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JAcky 30 septembre 2008 17:58

Il me semble qu’il existe quelques differences dans les modes de circulation du capital et du travail, qui font qu’on ne peut pas reellement comparer leurs ajustements respectifs entre offre et demande. Les capitaux sont mondialises, liquides et interchangeables. Le travail l’est evidemment moins, meme s’il existe dans une certaine mesure une concurrence mondiale du travail.

Neanmoins, je pense comprendre votre these, si l’on se place dans un contexte ultime, une sorte de fin de l’histoire economique. Que faire du travail et du capital le jour ou il n’y a plus de croissance. Ce jour est-il arrive ? si ce n’est pas le cas, comment expliquer le chomage et l’(apparente) surabondance de capitaux ? s’il n’y a pas/plus de perspectives reelles de croissance, le capital n’a t’il pas tendance a se concentrer et pour finir tuer le marche liberal sur lequel il prospere ?

Heureusement, je ne crois pas que nous sommes a la fin de l’histoire economique. Il n’y a aucune raison a cela, en premier lieu parce que les 3/4 du monde ne sont pas encore entres dans l’histoire economique moderne.




 


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