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Libr'Op Libr’Op 26 novembre 2010 13:51

Excellent pamphlet ! Certes mais dédramatisons le débat. Tout cela n’est que fadaises, fariboles... fables, On le sait bien, n’est-ce pas ? Pour preuve : mardi 23/11/2010, à la tribune de l’Assemblée nationale, le député socialiste Bernard Cazeneuve a soulevé à l’attention du ministre de la défense, deux questions précises : 1° Un administrateur de la société Heine, qui aurait servi à acheminer des « commissions » dans l’affaire du Karachigate, a-t-il oui ou non bénéficié d’une indemnisation ou dédommagement de l’Etat français à hauteur de 8 millions d’euros 2° Et si oui, pour quel motif ? Sur un autre média en ligne, nous avons publié la nouvelle avec la remarque suivante : En 1994, à la signature du contrat Agosta sur la vente de trois sous-marins au Pakistan, le ministre des affaires étrangères n’était-il pas M. Alain Juppé, et son directeur de cabinet un certain Dominique Galouzeau de Villepin, sur le point le 23/11/2010 d’être entendu par le juge Van Ruymbeke ? Est-ce pour cette raison que M. Alain Juppé, ministre de la défense, s’est dispensé de répondre au député Bernard Cazeneuve et que c’est le tout nouveau ministre de la justice qui l’a fait à sa place pour renvoyer l’affaire aux juges le petit doigt sur la couture. Notre « post » a été supprimé. Nouvel essai le lendemain, hier, en bas d’un nouveau « post » : Dominique Galouzeau de Villepin était le directeur de cabinet d’Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, en 1994, quand le contrat Agosta a été finalisé. Re-supprimé.
 C.Q.F.D.
Le fait que Dominique de Villepin ait été directeur de cabinet d’Alain Juppé au Quai d’Orsay en 1994 est une information « sensible » et hautement « censurable ». A votre avis pourquoi ?
Mais comme dit Hervé Gattegno sur une radio, ce matin, Karachi, c’est l’affaire qui rend fou ! Le journaliste de s’étonner du « silence assourdissant » d’un certain François Léotard qui, en 1994, était aux premières loges en qualité de ministre de la défense. Dominique de Villepin est resté silencieux « 10 minutes », dit-on, devant le juge Van Ruymbeke. Le silence de l’agneau ou le silence de l’omerta ?


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