Il y a un paradoxe dans l’attitude des croyants de l’Apocalypse : les moyens dont ils semblent disposer paraissent illimités. Pourtant avec une faible partie des sommes engagées dans la lutte contre un hypothètique changement climatique d’origine anthropique suffirait à régler le problème de l’eau et de l’assainissement pour tous les humains.
C’est ce qui révèle la part délirante de ce messianisme.