Le problème que pose ce changement est assuranciel.
L’avortement désigné comme « situation de détresse » relève de l’accident ou l’impondérable pour une assurance maladie.
A partir du moment ou c’est de l’avortement de « confort », il est craindre que nombre de mutuelles émette des remboursements de l’avortement en « option », voire lors d’une future réforme de la sécu-Madoff pour faillite, que les actes de « confort » subissent une franchise.