Pour ce qui est de l’Ecosse, je pense que le NON se situera
entre 55 et 60 %. Les sondages sont une chose, mais il y a lieu de penser que
de nombreux électeurs cèderont à la peur de l’inconnu dans l’isoloir, après le
matraquage qui leur a été infligé, en pensant, pour « se justifier »,
qu’à la différence du OUI, le NON ne sera pas irréversible.