En 1998 dans un entretien à La Tribune, le très social Baron Antoine Seillière, président du CNPF (le MEDEF d’alors) disaient que "les entreprises paieraient à hauteur de ce que peuvent payer les clients" et "que l’état pourraient le cas échéant compléter ce salaire par un revenu de solidarité". Sarkosy le pourfendeur du capitalisme amoral vient d’ajouter "active" et le rêve d’Antoine s’est réalisé.
Le MEDEF peut ainsi compter sur une Réserve de Salariés Affaiblis, merci Martin. Qu’est ce que l’on ne ferait pas pour passer à la postérité !