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À Mohamed Brahmi

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Manifestation à Tunis, sur l’avenue Habib Bourguiba, le jeudi 25 juillet 2013, après l’annonce de l’assassinat de Mohamed BRAHMI-Photo Demotix/Hamideddine

Depuis l’arrivée des islamistes au pouvoir en Tunisie, il y a eu trois assassinats politiques visant des personnalités de l’opposition. Le dernier en date est celui de Mohamed BRAHMI, député à l'Assemblée Nationale Constituante, qui a été abattu, en plein mois de ramadan, ce jeudi 25 juillet 2013, jour du 56e anniversaire de la proclamation de la République tunisienne, devant son domicile et sous les yeux de sa famille , de quatorze balles tirées à bout portant par deux exécutants circulant à moto, Même modus operandi que pour l’assassinat de Chokri BELAÏD, un autre opposant de gauche, qui avait été exécuté, le 6 février 2013, même arme et même équipe d’assassins, a confirmé le Ministre de l'intérieur tunisien, lors d’une conférence de presse donnée le vendredi 26 juillet.

Aujourd’hui, samedi 27 juillet, Mohamed BRAHMI va entamer son dernier voyage.

 

Toi, le révolutionnaire avant l’heure, le patriote, le tribun,

Je suis sans voix devant la lâcheté de tes assassins

Et de nos islamistes au pouvoir qui leur ont donné un blanc-seing,

Par leur laxisme, leur discours et leur déclaré funeste dessein,

Sans oublier celle de leur Grand Gourou et son avéré soutien

 

Pour deviner leurs commanditaires, pas besoin de dessin

Ils appartiennent à l’autre pôle de notre monde confirmé manichéen

Celui des ténèbres, des double-discours, des tartuffes et des malsains

Création de l’Oncle Sam, de ses valets et leurs pétro-machins

 

Ils ont commis leur forfait en ce mois sacré, en ce mois saint

En ce jour anniversaire de notre régime républicain,

Ignorant que ton sort n’est pas celui du commun des défunts :

Tu n’es pas mort, Mohamed, tu es vivant dans nos cœurs, hier comme demain 

 

Puisse ton sacrifice, après celui de Lotfi et Chokri, sonner, enfin, le tocsin

Des ambitions personnelles de nos démocrates et des projets de ces miliciens

Qui t’ont abattu, froidement, ce jeudi 25 juillet, devant les tiens

Nos démocrates dont la division, par le passé, nous a mis dans ce pétrin

Et qui, aujourd’hui, par leur égo et leurs projets politiciens

Risquent de faire sombrer le pays dans un cauchemar sans fin

 

Salah HORCHANI


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16 réactions à cet article    


  • asterix asterix 27 juillet 2013 11:49

    Une fois de plus, l’islamiste montre son vrai visage : une opinion totalitaire.
    Le combat contre cette dérive, c’est aux pays où cette tendance a droit de cité de la régler sans complaisance. Le jour où ce vrai islam, j’espère qu’il s’agit du vrai, se lèvera pour dire non, les choses avanceront.
    Entre-temps, seuls les gens courageux le payent de leur vie.
    Respect pour toi et mes condoléances sincères à la famille de Mohamed Brahmi.
    Mon admiration également pour ceux qui ont osé, j’ai bien écrit « osé » manifester leur désaprobation devant ce crime signé.
    Je ne connais pas bien l’islam, mais il m’étonnerait que cette religion prône ce genre de choses.
    Et cela, il n’y a que vous pour le dire...


    • Christian Labrune Christian Labrune 27 juillet 2013 18:26

      "Je ne connais pas bien l’islam, mais il m’étonnerait que cette religion prône ce genre de choses. Et cela, il n’y a que vous pour le dire..."

      @Asterix

      Vous avez parfaitement raison. Contrairement à ce que laissent entendre d’abominables islamophobes, le Prophète n’a jamais prôné que l’amour du prochain et la plus grande tolérance en matière de religion. Sourate IX, par exemple, intitulée « Le repentir ». Je vous en recopie le cinquième verset :

      « Les mois sacrés expirés, tuez les idolâtres partout où vous les trouverez, faites-les prisonniers, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade ; mais s’ils se convertissent, s’ils observent la prière, s’ils font l’aumône, alors laissez-les tranquilles, car Dieu est indulgent et miséricordieux. »

      Si vous ne connaissez pas bien l’islam, il ne vous reste donc qu’à vous convertir, à faire les prières, à pratiquer l’aumône, etc. C’est tout simple et en suivant ce chemin-là, vous ne risquerez pas d’être égorgé après la fin du mois sacré. Dès demain : ramadan. Et surtout, ne vous avisez pas d’aller bouffer des cacahuettes dans un coin sombre, encore moins un petit pain au chocolat !!!


      Allah akbar !


    • DanielD2 DanielD2 27 juillet 2013 19:53

      « Je ne connais pas bien l’islam, mais il m’étonnerait que cette religion prône ce genre de choses. »

      Effectivement, vous ne le connaissez pas bien :D

      En fait, comme il y ’a à peu près tout et son contraire dans le coran, entrecoupés toutes les 3 lignes de malédictions éternelles et d’appels aux meurtres, on s’imagine sans mal comment un chef politico-religieux peut facilement convaincre ses ouailles d’aller tuer un casse-bonbon. 


    • asterix asterix 28 juillet 2013 08:16

      Je ne pense pas que dire « je ne connais pas bien l’islam » soit une tare. Agoravox fourmille de gens qui connaissent tout à tout, quitte à sortir des énormités. En principe, je me méfie de toutes les religions qui sont TOUTES interprétatives. Dieu, cela va. Mais dès que l’humain s’en mêle, il devient un moyen et non pas une fin.
      C’est pourquoi j’écrivais qu’il n’accepterait jamais qu’on puisse tuer en son nom. Que le coupable s’appelle Torquemada ou Islamic boy ne change rien à l’affaire. Finalement, ce sont les laïques qui sont les plus proches de Dieu. S’ils font quelque chose de bien, ce n’est pas dans le but d’obtenir quelque indulgence ou pardon. Ce n’est pas une assurance de traitement favorable après la mort qui les guide, mais la conscience d’améliorer le temps présent.
      La Bible ne dit-elle pas que Dieu est au-dessus de notre entendement ?
      Voilà le vrai message...
      Que Mr Brahmi repose en paix.


    • popov 28 juillet 2013 18:08
      @OMAR

      Qu’un patriote soit tué par des barbares salafistes et/ou wahabites, et c’est l’Islam et son prophète qui sont incriminés....

      Et cela vous étonne ?

      Le « prophète » comme vous dites l’aurait cetainement fait assassiner lui aussi, comme il le faisait avec tous ceux qui s’opposaient à ses ambitions politiques (si du moins on en croit vos hadiths).

      Faut cesser de nous enfumer avec cette idéologie de merde déguisée en religion.

    • popov 28 juillet 2013 18:11
      @Christian Labrune

      Allah akbar !

      Je dirais même plus, Allah barres-toi !

    • TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE 27 juillet 2013 17:52

      HALTE AUX SALAFISTES  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! DEGAGEONS LES...

      De vrais barbatres...illettrés.....lapideurs violeurs d’enfants et leurs« imans venus de l’enfer »

      ecoutez la chanson d IDIR ET DES MERES ALGERIENNES

      LAPIDEURS...EXCISEURS EGORGEURS....PIRE QUE LE NAZISME

      VIVE LA TUNISIE


      • TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE 27 juillet 2013 17:52

         DE VRAIS BARBARES......................


      • smilodon smilodon 27 juillet 2013 22:04

        L’islam est aux « africains arabes » du « nord », ce que les chaines étaient aux « africains noirs » du « sud » !.... A chacun de briser les siennes !.... Sans l’aide des autres !..... L’histoire d’un peuple, n’appartenant qu’à lui-même !..... Peu « d’autres peuples » sont venus au secours des révolutionnaires de 1789 !... Très peu !... AUCUN, même !..... AUCUN !.... La FRANCE s’est faite SEULE ! ....Avec ses « hauts », et avec ses « bas » !.. A chacun des autres peuples, de vouloir, ou savoir ce qu’il veut !.... Pour lui-même !.... Avec lui-même !..... Il construira sa propre histoire !.... Comme nous avant lui !..... Tout pareil !...Sans gloire peut-être.. Mais sans honte non plus !...


        • vesjem vesjem 27 juillet 2013 22:23

          quel est l’intérêt des gens au pouvoir de faire exécuter un leader de l’opposition ?
          n’y a-il pas des personnes davantage intéressées par ces assassinats ?
          à qui profite le plus ces crimes ?


          • HORCHANI Salah HORCHANI Salah 27 juillet 2013 23:24

            @ vesjem

            Bonsoir,

            Des éléments de réponse à votre question se trouvent dans le poème que j’ai consacré à Chokri BELAÏD, l’autre opposant de gauche exécuté par la même équipe, aux dires du Ministre de l’intérieur tunisien, poème paru sur le lien suivant

            http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/a-chokri-belaid-le-rossignol-de-la-132177

            dont je reproduis ci-dessous un extrait :

             

            « Ton assassinat s’inscrit, Chokri, dans un pacte programmé d’intimidation,

            Liant les Salafistes et les Nahdhaouis *, les deux frères de sang,

            Consistant à établir la culture de la peur, afin de réduire au silence les opposants,

            Afin d’empêcher l’autre de penser différemment

            Dans le but de remporter, par la terreur, les prochaines élections

            D’ailleurs, comme tu le sais, c’est au milieu d’un salafiste rassemblement,

            Qui eut lieu, voilà bientôt un an, devant le Manoubistan 11),

            Que les Tunisiens ont découvert un barbu accusant de traitre, de mécréant

            Notre ami Habib Kazdaghli, le Doyen de cet Établissement,

            Accusation qui signifie, dans le jargon des Salafistes, un appel à agression

            Du reste, tes assassins ont fait paraître après ta disparition

            Une Liste Noire où tu figures avec Habib et d’autres opposants » .

             

            * Nahdhaoui = partisan d’Ennahdha, le Parti islamiste tunisien au pouvoir.

            Salah HORCHANI


          • HORCHANI Salah HORCHANI Salah 28 juillet 2013 00:08

            Brahmi : A qui profite le crime ? Quatre niveaux de lecture à méditer

            Par Radhi Meddeb

            L’assassinat de Mohamed Brahmi, précédé par celui du martyr Chokri Belaid, six mois plus tôt, imposent la question cruciale de qui a commandité (exécuté) ces actes abjects et par là donc « à qui profite le crime ? » pour reprendre une expression célèbre.

            Premier niveau de lecture : le plus évident, le plus facile, le plus démagogique : Le coupable est Ennahdha ! C’est le scénario soutenu par les familles, partis et proches des deux victimes. C’est également la position d’autres partis de l’opposition et d’une grande partie de la société civile. Le raisonnement est simple : Aussi bien l’un que l’autre, Chokri Belaid et Mohamed Brahmi, étaient de fervents opposants au parti au pouvoir, dénonçant sans cesse et sans relâche, avec force et conviction les faiblesses et la mauvaise gouvernance de la Troika en général et d’Ennahdha en particulier, s’attelant à « faire ouvrir les yeux » aux tunisiens sur l’hypocrisie et l’incompétence des dirigeants nahdhaouis. L’évidence est donc que ce parti serait seul coupable de liquider des opposants gênants et acharnés et par la même occasion décimer et affaiblir leurs partis respectifs. Conclusion aux apparences plausibles, mais quelque peu simpliste et un peu trop facile.

            Deuxième niveau de lecture : Aussi bien à l’occasion de l’assassinat de Chokri BELAID en février dernier qu’à celui de Mohamed BRAHMI tout recemment, les premiers à payer les frais de ces deux événements sont indiscutablement la Troika d’abord mais aussi et surtout Ennahdha. Le meurtre de Chokri Belaid a valu son poste au premier ministre et à nombre de ministres nahdhaouis et troikistes. Celui de Mohamed Brahmi a soulevé les masses, éveillé l’acharnement des opposants, fait retourner l’opinion publique contre Gouvernement, ANC et figures d’Ennahdha et l’histoire n’est pas terminée. Et quel que soit l’épilogue de l’épisode Brahmi, nul n’est prêt à oublier, pour le moins, les visages blêmes et cireux des dirigeants d’Ennahdha, de ses élus et autres membres de la Troïka. On ne peut nier qu’à chaque fois, le gouvernement et le parti et son pouvoir sont fortement ébranlés. Une conclusion devient donc incontournable : Il est peu probable que ce soit Ennahdha qui soit derrière ces deux assassinats ! Comment le serait-elle alors qu’elle est la première perdante de ces événements ? Il est évident qu’aussi bien Belaid que Brahmi sont moins dangereux vivants que morts pour le parti Ennahdha. Serait-elle suffisamment ingénue pour creuser sa propre tombe et susciter la colère de populations entières voulant écourter son règne et la poussant au départ ? Cela est peu probable.

            Troisième niveau de lecture  : chaque parti, et Ennahdha le premier prépare sa campagne électorale (par les moyens dont on l’accuse et ceux dont on ne l’accuse pas). Si nous tentions un bref procès purement populiste du parti Ennahdha (en occultant ses performances de gouvernance politique, économique, sécuritaire et sociale et j’en passe), nous conclurions très rapidement à un constat sans appel : « défenseur de l’islam et des valeurs morales mais incompétent dans la gestion des affaires publiques, laxiste et complaisant avec les salafistes et autres extrémistes » ; L’homme de la rue est formel, il ne pardonne ni les événements de l’Ambassade des Etats Unis, ni ceux de Chaambi, ni ceux des morts gratuites de Nagdh, Belaid, Brahmi, l’officier de Jebel Jloud, ni la circulation d’armes un peu partout, … Le premier conscient de cette évaluation et mesurant à sa juste valeur ses conséquences est justement Ennahdha. L’urgence est donc de marquer les distances avec les nébuleuses extrémistes (qu’ils ont maladroitement d’ailleurs qualifiées de leurs enfants dans une malheureuse tentative de les rallier : immense erreur politique).

            Le temps est donc arrivé de trancher dans le vif, de sacrifier ces salafistes non seulement encombrants mais de surcroit ingrats ! C’est si peu de chose en contrepartie du regain de la confiance de l’ex-partisan tiédi, sur le point de renier la cause mais surtout futur électeur. La solution est machiavélique mais toute trouvée : se débarrasser des opposants par le bras salafiste, risquer un premier temps de mécontentement de l’opinion publique, contrecarrer la première lecture par la seconde (du reste, parfaitement convaincante), conclure à la culpabilité jihadiste et se débarrasser par un même et seul coup des deux rivaux, en raflant au passage toute l’estime, la reconnaissance de l’homme de la rue et retrouver au passage son statut de martyr, pièce maitresse de son succès : pour le moins ingénieux et non moins possible…., très possible !

            Quatrième niveau de lecture : Convenons d’abord qu’il y a Ennahdha et Ennahdha. Il n’est de secret pour personne que le parti compte plusieurs tendances que nous résumerons sommairement par l’aile dure et l’aile modérée ; souvenons nous que l’avortement de la tentative de Jebali au lendemain de l’assassinat de Belaid de composer un gouvernement de technocrates, répondant à une volonté de consensus national, revient uniquement à Mejless Echoura et donc à l’aile dure du mouvement, sacrifiant, sans remords, au passage Jebali lui même. Il devient donc raisonnable de penser que si le parti, stabilisé jusque là par le seul Ghannouchi, rejette la scission, il se trouve par conséquent acculé à la loi d’ « البقاء للأقوي » ; Ce qui implique nécessairement une guerre froide sans merci et surtout sans scrupules entre les deux ailes d’Ennahdha : les uns devront inévitablement exterminer les autres. Souvenons nous également que l’aile dure d’Ennahdha entretient, sans se cacher, des relations confirmées avec les différentes mouvances salafistes et extrémistes avec qui elle partage d’ailleurs nombre de principes et de convictions.

            Partant de là, l’hypothèse d’une guerre fratricide n’est pas à exclure dans l’affaire des assassinats politiques : commanditer les meurtres, les faire exécuter par les alliés salafistes, saborder l’aile modérée et rester enfin seuls maitre à bord ! Ghannouchi n’étant pas immortel. Autrement dit, faire le ménage et préparer la succession calmement et méthodiquement, le temps ne desservant pas à long terme les intérêts de l’aile dure. Les principes des « frères » étant clairs : les loups se mangent entre eux mais ni ne se dénoncent ni ne donnent les leurs en pâture à l’adversaire. Le montage est compliqué mais c’est là néanmoins une explication envisageable.

            Bien sûr, il y a encore l’hypothèse hautement « complotiste » (aux ramifications intérieures et/ou extérieure complexes), étayant le deuxième niveau de lecture et qui voudrait qu’une volonté occulte œuvre à faire échouer l’expérience de la Troïka (et surtout d’Ennahdha) en ciblant la deuxième ligne de gauche (et pas la première, pour maintenir une « figure » à la tête de cette gauche) qui ne le l’oublions pas est la principale ouvrière de la révolution et reste la seule capable de soulever des régions comme Gafsa, Sidi Bouzid et autres régions intérieures et rallier l’UGTT à sa cause et donc de retourner totalement la situation.

            Quelle que soit le scénario qui s’opère, on relèvera que 3 hypothèses sur 4 amènent à conclure qu’Ennahdha n’est pas étrangère aux meurtres de Belaid et Brahmi, sans compter celui de Nagdh, opposant nidaïste, autour duquel il n’y a nul mystère, puisque lynché en plein jour par les LPR, reconnues pour être les milices armées……… d’Ennahdha !

            On ne prête qu’aux riches : Ennahdha est au pouvoir. Coupable, peut être pas ; responsable, certainement !

            Source :

            http://www.leaders.com.tn/article/brahmi-a-qui-profite-le-crime-quatre-niveaux-de-lecture-a-mediter?id=11923


          • vesjem vesjem 28 juillet 2013 18:47

            @ horchani
            tu as l’air parfaitement informé des différentes composantes de la vie politique en Tunisie ;
            les tueurs à moto étaient sans doutes des exécutants ;
            mon impression subjective est que des meurtres d’opposants , commandités par un pouvoir élu normalement majoritairement , serait totalement contre-productif à moyen terme , en cette période fragile de la Tunisie ;
             


          • smilodon smilodon 28 juillet 2013 15:31

            Sans vouloir jeter de l’huile sur le feu !... Le parti « islamique » au pouvoir en TUNISIE...... Il n’est pas issu d’un « vote » du « suffrage universel » ????....... Je crois savoir qu’une majorité de Tunisiens vivant en France, mais ayant droit de voter en TUNISIE, je crois savoir que ces électeurs, ont voté en majorité pour le parti « islamique » !!!!.... Les gens veulent des chaines, aux mains, aux pieds et au cou... Et après ils se plaignent que ça fait mal ???!!...... Ils sont vraiment « cons ».... Ou quoi ??? !!.... L’islam aurait-il fait tant pour la liberté, qu’on puisse voter pour lui ???.... Ou est-ce seulement moi, qui suis « con » ???!!!.....J’ai comme un doute sur la volonté du peuple tunisien à vouloir se libérer !.... Je dois vraiment être « con » !..... Pardon !...Mais un tunisien vivant en France et votant pour le parti de l’islam là-bas, c’est comme un cubain qui vivrait en France et qui voterait pour que Fidel « repasse » encore !..... A se rouler par terre !.....De Gaule disait des Français qu’ils étaient des « veaux » !... Sans vouloir vraiment le paraphraser.... Les « nord-africains » sont vraiment des « moutons » !... Faut vraiment être « bêtes à manger du foin » pour, une fois libérés, voter pour d’autres chaines !.... A bouffer du foin !..... Par tous les trous !....


            • HORCHANI Salah HORCHANI Salah 28 juillet 2013 16:12

              À l’attention de ceux qui pensent encore que le Parti Islamiste Ennahdha est majoritaire !

               

              « Des Citoyens apitoyés par les déboires causés aux Islamistes par le Régime déchu

              Les créditant de la candeur que l’on accorde, souvent en politique, aux nouveaux venus

              Voulant, aussi, les remercier des pots-de-vin qu’ils ont, de leur part, reçus

              Sous diverses formes : Moutons de l’Aïd, frais de mariages,… ou cadeaux menus,

              Financés, soi-disant, par des bienfaiteurs locaux ayant pignon sur rue,

              Alors que, semble-t-il, il s’agit de donateurs du Golfe mondialement, dans le genre, connus

              Ces Citoyens leur ont donné, lors des élections pour la Constituante, une majorité non absolue

              Se situant au cinquième du nombre des électeurs, toutes catégories confondues

               

              Les centaines de listes des Modernistes, leur division,

              Leurs égos et le taux de l’abstention

              Ont fait des Islamistes les premiers vainqueurs de ces élections,

              [De notre histoire politique, ce fut la plus énorme spoliation]

               

              [Car], les Islamistes vécurent notre Révolution en spectateurs

              De Londres, de Paris, de Qatar ou d’ailleurs

              Ce ne sont que des Révolutionnaires de la vingt-cinquième heure

              Dont l’attachement à la Démocratie n’est qu’un leurre

              Pour tromper, dans leur quête du pouvoir, les électeurs,

              Leurs éventuels alliés et les opinions publiques, intérieure et extérieure,

              Les Droits et les Libertés, toutes les Libertés, étant à l’index dans le registre de leurs valeurs :

              Droits de la Femme, Liberté de Croyance, d’Opinion, d’Expression, de l’Artiste, du Créateur,… ».

              C’est un Extrait de mon article intitulé « Démocrates de tous bords, combattez, combattez le Projet des Islamistes Tunisiens ! », paru, entre autres, sur le Lien suivant :

              http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/democrates-de-tous-bords-combattez-121339


              • popov 28 juillet 2013 18:02
                Que dire ?

                à part présenter mes condoléances à la famille de cet homme.

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