Les tribunaux seraient donc « surchargés » de mise en cause de chefs d’entreprise qui ne pensaient pas à mal... Les prud’hommes seraient aussi « surchargés » de contestations de licenciements, et Mme Parisot appelle de ses voeux l’époque où on ne recourra pas systématiquement à cette institution.
Où peut-on avoir les chiffres réels de cette « surcharge » ? J’ai du mal à me faire une idée sans données objectives.
En tout cas, l’annonce est catastrophique, elle accrédite l’idée que les patrons échapperont à toute poursuite. Devant le peuple, qui se pose des questions sur l’honnêteté de ses dirigeants politiques et économiques, là, on peut dire que l’effet sera radical.