Un donneur sachant donner doit savoir donner sans « faire don », en exceptant la règle du donnant donnant, dis donc !
Il faut alors voir en pareil don quelque pardon du donneur à l’égard du donné.
Par donner, l’on devra dès lors entendre pardonner.
Ainsi va le donneur, dont l’attente s’origine dans le pardon d’un donné pas toujours prêt à pardonner !
Mais s’il y a farce en cette fable, qui en est le dindon ?
Sinon, s’il est question d’amour, le don n’est pas cupide, mais celui d’un cupidon !
Ici pour l’étude du don, comme ailleurs, tout est question de justes données.