Les cons et les salauds. Les premiers élisent les seconds, moins nombreux mais mieux organisés. Le con, comme son nom l’indique, n’est pas très finaud : il croit qu’en allant pisser dans un isoloir il va changer sa vie alors qu’il change seulement le clan de salauds qui va lui en faire baver.
Ainsi va le monde depuis Périclès, inventeur grec de la démocratie, modèle le plus abouti de l’exploitation du con par le salaud.