Valérie Pécresse n’a jamais dit que les capitaux privés se substitueraient au financement public, mais on fait comme si. C’est tellement plus facile. En réalité, il s’agit d’ouvrir la voie à un co-financement public-privé, où le privé viendrait renforcer les moyens existants. Pas de quoi vociférer. Cette gauche là est décidément complètement tarte ou complètement manipulatrice.