@prismsoul
Je reviens sur le poinçonneur, mon dada.
L’automatisation du contrôle des billets, très inefficace, laisse passer une fraude de 500 millions par an.
Ajoutez le prix ahurissant des automates, et de leur maintenance, le vandalisme, et le coût du chômage induit par la disparition des contrôleurs.
Ajoutez les patrouilles de sécurité qui arrivent comme les carabiniers et ne sécurisent que les esprits.
Faites le total, et demandez-vous s’il ne valait pas mieux garder les poinçonneurs du métro.
En fait, on a automatisé pour éviter de payer des charges, comme dans l’industrie automobile.
Petit calcul mesquin. Qui nous conduit au chômage actuel.
En fait, il faudrait que les automates payent des charges sociales au pro-rata des emplois qu’ils suppriment. On chercherait moins alors à automatiser en supprimant des emplois.
Mais ce sont les actionnaires qui sont à la barre, alors il faudra du temps.