Les lecteurs du Figaro ou les curés de de la « gauche » bedonnante ne l’apprécient pas,
quoi de plus normal, c’est même très rassurant pour la santé de son humour.
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Il n’était pas toujours inspiré (quoi de plus normal, il faut tenir le rythme) mais ses chroniques resteront pour moi et pour beaucoup d’autres gravées dans les anales de l’humour.
Ses deux dernières sonnent comme un bouquet final.
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Comme tant d’autres, sa chronique de lundi dernier restera un moment d’anthologie ou sous un humour apparemment potache il lève le voile sur l’immense tragédie d’une France dirigée par un gang maffieux d’incompétents, stupides.
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Guillon a un immense talent, n’attendons pas qu’il soit mort pour s’en rendre compte !