Aucun foutoir dans ma tête.La liberté de frapper sa propre monnaie sans emprunter avec intérêt à la banque centrale est bien la clé de la maîtrise de nos finances.
Et une bonne inflation, plus ou moins maîtrisée, si elle est l’ennemie du capital (qui s’effrite) est l’amie indiscutable des jeunes acheteurs : j’en ai fait, à l’époque, l’expérience, à la fin des années 70. Elle permet une sorte de transfert équitable des richesses.
Elle permet en définitive l’effacement progressif et rapide de la dette, qui est notre ennemie de toujours. Et qui n’en serait pas arrivée à ce stade démentiel si l’inflation s’était gentiment poursuivie.