C’est évident que l’objectif poursuivi est d’intégrer tout ça sous la houlette, non des laiteries, mais des (grands) distributeurs, qui détermineront le prix optimal pour satisfaire leurs actionnaires. En gros, la tiers-mondisation des producteurs laitiers. Bienvenue dans le XXIe siècle, qui sera pourri par le bizeness ou ne sera pas.