« ...dans le poker menteur des négociations avec la troïka, Syriza n’a pas le moindre atout. »
La Troïka, c’est fini. Tsipras l’a annoncé à peine connu les résultats des élections du 27 janvier. Et c’est vrai, maintenant, on parle des « Institutions » pour désigner les mêmes garde-chiourme.
Ce qui a provoqué la colère de Manolis Glezos, légende vivante de la résistance grecque au nazisme, qui s’est épanché, le 22 février, dans une lettre datée de Bruxelles - à 91 ans, il est encore député européen :
« Renommer la Troïka »institutions« , le Memorandum »accord« et les créanciers »partenaires« , c’est comme baptiser le poisson »viande« , ça ne change pas la substance. », a-t-il ironisé