Le jeune n’a pas changé. les reproches qui lui sont portés sont les mêmes qu’il y a 50 ans, à l’époque où on l’accusait de trahir l’exception culturelle française en mâchant des chewing-gums et en écoutant Elvis Presley.
Déjà, les « anciens » expliquaient que les jeunes étaient paresseux et que le niveau scolaire avait baissé. Perpétuelle rengaine ressassée par des jeunes devenus vieux et désenchantés de ne pas avoir agi pour faire évoluer le monde de manière plus juste et honnête.