En fait, compte tenu de l’accroissement de la richesse créée, l’enrichissement des riches est disproportionné et se fait au détriment des pauvres.
Je résume en disant que c’est parce que les pauvres deviennent plus pauvre que les riches deviennent plus riche.
Rien ne se perd, ce que les uns ont en plus, les autres l’ont en moins.
Les politiques ont perdu le sens des réalités : c’est l’espèce humaine qui est importante, pas le compte en banque d’une minorité de privilégiés.