Il reste une solution, à Hamid Karzai, s’il veut rester en place ; et cette solution cela fait longtemps qu’il tente de la mettre en œuvre : c’est de se rapprocher des talibans... et de partager la manne de la drogue, ce qui ne devrait présenter aucune difficulté avec le frère qu’il possède. Les négociations durent depuis longtemps et n’ont surtout pas l’heur de plaire auprès des Etats-Unis. Ce qui donne des passes d’armes régulières entre eux. Karzaï, lui aussi, ne souhaite pas se faire doubler et a par exemple fait expulser des diplomates irlandais qui avaient tenté de faire la même chose. En bon mafieux, Karzaï désire contrôler le marché. Le tout est de savoir pourquoi donc les américains lui mettent des bâtons dans les roues dès qu’il tente un rapprochement. La CIA n’est jamais loin, on le sait, comme on sait aussi qu’une réconciliation générale serait aussi perçue par l’opinion américaine comme une défaite. On ne peut avoir diabolisé autant les talibans et aujourd’hui leur tirer le fauteuil de la table de négociation du pouvoir à Kaboul. Karzaï, s’il veut rester, a besoin des talibans : il l’a très bien compris, comme on a compris que l’incroyable charge US contre lui qui avait débuté cette série visait avant tout ses rapprochements en cours. Les américains avaient crû mettre en place une marionnette à la Maliki, ils se retrouvent avec un chef mafieux particulièrement rusé. Entre les deux, le divorce est patent. Mais les américains n’ont personne d’autre à mettre à la place...
Un rapprochement avec les talibans ? Karzaï n’en est pas à son premier. Il ne fait même que cela. Dès avril 2007, il en faisait l’aveu au New-York Times, en précisant qu’il avait nommé une mission de réconciliation dès 2005, mais qui excluait il est vrai le mollah Omar, jugé indésirable. L’année suivante on en apprenait davantage dans le Washington Independent. Une réunion dirigée par... l’un de ses frères, Qayum Karzai, qui avait réuni Maulvi Fazl Hadi Shinwari, à la tête du "Council of Clerics of Afghanistan" et deux chefs talibans : Mullah Wakil Ahmed Muttawakil, l’ancien ministre des affaires étrangères taliban, jugé modéré, et le mollah Abdul Salaam Zaeef (l’homme à l’I-Phone), qui au temps des talibans était leur amabassadeur au Pakistan. Depuis 2005, en fait, Karzaï n’a jamais cessé de rencontrer des talibans. Le journal confirmait alors une chose établie : la rupture prononcée entre Ben Laden et les talibans, connue dès début 2002, lors de la fuite de Tora Bora. Les combattants afghans n’ont donc rien à voir avec Al-Qaida, contrairement à ce que claironne alors le gouvernement Bush (et continue à claironner celui d’Obama-voire de Nicolas Sarkozy !). Le seul dirigeant taliban reconnu est le mollah Omar, rendu aussi invisible que Ben Laden avec qui il a donc rompu, les autres ne peuvent être que des "modérés". Le plus intéressant à noter étant qu’ Abdul Salaam Zaeef a passé quatre années dans les geôles de Guantanamo, où il a été torturé comme les autres... en 2002, on avait même annoncé sa mort sur la base... On discute donc sans vergogne avec d’anciens "terroristes" à l’uniforme orange, et cela ne dérangerait personne ?
Et qui discute ? Beaucoup de gens, ce qui ne plaît pas semble-t-il à Karzaï non plus : le 27 décembre 2007on apprend que deux diplomates Mervyn Patterson, un responsable anglais de l’ONU et l’irlandais Michael Semple à la tête de la délégation européenne en Afghanistan, sont explusés par le gouvernement afghan. Les deux avaient rencontré de hauts responsables talibans de la province d’Helmand, la plaque tournante de l’industrie du pavot. L’homme qui raconte leur expulsion à la presse n’est autre que le gouverneur Asadullah Wafa, qui sera obligé de partir sous la pression de l’armée anglaise, qui l’accusera de corruption et de trafic de drogue ! Les deux diplomates avaient-ils mis le pied sur la fourmilière de la famille Karzaï . C’est bien probable. Les talibans avaient dû leur dire ce que faisait le frère Wali, sans nul doute. Selon la presse anglaise, à ce moment là non plus Gordon Brown, soi-disant, ne négociait pas... Négocier avec les talibans ? Personne n’ose alors l’avouer. Mais beaucoup le fond en sourdine...
Ainsi, le 28 septembre 2008, le Guardian révèle que les pourparlers menés par Zalmay Rasul, l’envoyé de Karzaï, sont assez avancés, et qu’ils sont sponsorisés par l’Arabie Saoudite, ce que confirmera Zaeef, un pays qui joue les intermédiaires entre le gouvernement Afghan et la direction des talibans. Mais qu’aussi des "capitales européennes" sont dans le coup. La surprise venant de la révélation de la position française, officiellement à mille lieues de celle que dévoile le journal angais. "La semaine dernière, le Premier ministre français, François Fillon, visait indirectement les pourparlers lors d’un débat parlementaire sur l’Afghanistan. "Nous devons étudier les moyens de séparer les djihadistes internationaux de ceux qui agissent plus par nationalisme ou pour motifs tribaux. Les efforts dans ce sens sont menés par les pays sunnites [musulmans], comme l’Arabie saoudite" nous dit le Guardian. Rasul a fait ses études en France, puis dans une école sponsorisée créée en 1931, du temps du roi Amanullah Khan, une école appelée alors Amania et devenue depuis Istiqlal. C’est Georges Pompidou en personne qui avait posé la première pierre de l’école en 1965, à Kaboul ! Dans le lot des personnes approchées par Karzaï figue aussi Gulbuddin Hekmatyar (ici à la gauche de Massoud, 2eme en bas à droite), dont le mouvement du Hizb-i-Islami ou HIG (pour Hezbe Islami Gulbuddin) avait été le premier pourtant a revendiquer l’attaque contre les dix soldats français... En mars 2010, il se retrouvait une virginité auprès des américains, également : à la recherche d’un pendant à Al Capone, ils auraient bien pris un James Colosimo à la place.
Le 21 septembre, pourtant, Nicolas Sarkozy "réaffirme l’engagement en Afghanistan" nous disait le Figaro, en répondant vertement dans une lettre adressée aux parlementaires de gauche qui avait osé critiquer sa position. Un Sarkozy lyrique, déclarant notamment "Je crois qu’il est particulièrement important que la représentation nationale (...) exprime à nos soldats et au peuple afghan le soutien clair qu’appelle leur courage face à la barbarie"... la "barbarie" étant bien entendu talibane... avec lesquels des émissaires français sont en train de discuter, au même moment... soit le président français n’est pas au courant des démarches de son premier ministre, soit il s’apprête dans ce cas à se rapprocher de la "barbarie" qu’il dénonce. Il faut dire que le mois qui précédait, à la célébration des obsèques des dix soldats tués, son ricanement obscène au milieu de son discours en avait laissé plus d’un pantois.
Quelque chose cloche en effet dans les déclarations françaises : le président ne peut dire à la fois « Cet engagement est d’une importance cruciale pour notre pays ». C’est un « enjeu majeur », pour trois raisons : « lutter contre le terrorisme », « lutter pour les valeurs humanistes », « pour les hommes et les femmes qui n’aspirent qu’à reconstruire leur pays dans la paix après les années de souffrance (..) du fait des Talibans » et en même temps affirmer que "nos responsabilités vis à vis de la communauté internationale et du peuple afghan font que nous resterons aussi longtemps que nécessaire et si le gouvernement démocratique d’Afghanistan le souhaite"... le fameux gouvernement étant alors en pleine discussion de paix avec ces mêmes talibans !
En 2009, les discussions continuent, donc, avec cette fois notamment le mollah Abdul Ghani Baradar, chef de guerre local vivant au Pakistan, comme l’avait si bien conté Sarah Daniel du Nouvel Obs, qui avait rencontré avec une facilité déconcertante celui qui se vantait d’avoir organisé l’attaque meurtrière contre les soldats français, dans la vallée d’Uzbin. On découvrait avec elle, et les journalistes italiens, que dans un bon nombre d’endroits, avec les talibans, à défaut de négocier avec eux, on leur payait une sorte de dime pour ne pas être attaqué. Les discussions avec Baradar, leader du Quetta Shura étaient très avancées, comprenant aussi son second, Abu Waqas, lui discutant à Karachi même, et une bonne dizaine de dignitaires talibans prêts à déposer les armes.... contre des compensations sonnantes et trébuchantes. L’argent de la vente du pavot sert à tout. Et ce mollah Baradar, on comprend mieux pourquoi il effectuait ses discussions au Pakistan...
L’homme avait déjà été arrêté en effet il y a neuf ans de cela, puis relâché, par intervention pakistanaise : "en novembre 2001, alors que les forces des talibans s’effondraient après l’invasion américaine, le mollah Baradar et plusieurs autres hauts chefs talibans ont été capturés par les combattants des milices afghanes alliées des États-Unis. Mais des agents de renseignement pakistanais sont intervenus, et le mollah Baradar et d’autres dirigeants talibans ont été libérés, selon un haut fonctionnaire de l’Alliance du Nord, le groupe d’Afghans allié des États-Unis." L’homme, réputé plutôt "modéré", avait donc été relâché grâce à l’ISI, les services secrets pakistanais. Arrêté par le même organisme, il l’est à nouveau en pleine négociation de reddition avec Karzaï : à la surprise générale, tout le groupe est en effet arrêté en février 2010... par l’ISI ! Dans une "opération conjointe avec la CIA", dont l’un des directeurs avoue au New-York Times ne pas même connaître le nom d’ Abdul Ghani Baradar avant son arrestation !
C’est donc très certainement un grossier mensonge et ça se confirme aisément : la presse américaine avait été prévenue avant l’arrestation, la CIA lui ayant demandé de ne pas l’ébruiter avant une date précise. Pour Karzaï, c’est un coup dur. Il était sur le point de réussir son pari, celui d’intégrer des talibans dits "modérés" au sein de son gouvernement. Le 15 mars, Hamid Karzaï le fait savoir par voie de presse : on a bel et torpillé sa prochaine jirga, celle où il devait annoncer le ralliement de talibans. Quand il la fera, en effet, en début de ce mois-ci, l’explosion de bombes à l’extérieur de l’enceinte le rendront fou furieux : il se doute bien qui tente de saboter sa réunion... et ce ne sont pas nécessairement les talibans qui en sont à l’origine ! Et ça, il s’en doute ! La CIA veille à lui faire savoir...
« Tout le monde, de Karzaï aux Américains, parle d’avoir eu des discussions avec les talibans », affirme Rahimullah Yusufzai, un journaliste pakistanais, expert de l’insurrection. La grande différence, c’est que Karzaï, via ses frères Walid ou Qayum, le fait moins discrètement que les américains ou les européens... Al Capone a, il est vrai aussi, beaucoup donné de son temps pour discuter avec ses bandes rivales avant d’en éliminer les chefs un à un. Tout le monde, donc, cause aux talibans, y compris ... Barak Obama : le 25 janvier 2010, à "l’International Conference on Afghanistan in London", le représentant spécial U.S. Richard Holbrooke le laisse clairement entendre . "Karzaï a annoncé un "grand, nouveau programme" destiné à réintégrer les combattants talibans dans la société afghane, et Holbrooke a déclaré à Londres à la conférence que "nous affirmons notre soutien international à cela." Pour cela, Holbrooke a développé un argument massue : "La raison d’être du programme de réinsertion est que "plus de 70% des gens qui se battent avec les talibans ne sont pas idéologiquement engagé avec al-Qaida, les Taliban, at-il dit. « Font la lutte pour des griefs locaux, ou parce qu’ils ont été trompés sur les fins de ... la présence de l’Alliance en Afghanistan », et "qu’il n’y a pas de programme de satisfaisant pour les inviter à revenir au bercail." Ok, pourquoi pas : mais comment a y arriver avec d’une part la corruption qui fait fuir tout le monde des négociations et avec le torpillage éhonté des négociations entamées par Karzaï ? Qui tire véritablement les ficelles en Afghanistan ? Visiblement, ce n’est ni Karzaï (mais plutôt la mafia de son frère) ni le pouvoir d’Obama : la CIA et le Pentagone, la main dans la main, sans hésiter, qui font tout pour maintenir le plus longtemps possible un statu quo qui satisfait ceux qui veulent s’enrichir : les compagnies privées, les milices, qui se font des c... en or avec les contrats mirobolants que leur signe... le Pentagone, les yeux fermés (sans appel d’offres !) : l’état dans l’état, qui décidé de la politique extérieure à la place du président. En tout cas, avec Holbrooke, on redécouvre ce qu’on savait déjà : les talibans, ça a fort peu à voir avec Al-Quaïda et Ben Laden.... et c’est le représentant du pays qui fait la guerre là-bas qui le confirme !
Les américains sont en Afghanistan à cause de quoi, au fait, officiellement ? Ne serait-ce pas après des attentats si surprenants, dont l’Amérique n’avait jamais eu vent des mois avant qu’ils ne se produisent ??? Pas exactement comme l’affirmait alors candidement le NYT le 16 mai 2002, et plutôt tout l’inverse même : "’l’avertissement de la C.I.A peut aussi expliquer pourquoi les conseillers de M. Bush étaient si certains que M. Ben Laden était derrière les attaques presque aussitôt après qu’elles se soient produites. ’’Nous n’avons jamais eu vraiment de doute,’’ a a déclaré il y a plusieurs mois un haut fonctionnaire impliqué dans les décisions cruciales sur le 11 septembre à la Maison Blanche "... aurait-on alors laissé des pékins ne sachant pas manipuler un manche de Boeing laissé croire qu’ils en savaient assez pour foncer à 940 m/h dans des tours où à 4 m du sol seulement ??? Et après l’horreur effectuée, annoncer à la cantonade que l’auteur c’était bien Ben Laden, tout juste réfugié en Afghanistan, et que pour le déloger, c’est simple... il fallait donc envahir l’Afghanistan ? Comme quoi, il n’y a pas que la gouvernance de Karzaï qui raconte des bobards...
que nenni.... Bretzel. Le placebo/nocébo je connais !
juste pour aligner l’un après l’autre devant les instances nationales et internationales dans quelques semaines j’aurai un peu plus le temps...
Il est parfois utile de faire connaître certains textes… la Triplette et le Furtif ont largement dépassé les limites à mon encontre. encore une sortie récente de l’Obscur Objet vendéen à son actif. ?? des intouchables le Pigier, le Maître d’Internat et des cours de récré ??
A part supprimer des posts , sauriez-vous justifier cet état de fait qui permet l’ insulte à Morice , et la suppression des posts qui signalent l’ insulte .
Une véritable gentillesse de votre part consisterait à nous informer de ces pourquoi et de ces comment .
deux ont déjà été virés et s’en sont déjà vantés ici -même et ailleurs : sachant qu’ils ont multi-inscrits, on devine aisément le moinssage.
pas un mot sur le contenu : de découvrir que leur bon président discute avec les talibans ne les émeut pas. Preuve qu’ils n’en ont rien à faire, de leur pays. Marrant pour la clique de « nationalistes » revendiqués qu"ils trimballent avec eux et à qui ils causent tous les jours...
T’inquiete Momo, je sais que c’est calme en ce moment, mais les gens sont en vacances l’ete. Oui on sait que tu ne connais pas ce mot, tant tu es un acharne du travail.
Mais tu verras, les trolls reviendront en septembre, a la rentree.
Enfin je dis ca, c’est pas tant pour toi que pour le comite, qui serait tente de te supprimer de sa grille des programmes, au vu de ton audience ces derniers temps.
En grammaire,
une phrase peut être considérée comme un ensemble autonome,
réunissant des unités syntaxiques organisées selon différents réseaux
de relations plus ou moins complexes appelés subordination, coordination ou juxtaposition.
La phrase possède une unité sémantique
(ou unité de communication), c’est-à-dire, un contenu transmis
par le message (sens, signification...). Ce contenu se dégage du rapport
établi entre les signes de la phrase, et dépend du contexte et de la
situation du discours : chaque phrase a sa référence. Cette référence
résulte de la mise en rapport avec une situation, même imaginaire, de
discours. Selon Roman Jakobson, le mot seul n’est rien. Il ne
se définit que par rapport aux autres éléments de la phrase. Il faut remarquer que le sens ne dépend pas seulement des mots (aspect lexical).
L’organisation grammaticale y est aussi très importante : c’est
l’aspect syntaxique.
Normalement, la syntaxe ne dépasse jamais les limites de la phrase.
C’est Benjamin Franklin qui a suggéré la « bonne » expérience, à lui la paternité . Super le polygraphe côte_dorien..... il pompe un narticle françois et ne donne que le lien oridjinalllllllll anglais !
Quelle éthique ! Du story-telling à la sauce Selection Reader-Digest
Il faut dire que le mois qui précédait, à la célébration des obsèques
des dix soldats tués, son
ricanement obscène au milieu de son discours en avait laissé plus
d’un pantois.....
Un crétin n’aurait pas fait mieux...personne n’a osé venir le baffer mais je crois que c’était pas l’envie qui manquait aux soldats présents....
Sans la fascination pour ces incultes, malpolis et malhonnêtes racailles de banlieue, on serait peut être capable de bâtir une équipe exemplaire capable de gagner des matchs. Visiblement, la conversion de certains à l’islam ne leur a rien appris, juste une posture pour marquer une certaine forme de rejet de la France
Playmobil est un bon lèche-boule !!....vous vous attendiez à quoi ?
a rien concernant Playmobil : j’ai un article en modération intitulé « faut-il pendre Davis Pujadas ? » ; mais je ne comprends pas, ça reste bloqué !!!!
Bizarrement , j’en ai aussi 7 sur Riposte Laïque , dont 4 déjà revenus avec « trop polémique » : ici, on a PAS LE DROIT de dire qu’il y a DIX rédacteurs pro Riposte Laïque : dix de bonne droite, Tasin comprise...
IL est sérieux ce jeune journaliste. Il mérite bien l’aide de notre grande famille AGORA Vox , alors pourquoi ne pas l’envoyer comme correspondant dans la zone des combats. Son lyrisme pourrait facilement nous valoir des moments inoubliables ! Avec mes souhaits de bonne chance !
alors pourquoi ne pas l’envoyer comme correspondant dans la zone des combats.
ah tiens, ça recommence = « vous ne pouvez pas en parler car vous ne l’avez pas faite, la guerre d’algérie » m’a dit un jour une collègue prof de dessin.
a qui j’ai répondu, mais madame, ne faisiez pas vous même dessiner la semaine dernière des dinosaures a vos élèves ?
ils ont tous éclaté de rire, sauf elle.
retournez donc à vos dinosaures : aux phrases crétines, j’ai déjà répondu.
ah, au fait, vous étiez en Islande, au dessus de l’ Eyjafjallajokull ?
le débile profond, c’est le mec, qui, a partir d« un événement bien MANIPULE, avec un président qui a commencé sa campagne de 2012 sur les terres du FN qui conclut en gros que l’équipe de France prochaine devra être BLANCHE : car ne nous leurrons pas, c’est bien le fond de votre absence de pensée....
A peine l’événement Anelka connu, qui ne s’est pas passé comme il a été raconté tout de suite, ce que l’entraîneur lui-même a confirmé depuis, on a MONTE EN EPINGLE UN EVENEMENT qui stigmatisait des joueurs : le lendemain même c’est RIBERY qui se retrouve meneur alors qu’il ne l’a jamais été.... pourquoi lui ? Pour avoir des TITRES ici-même d’ailleurs, par des inconscients ou des MANIPULATEURS comme »la france des racailles"...
et vous, vous faites quoi ? Vous tombez dans le même panneau, à venir parler comme LePen du nombre de joueurs noirs dans l’équipe.
avec des blonds aux yeux bleus, ce serait encore mieux hein : ; et puis à la place de chanter la marseillaise ils léveraient tous le bras droit, hein : ce serait bien mieux...
Vous ne supportez pas l’humour cela ne me surprend pas ! Sachez que je n’ai pas la moindre envie de polémiquer avec vous. Continuez vos jeux stupides avec vos interlocuteurs habituels et oubliez moi ! C’est un conseil à prendre en considération et je ne me cache pas derrière mon petit doigt ! Jean Masbou
Quand on écrit des articles de merde , on récolte des commentaires merdiques à la Morice Django Pyralène ......qui vont tous dans le sens merdique de son auteur .
merci, il commence à me sortir par les pores, le vieux débris : trois ans d’injures, tout ça car j’ai eu le tort un jour de dire ce que je pensais de son idole : Carlos. Qu’il s’emmerde à la retraite, ok, mais qu’il aille dégoiser ailleurs, ça commence à bien faire ses injures journalières !
Ceci dit ces discussions voulues par Karzaï ne visent qu’à diviser la
résistance. C’est l’objectif avoué. Ne peuvent s’y rendre que des
traîtres en puissance dont le poids ne pèsera alors plus bien lourd dès
qu’ils auront franchi le Rubicon....
Il est vrai que l’argument américano-« Afghan » est de taille " Tu viens
avec nous et on te fait un pont d’or ou tu continues à jouer contre nous
et on te fait une guerre à outrance jusqu’à ce que tu y laisses ta
peau« ...
Mais bon, dès que l’on entend parler de »négociations« avec l’envahisseur et que celles-ci ne reposent pas sur une position de force de la résistance on peut être sûr qu’il y a de la trahison dans l’air.
On a vu ce que donnait le soi-disant »processus de paix« en Palestine avec l’ »Autorité palestinienne", qui n’est plus à l’heure actuelle que le caniche des américano-sionistes qui n’ont pas hésité à armer ses forces de répression, elles-mêmes dirigées contre leur propre peuple...
ce qu’il y a de bien avec les commentaires éclaircis c’est que l’on distingue bien les taupes, merci à vous morice , je n’ai pas de commentaires sur l’article ce sont des faits, quand je vois un yohan dire on s’en fout que son propre fric serve à la mafia, je crois réver.... mais non même pas étonné