Merci à lerma pour toutes ces précisions et toutes mes excuses à ceux qui ont trouvé cet article incompréhensible.
Je défends simplement l’idée que nous vivons actuellement une forte crise politique locale qui contrarie le développement de droits fondamentaux dont nous avons fort besoin dans ces temps de flexibilité.
Le droit au logement constitue une réelle avancée en ce sens et répond à des besoins dont il ne faut pas sousestimer l’ampleur.
Il ne pourra réellement se mettre en place que si les collectivités locales s’en empare.
Pour l’instant ce n’est pas le cas.