Le problème c’est que cette erreur maloncontreuse et quelque part condamnable, n’empèche pas le déclin des glaciers himalayens. La vitalité d’un glacier ne dépend pas seulement des températures mais aussi et surtout des précipitations qu’il reçoit dans son bassin d’alimentation, le réchauffement climatique risque (ça se voit déja) d’altérer ce régime de précipitations.
Pour le reste, je vois que les négateurs du réchauffement n’ont pas grand-chose comme arguments scientifiques à opposer, ils se contente de ronger quelques os comme cette erreur.