Ce qui est à la fois le problème et la solution : il y aura des souffrances, mais notre peuple ne se soulèveront, comme toujours dans l’histoire des révoltes et des révolutions, que quand la faim concernera au moins un tiers de la population.
Et comme toujours, on brandira des têtes au bout de piques : espérons que ce seront les bonnes.