Bonjour Frérot !
Comme cette douce nostalgie est tendre à nos coeurs. Cet hommage à Pagnol est aussi voluptueux que les ouates de pollen qui volent aux rayons des buccoliques journées de printemps...
Et si on cassait tout ce qui dépasse un étage ? Et si l’on se réappropriait l’espace ? Si nos campagnes reprenaient vie pour que nous puissions à nouveau jouer aux aventures les plus folles au bout du champ d’en face, là-bas tout au bout, loin, si loin...
Merci Jack.