à Spartacus. je réponds tout en sachant que c’est un dialogue de sourds. Ces arguments sont ultra connus. Ce sont ceux des monétariste anglo-saxons. Je ne vais chercher à convaincre les ultralibéraux, il y aurait trop à faire. L’économie réelle, rationnelle, est celle que je décris dans mon livre.Je ne ferai que me répeter : il ne faut pas prendre sans arrêt les conséquences pour les causes. La période économiquement favorable à tous a été keynésienne : les trente glorieuses. Ce n’est pas une coïncidence. Il est curieux de voir que les américains, et surtout les japonais se lancent dans une économie keynésienne.