La communauté des économistes semble avoir embrassé le sujet depuis un moment, sans évidemment apporter de solution miracle.
Si l’on prend le cas du réchauffement climatique, on assiste ainsi à un joli débat entre radicaux (j’agis à fond sur un levier macro) et partisans de ce que j’appelle « la multiplication des coins » (leur rationnel : on parvient aussi efficacement à infléchir fortement la courbe macro en commençant au plus tôt à jouer plus légèrement sur chacun des leviers possibles).