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hihoha 26 juin 2008 06:50

Bismallah Habibi constant dans la corânerie :

Extraits du Coran, traduit de l’arabe par Régis Blachère, 

Professeur à la Sorbonne

G.P. MAISONNEUVE & LAROSE éditeurs 1966.

 

Maintenant étudions un peu mon frire :

La séparation de la société en deux groupes bien distincts a aussi pour effet d’induire des comportements homosexuels, ce qui est assez fréquent chez les arabo-musulmans.

A l’époque de l’empire ottoman, bien après le début de l’islamisation, diverses tribus irano-turco-tartares célébraient encore la fête de Basm, un rite homosexuel au cours duquel les « Batscha » - jeunes garçons élevés et vêtus comme des filles - étaient mis à la disposition des hommes de la tribu. On sait, d’autre part, qu’un grand nombre de califes (successeurs du prophète et commandeurs de croyants) étaient entourés de « mignons » qui leurs servaient d’esclaves sexuels. On verra également, dans la seconde partie de la présente étude, que le coran fait état de « jeunes garçons » qui font office d’esclaves au sein même du « paradis d’Allah ».

De même, on trouve de nombreux témoignages d’homosexualité chez les femmes musulmanes, et pas uniquement dans les harems. C’est ainsi qu’Al Hassan Ibn Mohammed Al Wezaz Al Hassan raconte (dans son « Leo Africanus » écrit en 1526) qu’il existait, à Fez (Maroc), des groupes de femmes surnommées « sahhaqat » qui formaient une sorte de secte lesbienne. Elles jouaient un rôle de « guérisseur pour femme » et, en guise de salaire, elles se faisaient accorder des faveurs sexuelles. Elles invoquaient le fait que « les esprits » exigeaient ces faveurs. Mais bien souvent, les femmes fréquentaient les sahhaqat dans le seul but d’avoir des relations sexuelles avec elles. Elles feignaient d’être malades et parvenaient parfois à entretenir une sahhaqat sous prétexte qu’elles étaient « possédées du démon » et que seule la présence de la sahhaqat pouvait la protéger du mal.

Sans aller jusqu’à ce genre d’homosexualité organisée, on rencontre encore, dans la société musulmane, de nombreux cas d’homosexualité, tant masculine que féminine. En Europe occidentale, les travestis et les homosexuels qui se prostituent reçoivent fréquemment la visite de clients qui sont de confession musulmane. En extrapolant les données statistiques disponibles, on peut calculer qu’il y a sans doute deux à trois fois plus d’homosexuels (confirmés ou non) chez les arabo-musulmans qu’au sein des populations non islamisées (Etats-Unis mis à part).


Transexuel(le ?) d’origine maghrébine posant pour des photos à caractère pornographique
en compagnie d’un homme également d’origine maghrébine.

Chez les Chrétiens, les effets pervers de la religion tendent à s’estomper, exception faite pour quelques sectes qui prétendent, comme les Juifs orthodoxes et les musulmans, s’en tenir à la lettre du « message de dieu ».

De nombreux prêtres catholiques ont été impliqués dans des affaires de pédophilie mais il ne faudrait pas croire que les dignitaires musulmans soient exempts de cette perversion.


Imam licencié pour absentéisme
L’imam de la principale mosquée de Nîmes, agressé il y a quelques jours à la suite d’une rumeur d’attouchements, a été licencié par l’association gérant le lieu de culte, officiellement pour absentéisme, a-t-on appris hier auprès de l’association.
L’imam Mohamed Khattabi, 42 ans, marié et père de trois enfants, avait déjà été privé de prêche après le scandale lié à la rumeur, qui est resté confiné à l’intérieur de la communauté musulmane, aucune plainte n’ayant été déposée à la police.

Comme en témoigne l’article çi-dessus, si l’on entend peu parler d’imams ou d’ayatollahs pédophiles, c’est surtout que les musulmans ne souhaitent pas que cela se sache et ne portent pas plainte. Ils sont parfaitement conscients qu’il serait catastrophique pour leur religion qu’un dignitaire de l’islam soit amené à s’expliquer devant la justice républicaine et laïque car il ne manquerait pas de se défendre en se référant au « beau modèle » musulman : Mahomet, qui épousa l’une de ses femmes (Aïcha) alors qu’elle n’avait que six ans.
Cet article est aussi emblématique de l’hypocrisie qui règne dans le milieu journalistique, particulièrement dans les milieux soi-disant de gauche. Le titre de l’article est Imam licencié pour absentéisme alors qu’il aurait du être Imam soupconné d’attouchements licencié pour absentéisme. Si la personne incriminée avait été un prêtre catholique, le titre eut été sans l’ombre d’un doute "Un prêtre soupconné d’attouchements". Mais bien entendu, il faut être "tolérant" avec les "bons musulmans", tandis que l’on peut sans se gêner cracher sur les "mauvais chrétiens". Deux poids, deux mesures : il serait temps que les journalistes appellent un chat "un chat", qu’il soit musulman ou martien.
 

Quand des prêtres catholiques abusent des enfants, il y a des lois et une justice qui va leur demander des comptes. Les mollahs SONT la loi, la justice et le gouvernement. Ils peuvent se laisser aller à leurs vices en public : qui pourrait les en empêcher ?
Si l’homosexualité est passible de la peine de mort selon la religion musulmane, la pédérastie par contre est permise.
Photo www.homa.org


 

L’islam interdit aux femmes d’épouser des non-musulmans, tandis qu’il autorise les hommes à épouser des non-musulmanes, suivant en cela le « beau modèle » musulman, Mahomet, qui épousa des juives et des chrétiennes. C’est ainsi que l’on peut trouver des petites annonces ouvertement basées sur la ségrégation religieuse, telle celle reproduite çi-contre. Si l’on trouve aussi des petites annonces de femmes cherchant à assouvir le classique fantasme du noir, il ne s’agit pas en l’espèce de ségrégation (ou alors il faudrait parler de ségrégation positive, telle celle qui existe aux USA pour obliger à intégrer certaines couches de la population). La femme ayant rédigé ce texte ne cherche pas le moins du monde à assouvir un quelconque fantasme mais ne fait que suivre les préceptes de sa religion. On retrouve cette volonté de ségrégation chez les juifs orthodoxes, dont Mahomet a copié les pratiques, tandis qu’elle apparaît peu chez les chrétiens et en tous les cas pas de manière codifiée.
D’aucuns s’acharnent à vouloir présenter l’islam comme une religion « tolérante » mais il n’empêche que ce n’est que dans l’islam que l’on trouve des interdits ségrégationnistes et sexistes officiellement codifiés en ce qui concerne les mariages mixtes.
 

 


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