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Accueil du site > Tribune Libre > Le meurtre en débat ?

Le meurtre en débat ?

Oui, Christophe, tu as raison. Alors que nous avons conquis de haute lutte "le droit fondamental" de supprimer à notre bon plaisir les embryons et les foetus indésirables, il est scandaleux qu'on ne puisse pas encore supprimer à loisir les vieillards et les malades - ces légumes - qui nous encombrent et nous ruinent. A quoi servent ces vieux débris ? Non contents de ne plus produire et de ne plus consommer, ils coûtent horriblement cher à la collectivité qui manque de lits et de personnel dans les hôpitaux. Et ils osent en plus nous fatiguer de leurs râles ! Alors, oui, Christophe, avec toi, puiqu'ensemble tout devient possible, chantons gaiement :

"Vive l'euthanasie active, vive le suicide médical et vive la mort !"

Analyse des propos de Christophe Barbier qui se fait ici le porte-parole des pro-morts de l'ADM (d'inspiration maçonnique comme le suggère leur sigle et comme d'ailleurs ils ne s'en cachent guère) :

« Oui, il faut changer la loi sur l'euthanasie. [La nécessité ne se discute pas, elle est. Le changement est toujours à louer, la permanence à combattre. La mort pose des problèmes aux vivants ? Changeons la loi, tout ira mieux !]

On voit bien que... [Pas besoin de justification, l'invocation incantatoire du dieu Changement suffit] … la loi actuelle en France est insuffisante à régler les cas les plus douloureux... [Est-ce vraiment du domaine de la loi ? La loi fixe les limites et pose des interdits (interdit de tuer), est-elle censée s'immiscer dans la souffrance des malades ?] … des malades qui sont sortis de la dignité... [Affirmation péremptoire, sans aucune perspective rationnelle : il y a des malades qui sortent de la dignité, point. Mais pour aller où ? dans l'abjection ? dans l'inhumanité ? C'est toujours la même abstraction délétère, comme pour l'avortement (ou le gender) : le refus de reconnaître des limites naturelles à la vie humaine (de la fécondation à la mort naturelle), seules garantes objectives de sa dignité, seules barrières solides contre la tentation démiurgique de l'homme qui veut remodeler à sa guise la personne humaine] … des malades dont les souffrances dépassent la mesure... [Quelle mesure ?! Qui est apte à juger du niveau de dignité d'un être humain ? Le sujet lui-même, fragilisé par de grandes souffrances, enfermé dans le coma, mis sous pression par ses proches ? La famille, parfois peu scrupuleuse, ou bien le médecin, soumis à des pressions d'efficacité de gestion ? Ou plutôt, la nature elle-même, acceptant que la dignité humaine dure aussi longtemps que la vie ?] … et sur lesquels les médecins ne peuvent rien faire parce que la loi l'interdit. [Est-il interdit aux médecins de faire leur travail, c'est-à-dire de soigner, de soulager au mieux les souffrances de leurs patients (soins palliatifs), tout en refusant l'acharnement thérapeutique ?]

Il faut remettre sur l'atelier législatif ces textes et de nouveau, en concertation avec toutes les parties [...] mais aussi peut-être les autorités spirituelles... [Peut-être : à condition bien sûr qu'elles soient d'accord, qu'elles acquiescent, avalisant les nouvelles transgressions paradisiaques que je propose] … bref, avec tout le monde, ouvrir un grand débat pour savoir comment l'on peut améliorer cela. [La loi Léonetti du 22 avril 2005 est certes bien imparfaite – surtout dans la mesure où elle légalise une forme d'euthanasie passive en autorisant les soignants à arrêter l'alimentation d'un patient : « Un arrêt d’alimentation et d’hydratation peut ainsi être décidé avec pour intention de faire mourir »(Dr Véronique Fournier, Le Monde, 19 avril 2008) – mais changement n'est pas synonyme d'amélioration : en réalité, c'est l'impuissance de la loi à soigner la souffrance et la finitude humaines qu'il faut accepter, sous peine de s'enfoncer sans retour dans la quête utopique de la perfection humaine. En outre, les questions de vie et de mort peuvent-elles vraiment être soumises à un débat, c'est-à-dire à un consensus inévitablement provisoire ?]

Il y a et il y aura de plus en plus trop de gens qui souffrent... [Et pourquoi l'augmentation de ces souffrances sinon justement à cause du refus contemporain du risque, de la dépendance et de la souffrance, réalités pourtant inhérentes à la condition humaine ?] … et qui ont une fin qui n'est pas digne d'un être humain. [Encore la même affirmation gratuite : qu'est-ce qu'une fin digne pour un être humain ? Mourir vite et sans souffrir ? En quoi les agonisants ne sont-ils plus des êtres humains dignes ?]

La philosophie, c'est de pouvoir mourir dignement, c'est-à-dire que physiquement et psychiquement on ne doit à aucun moment dégringoler en dessous d'un certain niveau de dignité... [Quelle rigueur conceptuelle !] … et offrir à ses enfants, à tous ceux qu'on a aimés et qui vous ont aiment, un ultime spectacle qui laissera le plus mauvais des souvenirs. [Merci, M. Barbier, de vous préoccuper ainsi des souvenirs que nous laissent nos proches décédés, mais serions-nous trop immatures, ô grand rédacteur de L'Express, pour pouvoir nous passer de vos intrusions indélicates dans l'intimité de nos familles ?]

Aux candidats à la présidentielle de prendre leurs responsabilités... [Est-il de la responsabilité du chef de l’État de lever l'interdit de tuer ?] … et de s'engager [...] à faire avancer la France dans le sens de l'euthanasie active. » [« Faire avancer » : l'euthanasie, pratique de prédilection des grands humanistes national-socialistes, serait donc indiscutablement un progrès ?]

En somme, l'ami de Carla Bruni finit comme il a commencé : en martelant des pétitions de principes vagues (la dignité, la souffrance, la mesure) et des arguments spécieux (« il y a des gens qui souffrent : pour soulager la souffrance, supprimons les malades ! », rappelant le tristement célèbre « il y a des futures mères en détresse : pour soulager la détresse, supprimons le bébé ! »), dans une succession de coups de force rhétoriques dénués de toute référence à un réel incarné. Ce petit bijou de manipulation, exploitant sans vergogne l'angoisse bien légitime devant la mort, au service d'une idéologie mortifère prétendant émanciper l'homme de sa finitude d'être créé, montre combien les transgressions de l'ordre naturel ne reposent que sur une désinformation permanente, faite d'esbrouffe, d'amalgame et d'incantation. Confondant volontairement - à moins qu'il ne soit vraiment stupide, ce dont il est permis de douter - la philosophie avec le sophisme le plus caricatural, l'ancien normalien illustre ici à merveille le vide intellectuel d'une « nouvelle éthique » aussi nocive qu'infondée. Cette énième intervention (le bonhomme en abuse) ne fait cependant qu'entériner sur un mode grossier les prévisions autrement plus subtiles de Jacques Attali, le grand gourou cosmopolite annonçant dès 1981 dans L’avenir de la vie (Entretiens avec M. Salomon sur l'avenir des questions bioéthiques, Seghers) :

JA - « Je crois que l'important de la vie ne sera plus de travailler mais d'être en situation de consommer, d'être un consommateur parmi d'autres machines de consommation » (p. 270). « L'homme du XXIe siècle des pays riches [...] sera certainement un homme beaucoup plus angoissé qu'aujourd'hui mais qui trouvera sa réponse au mal de vivre dans une fuite passive, dans les machines anti-douleur et anti-angoisse, dans les drogues, et qui tentera à tout prix de vivre une sorte de forme marchande de la convivialité » (p. 272). « Du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s'arrête brutalement plutôt qu'elle ne se détériore progressivement » (p. 273) MS - « Le monde à venir, « libéral » ou « socialiste », aura besoin d'une morale « biologique », de se créer une éthique du clonage ou de l'euthanasie par exemple ». JA : « L'euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c'est la liberté et la liberté fondamentale, c'est le suicide ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d'éliminer la vie lorsqu'elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l'euthanasie, qu'elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future » (p. 275).

Nicolas Bonnemaison, médecin urgentiste de l’hôpital de Bayonne, a administré en cinq mois à quatre personnes dont une femme de 92 ans décédée le 3 août des « substances ayant entraîné le décès immédiat ». Sylvain Bourmeau en profite dans un éditorial de Libération pour réclamer « la reconnaissance législative de l’aide active à mourir », se lamentant qu'en France, « l’Etat rechigne toujours à abandonner le moindre droit de vie ou de mort sur ceux qu’il considère davantage comme ses sujets que comme des citoyens - les débats sur la peine de mort, la contraception, l’IVG, la stérilisation ou, plus récemment, les lois de bioéthique en témoignent. Comme c’est le cas en Belgique, aux Pays-Bas ou en Suisse, nous devrions exiger de l’Etat qu’il respecte un principe de neutralité morale en autorisant chacun à vivre et à mourir selon ses propres conceptions philosophiques. Et ce n’est certainement pas au nom de la dignité - concept dangereux car réversible - qu’il convient de mener ce combat mais beaucoup plus simplement en celui de la liberté ». 

Thierry Boutet conclut sur Liberté politique : « Il ne s’agit donc pas de sortir les médecins et les familles, des dilemmes et des cas de conscience qui entourent l’accompagnement des personnes en fin de vie. Il s’agit au nom d’une conception abstraite - et fausse - de la liberté de faire des médecins les exécutants au sens strict du « mourir quand je veux, comme je veux » de ceux qui veulent à n’importe quel prix être les seuls et uniques maîtres de leur destin jusqu’au bout. »


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16 réactions à cet article    



    • Catherine Segurane Catherine Segurane 24 août 2011 13:19

      L’auteur écrit :

      « Alors que nous avons conquis de haute lutte »le droit fondamental« de supprimer à notre bon plaisir les embryons et les foetus indésirables ... »

      Je réponds :

      A l’heure où l’actualité récente vient nous rappeler combien il est difficile à une femme violée d’obtenir la condamnation de son bourreau, je trouve tout à fait normal qu’elle ne soit pas, en plus, obligée de mener à terme une grossesse consécutive à un viol.

      Ce serait une triple peine :

      Le viol : première peine.

      Le déni de justice : deuxième peine.

      La grossesses : troisième peine.

      Il y a un moment où il faut s’arrêter dans le martyre !


      • Gualtiero 24 août 2011 14:01

        Merci Madame pour votre réponse.
        La phrase à laquelle vous réagissez évoquait plutôt les cas les plus courants de l’avortement, qui concernent des couples sous contraception...
        Les avortements pour viol représenteraient moins de 1% des 220 000 avorteme« nts annuels en France.

        Permettez-moi cependant d’ajouter sur ce problème très difficile (assez rare heureusement, puisqu’il me semble que les cas de viols »féconds" sont limités par l’absence de désir féminin qui rend plus difficile la fécondation), ces quelques remarques :

        - S’il faut condamner extrêmement durement le crime abominable qu’est le viol,
        - S’il faut s’efforcer, peut-être pas de guérir, mais au moins de soulager ce traumatisme tant que faire se peut, et aussi, de prévenir au mieux ce genre de drames atroces (et la vision contemporaine de la sexualité comme quêtre effrenée du plaisir immédiat, aggravée par l’omniprésence de la pornographie, ne favorise-t-elle pas de tels comportements déséquilibrés ?)

        - Faut-il pour autant SUPPRIMER LA VIE INNOCENTE qui naîtrait de cette union forcée ?

        A la blessure du viol, faut-il ajouter celle de l’élimination d’une petite vie à venir ?
        N’y a-t-il pas d’alternative dans les cas même les plus difficiles à l’avortement, comme l’adoption, proposée notamment par Mère Theresa qui disait : « s’il vous est impossible d’élever et d’aimer un enfant, confiez-le moi, je trouverais toujours quelqu’un pour s’en occuper » ?

        Je crois que la société s’honorerait à aider au mieux la femme concernée à accueillir avec amour la vie, même blessée.
        La vie n’est jamais le problème, elle est toujours la solution...

        Au-delà de cette douloureuse question, que pensez-vous du projet de légalisation de l’euthanasie active ?


        • leguminator 24 août 2011 15:18

          @l’auteur
          La grossesse n’est pas une sinécure contrairement à ce que vous semblez penser. Pendant cette période, la mère expose sa vie de façon non négligeable entre les possibles complications, la moindre résistance aux maladies et l’interdiction de nombreux traitements associés, l’usure physique et psychique, etc...

          Laissez donc les femmes décider pour elles-mêmes.


        • Catherine Segurane Catherine Segurane 24 août 2011 17:41

          @ Galtiero


          Vous êtes un vrai faux-cul.

          Vous parlez de « condamner extrêmement durement le crime abominable qu’est le viol, » ; or vous savez fort bien (cf les débats, par exemple à C dans l’air, en marge de l’affaire DSK), que les violeurs punis sont et resteront une infime minorité (victimes n’osant pas porter plainte, doute qui profite à l’accusé, habitudes d’inversion accusatoires au détriment des femmes).

          De même, vous commencez par écrire « La phrase à laquelle vous réagissez évoquait plutôt les cas les plus courants de l’avortement, qui concernent des couples sous contraception ».

          Puis, vous vous lâchez, et vous nous expliquez combien vous trouveriez beau qu’une femme violée donne naissance au petit indésirable.

          En réalité, le martyre des femmes, vous n’en avez rien à foutre.




        • Gualtiero 24 août 2011 18:22

          Où ai-je écrit que la grossesse était une sinécure ?

          C’est justement parce que c’est une période de fragilité que les femmes doivent être particulièrement soutenues.

          La loi Veil rejetait très fermement toute idée d’un droit à l’avortement - (re)lisez les textes et discours de Simone Veil.
          Aujourd’hui, plus qu’un droit à l’avortement, c’est presque d’une injonction à l’avortement qu’il s’agit !

          En effet, combien de jeunes filles (notamment) se pointent au Plannig familial pour parler de leur grossesse et ne se voit conseiller que l’avortement...
          Sans parler des parents d’enfants trisomiques sur qui s’exerce une terrible pression de lapart des proches et des médecins.
          Les témoignages abondent...

          L’avortement, comme panacée ?!
          Non, je crois que seule la vie (le partage, le don, bref l’amour) peut guérir les blessures de la vie...


        • Gualtiero 24 août 2011 18:25

          Est-il possible de discuter sans s’insulter ?!

          En quoi suis-je « faux-cul » ?
          Je m’efforce de penser ET aux souffrances des femmes ET à la vie innocente de l’embryon.

          Je refuse de nier l’une des deux vies qui sont chacune une réalité dans touteleur dignité humaine.

          Par ailleurs, que pensez-vous de l’euthanasie ?


        • RUE1793 24 août 2011 15:09

          Mais non, c’est pas pour le plaisir de buter les vieux, c’est pour libérer des lits dans les cliniques privées en période de jambes cassées aux sports d’hivers.

          A moins que ceci provienne de contribuables parisiens rancuniers...

          Le débat doit être abordé sans passion.


          • Catherine Segurane Catherine Segurane 24 août 2011 19:29

            @ Galtiero


            La façon dont vous réitérez la question me demandant ce que je pense de l’euthanasie est incorrecte.

            Si je ne vous ai pas répondu la première fois, c’est que je ne l’ai pas souhaité.

            Vous deviez donc respecter ma décision.

            Vous n’avez aucune qualité pour me presser de questions quand je ne souhaite pas répondre, comme si vous étiez un commissaire de police et moi une accusée. C’est trop d’arrogance. 

            D’autant plus que vous titre votre article : Le meurtre en débat.

            Donc, vous qualifiez l’euthanasie de meurtre et vous me sommez de répondre à la question de savoir si je suis favorable à ce que vous appelez un meurtre.

            En d’autres termes, vous sous-entendez :

            1 que je suis pour le meurtre
            2 que je cherche à le cacher et qu’il faut me presser de questions comme un suspect.

            Une telle façon de procéder est des plus incorrecte.

            Bon, cela dit, et bien que je ne vous doive de comptes à aucun titre, je vais vous répondre :

            1 je suis pour l’euthanasie à 200 %
            2 j’estime que les curetons, rabbins et imams n’ont aucune qualité à la ramener dans le débat politique, sauf s’ils sont parallèlement des élus mais aucun ne l’est ; ils ne représentent qu’eux-mêmes et leur secte.



            • le journal de personne le journal de personne 24 août 2011 21:33

              Euthanasie

              Je suis ici dans votre cabinet, parce que vous prétendez au salut par la parole… alors que je prétends tout le contraire… que la parole est mortelle…
              Quelqu’un qui vous dit : j’ai envie de mettre un terme à ma vie… vous ne pouvez rien pour lui ! Et vous ne pouvez rien contre lui.
              C’est comme ça que je conçois les rapports humains… à mi-chemin entre l’euthanasie et la paralysie. La paralysie ! Et c’est mon dernier mot.
              Accrochez-vous parce que vous n’êtes pas au bout de vos peines !
              Vous rendez-vous compte, toute histoire est tributaire d’un mot et d’un seul… le noyau autour duquel gravitent tous les sentiments…
              Je te crains, tu me crains… c’est toujours un mot, rien qu’un mot qui domine notre esprit ! Qui nous suit et poursuit et nous rend encore et toujours plus petit !
              Le mot qui n’aurait jamais dû être prononcé… je vais vous le révéler… rien que pour m’en débarrasser : J’ai entendu mon père confier à un tiers qu’il n’a jamais aimé ma mère… je ne sais toujours pas pourquoi ça m’a dégoutée de la terre entière !
              Je peux aussi vous révéler celui qui a donné et ôté la vie à une vieille amie, Marie Madeleine…
              Noli me tangere : « Ne me touche pas » lui dit son bien aimé avant de disparaître dans les nuées.

              http://www.lejournaldepersonne.com/2011/02/euthanasie/


              • JOJO JOJO 24 août 2011 23:53
                l’acharnement à vivre ne profite qu’aux médecins qui prennent la vie en otage, audelà d’une certaine limite. 

                • Gargantua 25 août 2011 02:16

                  Par principe je suis contre l’euthanasie, contre l’acharnement thérapeutique.
                  Il y a suffisamment de moyen pharmaceutique pour accompagné les malades en phase terminal, sans pour autan leurs donnés la mort. 
                  L’acharnement médical à vouloir maintenir coute coute les personnes en vies, à lors que les diagnostique vitaux montre que la mort est éminente est aussi barbare que d’accéléré la mort par intraveineuse. 
                  Le temps de latence pour qu’une mort se face naturellement doit être respecté, cela ne haute pas les soins qui sont nécessaires pour le confort du mourants.

                  L’autre point qui n’est pas abordez, ce qui milite pour l’euthanasie, ne se rende pas toujours compte que sa favorise le prélèvement d’organe, et qui peut être fait tous à fait à l’insu de l’intéressé et de ses proches.
                  <Il s’agit au nom d’une conception abstraite - et fausse - de la liberté de faire des médecins les exécutants au sens strict du « mourir quand je veux, comme je veux » de ceux qui veulent à n’importe quel prix être les seuls et uniques maîtres de leur destin jusqu’au bout. »

                  Il y a une dérive l’éthique Médicale et scientifique, qui est pris qui ne sacralise plus le corps humain. qui devient un objet, avec une arrière pensé pécuniaire qui se fait jour.

                  PILULES D’ENDURANCE  Chine : des pilules d’endurance faites de bébés morts.http://www.chine-informations.com/actualite/chine-des-pilules-endurance-faites-de-bebes-morts_33076.html La prochaine génération de gélatine pourrait être dérivée de l’homme au lieu de l’animalhttp://www.alterinfo.net/La-prochaine-generation-de-gelatine-pourrait-etre-derivee-de-l-homme-au-lieu-de-l-animal_a61346.html Principes philosophiques diaboliques de la science moderne

                   Le monde de la « science » nous a donné l’arme atomique, les OGM, les vaccins, les produits chimiques toxiques, les pesticides de synthèse et les drogues de psychiatrie. Il s’est servi de gens innocents dans des expériences médicales mortelles et a déchaîné une pollution génétique généralisée sur notre monde par suite à la prolifération négligente des organismes génétiquement monstrueux. Mais les scientifiques affirmaient qu’ils créaient un monde meilleur. « Mieux vivre grâce à la chimie, » disaient-ils il y a vingt ans. Et aujourd’hui, une génération plus tard, nous sommes face à un délabrement de la vie si grand et si désastreux, qu’il est qualifié de sixième grande extinction de la vie sur notre planète.

                   Comment la science a-t-elle pu paver la voie à une destruction planétaire pareille ?

                  http://www.alterinfo.net/Principes-philosophiques-diaboliques-de-la-science-moderne_a58634.html

                  C’est pour cela que nous devons pas cédé au champ des sirène, car derrière se débat se profile des monstruosités scientifique qui son en préparation, qui est le clonage, et la manipulation génétique sur les humains.




                  • Gargantua 25 août 2011 02:19

                    Par principe je suis contre l’euthanasie, contre l’acharnement thérapeutique.
                    Il y a suffisamment de moyen pharmaceutique pour accompagné les malades en phase terminal, sans pour autan leurs donnés la mort. 
                    L’acharnement médical à vouloir maintenir coute coute les personnes en vies, à lors que les diagnostique vitaux montre que la mort est éminente est aussi barbare que d’accéléré la mort par intraveineuse. 
                    Le temps de latence pour qu’une mort se face naturellement doit être respecté, cela ne haute pas les soins qui sont nécessaires pour le confort du mourants.

                    L’autre point qui n’est pas abordez, ce qui milite pour l’euthanasie, ne se rende pas toujours compte que sa favorise le prélèvement d’organe, et qui peut être fait tous à fait à l’insu de l’intéressé et de ses proches.
                    <Il s’agit au nom d’une conception abstraite - et fausse - de la liberté de faire des médecins les exécutants au sens strict du « mourir quand je veux, comme je veux » de ceux qui veulent à n’importe quel prix être les seuls et uniques maîtres de leur destin jusqu’au bout. »

                    Il y a une dérive l’éthique Médicale et scientifique, qui est pris qui ne sacralise plus le corps humain. qui devient un objet, avec une arrière pensé pécuniaire qui se fait jour.

                    PILULES D’ENDURANCE  Chine : des pilules d’endurance faites de bébés morts

                    http://www.chine-informations.com/a...

                    La prochaine génération de gélatine pourrait être dérivée de l’homme au lieu de l’animal

                    http://www.alterinfo.net/La-prochai...

                    Principes philosophiques diaboliques de la science moderne

                     Le monde de la « science » nous a donné l’arme atomique, les OGM, les vaccins, les produits chimiques toxiques, les pesticides de synthèse et les drogues de psychiatrie. Il s’est servi de gens innocents dans des expériences médicales mortelles et a déchaîné une pollution génétique généralisée sur notre monde par suite à la prolifération négligente des organismes génétiquement monstrueux. Mais les scientifiques affirmaient qu’ils créaient un monde meilleur. « Mieux vivre grâce à la chimie, » disaient-ils il y a vingt ans. Et aujourd’hui, une génération plus tard, nous sommes face à un délabrement de la vie si grand et si désastreux, qu’il est qualifié de sixième grande extinction de la vie sur notre planète.

                     Comment la science a-t-elle pu paver la voie à une destruction planétaire pareille ?

                    http://www.alterinfo.net/Principes-...

                    C’est pour cela que nous devons pas cédé au champ des sirène, car derrière se débat se profile des monstruosités scientifique qui son en préparation, qui est le clonage, et la manipulation génétique sur les humains.


                    • Taverne Taverne 25 août 2011 09:35

                      Un article qui assimile l’iVG et l’euthanasie au meurtre ne peut servir à rien sinon à se torcher le cul.


                      • COVADONGA722 COVADONGA722 25 août 2011 09:37

                        difficile d’avoir un avis tranché tant que l’on est pas impliqué directement d’ou la nécéssité d’un débat serein .
                        Le seul cas ou le debat est inutile, c’est la pratique de l’euthanasie sur nos elites m’est avis que le plutot on s’y mettra le mieux cela sera !!!!!!


                        • garisamui garisamui 25 août 2011 10:40

                          @l’auteur

                          Qui êtes vous pour donner votre avis sur la question d’avorter où de ne pas avorter ?!?!
                          Seule la femme à qui cela devient un problème peut décider  ! C’est son corps !

                          Les individus de votre espèce, s’arrogent des pensées liberticides graves digne des Torquemada de l’Inquisition, et autre Hitler, Staline et quelques dirigeants Israéliens génocidaires .
                           Le fait même d’avoir de telles pensées est coupable !
                          Mais de quoi vous mêlez vous ? Seriez vous un fanatique religieux qui au nom de la vie, tue les médecins qui pratique l’avortement.
                          Qui est tu toi, et tous les autres , dont le pape, grand malade protecteur des pédophiles, entres autres crimes, pour décider de la vie des autres......RIEN ni PERSONNE......

                          En ce qui concerne l’euthanasie, l’état n’ a pas à donner son avis ; il y a trop de personnes comme l’auteur qui veulent s’occuper très mal de ce qui ne les regardent pas ; comme d’ailleurs pratiquement toutes les choses que fait l’état
                          Une seule solution, celle là à légiférer :

                          • le médecin traitant
                          • le chef de service concerné : en général le Professeur dudit service
                          • les membres de la famille proche, enfants où parents
                          • la personne concernée qui veut en finir
                          Ce seul collège en tenant compte de tous les faits médicaux , à le droit de décider, selon la volonté expresse du malade en fin de vie et souffrante, où de la proche famille si la personne est dans l’impossibilité de conscience définitive ( coma prolongé définitif etc ) avec un constat de par des autorités étatiques de droit tel que :
                          • un opj (officier de police judiciaire) pour le contrôle légal
                          • un notaire pour entériner le protocole

                          Alors là, oui on a le droit de décider de sa mort, où bien de pratiquer une euthanasie dans le respect et la dignité de chacun. Toutes les garanties seraient présentes pour différer du meurtre .

                          Vivre où mourir c’est l’affaire de chacun de nous, et ne regarde que chacun de dispenser de sa propre vie.
                          Par contre lorsque l’on bombarde des civils innocents,« dommages collatéraux », l’état et les anti avortement si préoccupés de la vie des autres, se font discrets....

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