Vous commencez, j’espère, à me connaître assez pour ne pas penser que je suis un simple relais d’une hypothétique "pensée" sarkozienne, ce qui, par ailleurs, serait incompatible avec mon attitude libérale (ultra neo pour faire plaisir).
Quand à diminuer le nombre de fonctionnaires, le but, qui ne serait pas une révolution en soi, de nous amener à un poids de l’état comparable à celui de nos voisins me paraît un minimum du souhaitable.
Bidonné les chiffres de Marseille ? Plus, ou moins que ceux de la FCPE et des syndicats enseignants ?
Jetez l’eau du bain, si vous voulez, mais pas le bébé. L’état-providence est en crise profonde, et seul le libéralisme pense l’après-état. Des apories, le libéralisme n’en est pas exempt, je ne le nie pas. Mais l’attitude qui consiste à vouloir encore voir bouger le cadavre ne nous avancera pas.