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Lénine : 100 ans après sa mort, ses idées sont plus actuelles que jamais

Lénine : 100 ans après sa mort, ses idées sont plus actuelles que jamais

 

"Sa volonté était uniquement inébranlablement tendue,

comme une force irrésistible de la nature, vers un

seul but : la Révolution". Clara Zetkin.

 

 

Le 21 janvier 1924, Lénine, le grand Lénine a cessé de vivre à l'âge de cinquante quatre ans. Si la vie lui avait accordé quelques années de plus, le sort de la Révolution d'octobre aurait été probablement différent. En cette sombre période de débandade idéologique et de barbarie capitaliste, il est utile, voire nécessaire de rappeler quelques idées d'un homme qui a, qu'on le veuille ou non, profondément marqué l'histoire contemporaine. Parler de Lénine, c'est en quelque sorte lui redonner la parole, citer ses écrits et souligner son rôle décisif dans la glorieuse Révolution d'octobre 1917.

La révolution que la bourgeoisie hait de toute ses forces, Lénine lui a consacré et sacrifié toute sa vie. Seule la révolution socialiste mondiale peut sauver l'humanité du capitalisme et de ses ravages qui deviennent aujourd'hui de plus en plus évidents et de plus en plus insupportables. Pour faire triompher la révolution, Lénine s'appuyait sur la doctrine de Marx et d'Engels, inconciliable avec le charlatanisme et la superstition. C'est lui qui disait « sans théorie révolutionnaire, pas de mouvement révolutionnaire » (1), Lénine a déclaré une guerre implacable à la société de classe, à l'esclavage salarié, à l’État bourgeois, à la soumission de la femme à l'homme, au chauvinisme national, à toute forme d'opportunisme, à l'oppression, bref à toutes les conditions économiques, sociales et politiques qui méprisent et avilissent les hommes.

Pour Lénine, la marche en avant vers le socialisme ne peut résulter d’une quelconque perfection de la démocratie bourgeoise, de la conciliation des classes etc. Seule une révolution est en mesure de mettre un terme à la résistance de la minorité d’exploiteurs, et d’enfanter une nouvelle société.

Lénine s'est battu inlassablement avec toute son énergie et sur tous les fronts pour rendre possible la Révolution socialiste tant rêvée et espérée par tous les opprimés et par tous les exploités du monde.Toutes ses forces, toutes ses actions pratiques, tout son travail théorique et toutes ses tactiques tendaient vers la même stratégie, l'émancipation des travailleurs, vers la révolution non seulement en Russie mais à l'échelle planétaire.

Mais aujourd'hui pour tous les bourgeois du monde, petits et grands, Lénine est un monstre, un démon, un dictateur responsable de tous les crimes et de toutes les horreurs possibles et imaginables. On ne lui pardonnera jamais d'avoir appelé les ouvriers, les paysans pauvres et les soldats à se dresser, les armes à la main, contre la société bourgeoise. « Malheur au génie qui s’oppose fièrement à la société bourgeoise et qui forge les armes qui lui donneront le coup de grâce. A un tel génie, la société bourgeoise réserve des supplices et des tortures qui peuvent paraître moins barbares que ne l’étaient le chevalet de l’Antiquité et le bûcher du Moyen Age, mais qui au fond n’en sont que plus cruels » disait Franz Mehring parlant d'un autre génie, Karl Marx (2). De son vivant déjà, Lénine était haï, détesté, calomnié et persécuté par les classes possédantes et par tous les opportunistes du mouvement ouvrier. On a même tenté de l'assassiner à coups de revolver. Les balles qui l'ont touché ont certainement contribué à abréger sa vie. Cet attentat sur la personne de Lénine montre à l'évidence la haine viscérale que lui vouent les ennemis de la classe ouvrière. Rien de plus normal dans une société fondée sur la lutte des classes ! « Du vivant des grands révolutionnaires, les classes d'oppresseurs les récompensent par d'incessantes persécutions ; elles accueillent leur doctrine par la fureur la plus sauvage, par la haine la plus farouche, par les campagnes les plus forcenées de mensonges et de calomnies » disait Lénine (3).

Un siècle après sa mort, les idées de Lénine font toujours peur à tous les défenseurs de l'ordre établi. Car Lénine s'est attaqué aux fondements même des pouvoirs de cette minorité d'exploiteurs qui n'hésite et qui ne recule devant rien pour perpétuer ses privilèges. Lénine a démontré que sans le renversement du capitalisme par une révolution socialiste, point de salut pour tous les travailleurs et pour tous les opprimés. Le véritable crime de Lénine c'est d'avoir remplacé la Révolution bourgeoise de février 1917 par la Révolution socialiste d'octobre. Ce crime là, la bourgeoisie ne lui pardonnera jamais. « Lénine doit naturellement apparaître comme Attila venu détruire la Rome du bien-être et du confort bourgeois, basé sur l'esclavage, le sang et le pillage. Mais de même la Rome antique a mérité sa perte, de même les crimes du monde contemporain justifient la nécessité de sa destruction » disait Maxime Gorki (4).

Lénine était aimé et admiré par les ouvriers et les paysans pauvres. Il savait leur expliquer des choses profondes avec des mots simples. John Reed le décrivait ainsi : « Peu fait, physiquement, pour être l'idole de la foule, il fut aimé et vénéré comme peu de chefs au cours de l'histoire. Un étrange chef populaire, chef par la seule puissance de l'esprit. Sans brillant, sans humour, intransigeant et détaché, sans aucune particularité pittoresque, mais ayant le pouvoir d'expliquer des idées profondes en termes simples, d'analyser concrètement des situations et possédant la plus grande audace intellectuelle » (5).

Il ne s'agit pas ici de verser dans le culte de la personnalité ou de l'idolâtrie. Lénine lui-même combattait fermement ce genre de futilités. Ce sont les masses qui font l'histoire et non « les grands hommes ». « Il n'est pas de sauveurs suprêmes » disait Eugène Pottier dans l'Internationale. Mais pour faire la révolution, les masses ont besoin de chefs de la trempe de Lénine et des intellectuels révolutionnaires : « les ouvriers ne pouvaient pas avoir encore la conscience social-démocrate. Celle-ci ne pouvait leur venir que du dehors. L'histoire de tous les pays atteste que, par ses seules forces, la classe ouvrière ne peut arriver qu'à la conscience trade-unioniste, c'est-à-dire à la conviction qu'il faut s'unir en syndicats, mener la lutte contre le patronat, réclamer du gouvernement telles ou telles lois nécessaires aux ouvriers, etc. Quant à la doctrine socialiste, elle est née des théories philosophiques, historiques, économiques élaborées par les représentants instruits des classes possédantes, par les intellectuels. Les fondateurs du socialisme scientifique contemporain, Marx et Engels, étaient eux-mêmes, par leur situation sociale, des intellectuels bourgeois. De même en Russie, la doctrine théorique de la social-démocratie surgit d'une façon tout à fait indépendante de la croissance spontanée du mouvement ouvrier ; elle y fut le résultat naturel, inéluctable du développement de la pensée chez les intellectuels révolutionnaires socialistes » (6).

Sans Lénine, la Révolution d'octobre 1917 n'aurait probablement jamais triomphé. La révolution était le produit des rapports sociaux de la Russie de l'époque. Mais Lénine agissait dans le cadre des conditions sociales et politiques particulières. La Première Guerre mondiale et la Révolution de février étaient des occasions, des opportunités à ne pas manquer pour renverser le Gouvernement provisoire et donner ainsi le pouvoir aux ouvriers et aux paysans pauvres.

En 1915, un an seulement après le déclenchement de cette terrible guerre impérialiste, Lénine appelait déjà à la transformer en guerre civile : « Le caractère réactionnaire de cette guerre, le mensonge éhonté de la bourgeoisie de tous les pays, qui dissimule ses visées de brigandage sous le manteau de l'idéologie “ nationale ”, suscitent nécessairement, dans la situation révolutionnaire qui existe objectivement, des tendances révolutionnaires au sein des masses. Notre devoir est d'aider à prendre conscience de ces tendances, de les approfondir et de leur donner corps. Seul le mot d'ordre de la transformation de la guerre impérialiste en guerre civile exprime correctement cette tâche, et toute lutte de classe conséquente pendant la guerre, toute tactique sérieusement appliquée d'“ actions de masse ” y mène inévitablement » (7).

Lénine expliquait à qui veut l'entendre qu'il ne s'agit nullement d'une simple opposition à la guerre, mais de renverser tous les gouvernements en guerre à commencer par celui de la Russie.

Mais son propre parti n'était pas prêt à cette tâche c'est-à-dire mener la révolution bourgeoise déclenchée en février jusqu'à son terme. La plupart des dirigeants bolcheviks, avant le retour de Lénine de l'exil en avril 1917, étaient prêts à travailler avec le Gouvernement provisoire de Kérenski composé de bourgeois et de propriétaires terriens.

Dans ses célèbres « thèses d'avril », Lénine exige des Bolcheviks de se préparer à l'insurrection et à la prise du pouvoir : « Ce qu'il y a d'original dans la situation actuelle en Russie, c'est la transition de la première étape de la révolution, qui a donné le pouvoir à la bourgeoisie, à sa deuxième étape, qui doit donner le pouvoir au prolétariat et aux couches pauvres de la paysannerie » (8).

Les thèses de Lénine ont été accueillies avec beaucoup d'hostilité :« Même ses camarades de parti, les bolcheviks ahuris, se détournèrent alors de lui » écrivait Trotsky dans « Histoire de la révolution russe ». Lénine se trouva alors seul avec ses idées révolutionnaires. Mais en même temps, il savait qu'il pouvait compter sur les ouvriers, les paysans pauvres, la base du parti et sur les soldats qui désertaient massivement le front. Lénine disait que « ce pays d'ouvriers et de paysans indigents était mille fois plus à gauche que les Tchernov et les Tsérételli et cent fois plus à gauche que nous autres, bolcheviks » (9) . Les masses opprimées savent que les puissants ne renoncent jamais à leurs privilèges, qu’ils n’accordent jamais rien par générosité ou grandeur d’âme et qu’ils ne reculent devant rien pour sauver leurs intérêts et perpétuer leur système. Elles ont compris, comme Lénine, que le moment était venu pour s'emparer du pouvoir les armes à la main.

Mais la direction du parti continue à tergiverser. Lénine devient de plus en plus impatient « Les bolchéviks doivent prendre le pouvoir sur le champ disait-il dans une lettre au comité central. (…) Temporiser est un crime. Attendre le Congrès des Soviets, c'est faire preuve d'un formalisme puéril et déshonorant ; c'est trahir la révolution » (10).

Le 24-25 octobre (6-7 novembre) 1917, les ouvriers, les paysans et les soldats russes s'emparent du pouvoir, un pouvoir qui les asservissait, qui les opprimait.

En ces premiers moments historiques, « quelque chose s’était brusquement éveillé en tous ces hommes écrivait John Reed. L’un parlait de la révolution mondiale en marche, un autre de l’ère nouvelle de fraternité, où tous les peuples ne seront plus qu’une grande famille (…) Mus par une commune impulsion, nous nous trouvâmes soudain tous debout, joignant des voix dans l’unisson et le lent crescendo de l’Internationale. Le chant roulait puissamment à travers la salle, ébranlant les fenêtres et les portes et allant se perdre dans le calme du ciel ».(11).

La Révolution d'octobre 1917 a renversé l'ordre ancien et ouvert les perspectives pour une nouvelle forme supérieure de vie. « La seule raison du succès des bolcheviks, c’est qu’ils réalisaient les vastes et élémentaires aspirations des couches les plus profondes du peuple, les appelant à l’ œuvre de destruction du passé et coopérant avec elles pour édifier sur ses ruines encore fumantes un monde nouveau » (12). Après la glorieuse Commune de Paris, les masses opprimées guidées par Lénine s’emparent à nouveau du pouvoir et entrent dans l’Histoire.

Mais on ne peut parler de Lénine sans évoquer sa compagne Nadejda Kroupskaïa. Comme disait Clara Zetkin « Il est impossible de parler de lui sans penser à elle. Elle était la main droite de Lénine, son meilleur secrétaire, sa compagne dévouée, la meilleure interprète de ses idées » (13).

Son dévouement a beaucoup aidé Lénine à supporter la clandestinité et la vie pénible des révolutionnaires partout traqués par la police du Tsar. Rappelons que Lénine et Nadejda Kroupskaïa ont passé plus de quinze ans dans l'immigration changeant sans cesse de pays, de villes et de logements. Kroupskaïa a probablement souffert plus que Lénine des affres de l'exil. Elle menait de front plusieurs combats et plusieurs tâches. En plus de ses travaux scientifiques dans le domaine de la pédagogie qui embrassent tous les domaines de la politique éducative (14), elle consacrait une grande partie de son temps à la diffusion des brochures et documents du parti, combattait les ennemis de Lénine, engageait des luttes pour la cause des femmes etc. mais si « la vie n'était pas gaie » en exil, le retour du couple en Russie en avril 1917 était triomphal : « Les masses, ouvriers, soldats, matelots, s'étaient portées au-devant de leur chef. Tout autour de nous, c'était une mer humaine qui bouillonnait. Qui n'a pas vu la révolution ne peut s'en imaginer la beauté majestueuse, triomphale » disait Nadejda Kroupskaïa dans « Souvenirs sur Lénine » (15).

Au crépuscule de sa vie, malade, affaibli et éloigné du pouvoir, Lénine pouvait encore et toujours compter sur sa plus fidèle camarade, Nadejda. C'est dire le rôle joué par cette femme discrète dans la vie de Lénine et partant dans la révolution d'octobre.

Le 21 janvier 1924, Lénine a cessé de vivre à l'âge de cinquante quatre ans. Si la vie lui avait accordé quelques années de plus, le sort de la Révolution d'octobre aurait été probablement très différent. En tout cas, ses ennemis se sont empressés, contre la volonté de sa veuve, d'embaumer son corps afin de consolider leur propre pouvoir et pour mieux enterrer ses idées révolutionnaires.

Parlant des chefs des classes opprimées en lutte, Lénine disait « Après leur mort, on essaie d'en faire des icônes inoffensives, de les canoniser pour ainsi dire, d'entourer leur nom d'une certaine auréole afin de "consoler" les classes opprimées et de les mystifier ; ce faisant, on vide leur doctrine révolutionnaire de son contenu , on l'avilit et on en émousse le tranchant révolutionnaire » (16).

Après l'adieu officiel à Lénine, Nadejda Kroupskaïa prononça ces paroles : « Camarades, ouvriers et ouvrières, paysans et paysannes. Ne laissez pas votre peine se transformer en adoration extérieure de la personnalité de Vladimir Ilitch. Ne construisez pas de palais ou de monuments à son nom. A toutes ces choses, il accorda peu d'importance au cours de sa vie. Ça lui était même pénible.(...) Si vous voulez honorer la mémoire de Vladimir Ilitch, construisez des crèches, des jardins d'enfants, des maisons, des écoles, des hôpitaux, et mieux encore vivez en accord avec ses préceptes » (17). Son avertissement n'a pas été vraiment entendu.

 

Mohamed Belaali

Blog MBelaali

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(1)Lénine, « Que faire », Éditions du progrès, page 46.

(2)Franz Mehring « Karl Marx, histoire de sa vie », Bartillat, page 261.

(3)Lénine « L'Etat et la révolution » :

https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1917/08/er1.htm

(4)Maxime Gorki dans V I Lénine : http://gallica.bnf.fr/ark :/12148/bpt6k1478992/f1.image

(page 13).

(5) John Reed, « Les dix jours qui ébranlèrent le monde », Editions Tribord, 2010, page 220 .

(6)Lénine, « Que faire ? » op cit, page 56.

https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1902/02/19020200g.htm

(7)https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1915/08/vil19150800b.htm

(8) https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1917/04/vil19170407.htm

(9)https://www.marxists.org/francais/trotsky/oeuvres/1924/04/lt1924042100c.htm

(10)https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1917/10/vil19171001b.htm

(11)John Reed, « Dix jours qui ébranlèrent le monde ». Op cit. pages 228 et 229.

(12)John Reed, op. cit.

(13)Clara Zetkin, « Souvenirs sur Lénine » : https://www.marxists.org/francais/zetkin/works/1924/01/zetkin_19240100.htm

(14)http://www.ibe.unesco.org/sites/default/files/kroupskf.pdf

(15)Nadejda Kroupskaïa, « Souvenirs sur Lénine » :

https://www.marxists.org/francais/kroupskaia/works/1924/00/emigration.htm )

(16) Lénine, « L’État et la révolution », op.cit.

(17)Cité dans Tariq Ali, « Les dilemmes de Lénine », Sabine Wespieser éditeur, 2017, page 459.


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19 réactions à cet article    


  • Brutus S. Lampion 22 janvier 10:50

    « Le 21 janvier 1924, Lénine a cessé de vivre à l’âge de cinquante quatre ans. Si la vie lui avait accordé quelques années de plus, le sort de la Révolution d’octobre aurait été probablement très différent. »

     « Le nez de Cléopâtre s’il eut été plus court, toute la face de la Terre aurait changée »  Blaise Pascal

    Vraiment ? Est-ce que César aurait changé de personnalité ? Est-ce que Staline aurait été neutralisé ?

    Les ancdotes de l’histoire n’expliquent pas les mouvements de fond. La houle est une chose, le clapotement des bateaux à quai en est une autre.


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 22 janvier 11:03

      Lénine, Staline, Trotski financés par les Rothschild ^^


      • Brutus S. Lampion 22 janvier 11:27

        @bouffon(s) du roi

        sources ?


      • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 22 janvier 11:35

        @S. Lampion

        mais c’est pas vrai ça, personne ne cherche en fait ? ^^


      • Seth 22 janvier 11:50

        @S. Lampion

        Ne pas s’inquiéter. un bouffon, ça sort des bouffonneries par définition. Et plus elles sont grosses plus on rigole. smiley


      • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 22 janvier 11:56

        @Seth

        oui et quand je vous balance des liens étonnamment plus personne pour se la ramener et faire son mariole ^^


      • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 22 janvier 14:08

        ... alors je vous mets sur les rails ?  smiley ^^


      • SilentArrow 23 janvier 03:17

        @bouffon(s) du roi
         

        ... alors je vous mets sur les rails ?

        C’est pas un lien, ça.

      • Lynwec 23 janvier 08:21

        @bouffon(s) du roi

        La vérité perce parfois par delà l’humour...


      • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 23 janvier 11:06

        Les rails ... le train qui est parti de Suisse en passant par l’Allemagne pour arriver en Russie, emportant Lénine et ce que « pudiquement » dit wiki « avec des alliés » qui n’étaient autres que Trotski , Staline, Kaganovich, et Litvinov. Dans leurs bagages ils emportaient, non seulement le matériel et le financement, mais aussi le « Catéchisme du révolutionnaire » de Netchaïev.
        Tout ça grâce à l’aide de Max WarBurg, l’agent Rothschild en Allemagne, frère de Paul Warburg, le créateur, fondateur et 1er président de la FED ^^

        De là, vous auvez toutes les infos pour approfondir .. en cherchant smiley ^^


      • juluch juluch 22 janvier 12:14

        Ouais.....et si ma tante en avait ça serait mon oncle.....

        le communisme fut l’un des pires mouvement politique du XXe siècle.....


        • SilentArrow 23 janvier 03:13

          @juluch

          Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme et le communisme, c’est le contraire.


        • Lynwec 23 janvier 08:18

          @SilentArrow

          Ce n’est pas parce que des ordures, venues des pays capitalistes, ont mis en place au pays des tsars, une dictature ultra-répressive et l’ont nommée « communisme » que c’en était pour autant... C’était le même système de spoliation du plus grand nombre au profit d’un petit nombre, rebaptisé pour la forme de manière à tromper les sans dents locaux...

          Double gain en fait, puisque à l’autre bout du gâteau, on pouvait ainsi agiter le chiffon rouge des abominables communistes, Hollywood passant par là, pour apaiser le troupeau pendant la tonte à ras...


        • SilentArrow 24 janvier 02:07

          @Lynwec

          Le « communisme » soviétique, a eu un effet positif dans les pays occidentaux : la crainte de ce communisme a fait lâcher du lest au patronat. Depuis la chute de l’URSS, le patronat qui n’a plus à craindre le communisme cherche par tous les moyens à grignoter tous les acquis sociaux des travailleurs.


        • Lynwec 24 janvier 07:47

          @SilentArrow

          Tout à fait juste...
          Mais la diabolisation du faux communisme a permis de mettre dans les cervelles les plus éteintes que l’idée du partage est dangereuse, mène automatiquement à la tyrannie, et qu’il vaut mieux se faire piller librement par une infime minorité apatride de tyrans discrets, habilement couverts par des marionnettes publiques sacrifiables...

          Peu de gens font l’effort d’analyser les origines de ce faux communisme, ses méthodes, et l’intérêt pour l’autre « bloc » (complice) de son existence...


        • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 23 janvier 07:35

          Les ordudures adorées des Islamo-gauchistes.

          Ici un Islamo-gauchiste adore celui qui a servi d’initiation a Staline, Pol Pot, Mao et tous les criminels de masse.

          Les Islamo-gauchistes adorent les idéologies de tyrannie, le communisle ou l’Islam.

          Quels pays ont enrichi leurs population avec le comunisme ou l’Islamisme ?

          AUCUN

          Quels pays ont connus la tyranie les massacres de masse de leurs population ?

          Les pays qui ont essaye le communisme et les pays Islamistes.

          Derrière ces gens adorateurs des criminels se terre la même sociologie, la frustration de dépendre des autres, la haine de la liberté et le folie.

          Leur place est à l’asile, car c’est la définition d’être fou pour demander d’essayer encore et encore ce qui n’a jamais jamais marché, qui créee la terreur, la mort des masses.

          Triste gauchistes, tristes islamistes.


          • Lynwec 23 janvier 08:12

            @Spartacus Lequidam

            Toujours les mêmes invectives convenues, sortes de jokers évitant toute analyse...
            Avez-vous vécu personnellement dans un des pays dont vous décrivez le sort peu enviable ? Non, à l’évidence, et moi non plus...

            Comme on sait à quel point le mensonge est présent partout, pourquoi se fonder sur des « racontars » pour en juger...

            D’un autre côté, quel pays, bien qu’évitant scrupuleusement de se déclarer « en guerre », l’a été presque en permanence et a provoqué « des massacres de masse », mais dans les populations « des autres pays » ?

            On en a encore la démonstration plus qu’évidente avec le Yémen : ces gens réclamaient, pour mettre fin à leurs actions contre les navires liés à Israël, la fin des massacres en Palestine occupée (tiens donc, où est Pol Pot ? où sont Staline, Mao et tous les criminels de masse ?) .

            Les USA, grand soutien, pouvaient faire pression pour les faire cesser . L’ont-ils fait ? Bien au contraire...fournissant les bombes pour raser Gaza...
            Ils ont également choisi de bombarder le pays le plus pauvre de la planète tout en déclarant savoir pertinemment que leurs bombardements n’arrêteraient pas le blocus...

            Que faut-il en penser ? Un goût prononcé pour les tueries ?


          • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 23 janvier 17:58

            @Lynwec
            Faut sortir, l’europe de l’est est a moins de 100kms.
            Des ex pays communistes, y’en a beaucoup.
            Et je me souvient de mon 1er voyage en RDA à 17ans, la ville ou j’habitais, une ville de cocos avait organisé un voyage et j’ai suivit le groupe.

            Quel merde la RDA et surprise horrible par rapport a ce que les cocos de la ville avaient vendu, aucun souvenir a ramener, des magasins reservés aux touristes, des gens qui a la sortie de l’hotel voulaient des devises et posaient des questions et des moyens pour fuir.
            Des gens qui regardaient nos vetements comme des trucs de luxe, eux qui n’avaient rien.

            Et le pire ces connards de communistes de la ville qui expliquaient dans le bus du retour de dire que tout était génial et de cacher la verité.

            C’est au retour que j’ai compris que le communisme c’est une tyrannie intellectuelle sectaire.

            Votre référence, le Yemen Houthis c’est un pays de sauvages et barbares musulmans, on y pratique l’esclavage, les filles et les femmes doivent voyager avec un papier de tuteur, l’inceste avnt 8 ans est coutumier et j’ai un article en cours de pubication en modération mais les ordures de la secte gauchistes de Agoravox sont trop cons pour laisser passer les véritésqui dérangent leurs utopies...


          • Lynwec 24 janvier 07:53

            @Spartacus Lequidam

            Envoyez donc une copie de votre dernier paragraphe à qui de droit, certains anciens agitateurs de mai 68 seront intéressés par un séjour « touristique »...

            Ce qu’on vous a présenté comme du communisme n’en était évidemment pas, juste un régime totalitaire exploitant comme chez nous, mais avec beaucoup moins de discrétion, la majorité au profit d’une infime minorité...
            Les fondateurs de ce faux communisme sont bien connus et leur avidité sans limites l’est également...

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Mohamed Belaali


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