pastori,
Je n’ai pas l’habitude de tendre l’autre joue, et Djanel me cherche en permanence (enfin... dans le cyberespace).
Je crois que déjà l’audition de chaque ministre et secrétaire d’état devant l’Assemblée serait une bonne chose.
Par contre, virer le président « n’importe quand » provoquerait une belle pagaille.
On dirait que le chemin du juste milieu ne fait pas recette. On doit pouvoir dire stop à un président abusif, sans pour autant sortir la bombe atomique d’un renvoi.
Ou alors (et je serais assez pour), un retour à la IIIe République - un président qui a un rôle national et non politique, et un premier ministre qui dépend de la majorité à la Chambre.