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ohlala (---.---.124.230) 19 octobre 2006 23:42

Libé. Quel employé, quel patron, quel actionnaire, dans quelle entreprise, a pu rester 32 ans à son poste, fusse-t-il parmi les fondateurs ? Pas sûr que ça existe dans un secteur si chaud. July l’a fait. Sans se rendre compte que le monde tournait. Déjà, dans la posture de commentateur télé pour des publics qui n’avaient jamais ouvert son journal il frisait l’arnaque. Dans le rôle Labellisé Patron de Presse.

Plenel. Un autre « patron de presse » arrive et les malheureux font semblant d’y croire.On refait le net, le quotidien, le magazine, ouais allons-y, mais pour quels lecteurs ? Regagner les anciens lecteurs partis ? Trop tard, ils ont goûté à d’autres plaisirs ailleurs, et quand on a quitté, c’est rare qu’on y revienne. Il faudrait un bouleversement de société pour repartir avec un journal.

Exemple. Citer en exemple le New-Yorker, c’est déjà signe de facilité, pire, de manque d’imagination. Et pourtant le New-yorker lui-même a radicalement changé dans les années 80. Aprés s’être fait racheter pour pas cher par Condé Nast. Le changement a été fulgurant et il n’y a pas eu beaucoup de survivants parmi le personnel. Mais ces années là, le net n’était pas ce qu’il est, la pipolisation à tout crin arrivait. Et ce tournant réalisé, la rédac chef est partie pour un groupe... de développements multimédia, comme on dit.

Plenel pour un « quotidien de gauche »... mais c’est quoi, c’est qui la gauche ? On oublie cette frime fashion-pub, pipoles-en-promo-en-portraits ?

Juste des paroles de patron de presse. Un job à revoir.


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