Belle évocation !
Quand tous les couillons qui rêvent de combats de chars, d’avions de chasses et de missiles se demanderont sérieusement à qui profite les guerres : on aura avancé d’un bon pas...
Hélas, banquiers, chefs religieux, ou politiciens avides (pléonasme ? ) ne l’entendent pas ainsi : arriveront-ils à convaincre une nouvelle fois leurs ouailles que « la patrie est en danger » ?
Merci à l’auteur.