C’est gentil d’exonérer Sarko et sa bande.
Ne sont-ils pas d’un gouvernement qui prône la suppression de milliers d’emplois dans les services publics ?
J’en suis encore à me demander comment, au sortir de la guerre, on a eu les moyens de nationaliser.
De nos jours, le leitmotiv est :
Nous n’avons pas les moyens...
Peut-être revivrons nous un jour une renationalisation d’entreprises dont les patrons, comme M. Renault en son temps, seront considérés comme des traîtres dans une guerre économique où ils n’ont pas fait preuve de beaucoup de civisme, c’est le moins que l’on puisse dire.