour que ce pays rentre au chausse-pied dans divers critères de convergences.
On sait aujourd’hui que Sachs a menti sur les chiffres et que son rapport était faux du début à la fin.
Le peuple grec n’a pas eu voix au chapitre... mais s’est réveillé un matin avec une dette qui a été masqué par des banksters... avec la complicité du gouvernement (ce qui lui a coûté sa place)