Et si on se débarrassait du foot, ce néant absolu où des millionaires courent derrière une ba-balle lorsque le chèque du mois a été suffisant, cet océan de pognon ratissé sur le dos de masse de laborieux que l’on colle devant un écran de télé pour leur occuper le cerveau et ne pas les laisser glisser vers la réflexion ou la révolte ?