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Accueil du site > Tribune Libre > Nobel ou cimetière ? D’abord sortir la science de l’impasse au (...)

Nobel ou cimetière ? D’abord sortir la science de l’impasse au 21ème siècle

J’ai vécu l’impasse du système et j’ai cherché à sortir de l’impasse (voir précédemment). Maintenant, je m’interroge sur la possibilité de sortir la science de l’impasse où elle se situe. C’est donc le troisième volet et certainement le plus intéressant car l’ouverture des chemins et des voies est l’essence même du séjour de l’homme en société sur cette terre de civilisations.

En vérité, au stade précoce de ce cheminement au début des années 1990, je ne savais pas qu’il était question d’impasse mais maintenant que ma chouette de Minerve peut décoller, je vois les événements avec une acuité certaine. Déjà, en 1996, la situation s’était éclaircie après la soutenance de ma thèse de philo. Le milieu de la décennie 1990 a été un moment de flottement. A la fois dans les sciences et dans la philosophie sans compter la mélancolie idéologique post-communiste qui hanta les esprits. Les cafés philo ont échoué à donner du sens aux citoyens, dévoilant surtout le désarroi généralisé. Mais dieux merci, il s’est produit quelques ouvertures scientifiques très localisées. Neurones miroirs, décohérence, mécanique quantique du trou noir, principe holographique et je pense, les innovations contenues dans ma thèse mais qui sont restées inconnues parce qu’elles étaient trop en avance ; hors cadre conventionnel et en dehors des préoccupations du monde voué à la frénésie du pouvoir et de l’action. Un monde qui se produit en dévorant quelques uns de ses parties. Tout se transforme. La science devient un instrument au service des pouvoirs et des masses (mais a-t-elle été autre chose par le passé ?). La science reste au niveau où la maintiennent le pouvoir et les masses. Satisfaire les ambitions politiques et les désirs individuels. Il ne faut pas s’étonner des difficultés rencontrées par les authentiques chercheurs, les rares rescapés de ce système qui laisse périr les décalés, les marginaux et les génies. Parmi lesquels figure un grand penseur de cette époque largement ignoré en France ; Ken Wilber.

Le milieu des années 1990. C’est cette période que je retiens pour dater l’amorce d’un grand changement paradigmatique qui devrait bouleverser toutes les sciences, de la physique à l’esprit. En affectant surtout la biologie. Près de vingt ans après, il faut bien reconnaître que le nouveau paradigme en est encore au stade des fondations. Quelques pierres ont été façonnées mais pas de quoi laisser transparaître cette nouvelle cathédrale de la connaissance. En 2010, le philosophe des sciences Gennaro Auletta a laissé entendre que nous serions à peu près à mi-chemin du parcours conduisant vers un paradigme achevé ou du moins assez clair dans ses grandes lignes pour devenir un sujet de discussion puis éventuellement gagner les esprits et faire l’objet d’un consensus élargi. On peut penser que les savants qui réfléchissent traînent mais il faut aussi faire remarquer que le paradigme actuel fait l’objet d’un large consensus et surtout, qu’il sert de cadre formel pour élaborer des tests et réaliser des expériences permettant de publier et s’il y a lieu, de développer des applications censée être efficaces, tout particulièrement dans la sphère de la santé ainsi que des techniques agronomiques. Prenons la mécanique quantique. Quelques esprits curieux tentent de la déchiffrer et de comprendre ce qu’elle veut nous dire alors que la très grande majorité des physiciens apprécient son formalisme car il est efficace pour décrire et décoder les expériences microphysiques. Tout comme le paradigme mécaniste est très utile pour faire des statistiques et mesurer des corrélations en biologie et médecine. Autant dire qu’il faudra « mettre le paquet » pour faire du nouveau paradigme un sujet de débats scientifiques. Et surtout trouver quelques financements pour donner les moyens légitimes aux aventuriers de la science nouvelle du 21ème siècle.

Un tableau de nos sociétés se dessine à travers le cours de la science et du système productif. Cette mondialisation tant appréciée des uns et décriée par les observateurs critiques a pour principe la frénésie productiviste (symbolisée par la figure de la tête sur le guidon). Si bien que le marché et les Etats méconnaissent la nature de l’homme sauf la partie qui les intéresse car elle représente une ressource pour le système. Alors que la science ignore l’essence même de la vie, ses fondements cachés. Cette science qui sait très bien utiliser la nature sans en saisir l’essence. Peu importe la réalité se dit l’homme technicien du 21ème siècle, il suffit d’en faire son terrain de jeu et d’expérience. Face à ce système qui ensorcelle autant les puissants que les masses, le philosophe proche de la réalité continue à chercher la vérité mais il n’est pas entendu ni soutenu, sauf par quelques initiés. A l’ère consumériste, les puissants cherchent le pouvoir et le profit et les masses cherchent le confort, la sécurité et la satisfaction de leurs désirs. Voilà ce que je peux conclure de mon court passage en cette époque de doutes et d’égarements. Je sais par expérience que les puissants n’ont rien à cirer de la connaissance ni de l’éthique. Gagner au jeu du pouvoir est leur seul souci ; accompagné de plaisir et profit. Cela dit, j’aimerais aussi gagner la partie mais dans une priorité éthique authentique. Gagner pour faire émerger la connaissance et non pas satisfaire son ego. La joie doit aussi accompagner le chemin du philosophe. Spinoza et Nietzsche ne diraient pas le contraire.

Et ce nouveau paradigme, a quoi ressemblera-t-il ? Je donne juste quelques pistes et indications. Une nouvelle manière de considérer l’information permettra de comprendre les processus du vivant à partir d’une organisation cognitive des molécules, puis des cellules. Même chose au niveau de l’univers avec la nature holographique de l’information, les effets quantiques systémiques liés à l’intrication et la cohérence. En vérité, toutes les réalités de l’univers, de la matière au sujet humain, sont dédoublées, avec la face intérieure porteuse d’une information surdéterminée et relationnelle autant qu’auto-déterminante. Seul l’être humain peut accéder à son intériorité, en plus de la perception du monde matériel naturel. Cela s’appelle la conscience. Le traitement supérieur de l’information qui s’y déroule s’appelle pensée.

L’élaboration de ce nouveau paradigme et des nouvelles sciences ne peut se faire que dans un contexte affranchi des pesanteurs bureaucratiques et des routines scientifiques et des intérêts financiers autant que politiques. Il faudrait créer quelques centres de recherche en ontologie. Cela fait plus de dix ans que j’y réfléchis mais il y a trop de blocages. D’ailleurs, Derrida y avait songé, lui qui plaidait pour une université sans condition. Peut-être que le moment arrive avec quelques philosophes et scientifiques assez avancés sur cette voie. Pour ce qui est de mon chemin, il est arrivé au terme d’une étape de consolidation faisant que les intuitions façonnées dans ma thèse au milieu des années 1990 puis publiées sous une présentation originale chez L’Harmattan ont fini par rencontrer les résultats scientifiques en physique quantique, en cosmologie quantique et en biologie moléculaire et épigénétique. Je crois avoir découvert le concept de biologie cognitive en même temps que mon confrère en philosophie des sciences Gennaro Auletta qui a publié un gros livre aux presses d’Oxford en 2011. Je peux me considérer comme satisfait et soulagé d’avoir suivi la bonne voie. Et comme aurait dit Thierry Rolland, je peux mourir heureux maintenant. J’ai gagné la coupe de mon monde en ayant joué un match ontologique pendant des années. Mais pour être reconnu vainqueur, encore faut-il des arbitres pour en juger. Je me souviens d’une conversation avec mon directeur de thèse il y a plus de 10 ans. Je déplorais que mon livre de métaphysique ait été boudé par Roger Pol-Droit, alors responsable des critiques philosophiques au Monde. La réponse de mon interlocuteur fut franche et directe. Pol-Droit ne pouvait pas comprendre mon essai.

(Bon, je m’en remets à Dieu pour la suite de ce chemin. Les mécréants peuvent bien aboyer, et les dévots de la science me conspuer. Je reste zen. Thérapie génique, cancer, Alzheimer, Parkinson, Sida… aucun progrès alors, conspuez-moi si vous voulez. Et que Dieu m’accorde la providence pour cet étrange dessein) Pour le reste, l’idéal serait de trouver des partenaires dans ce projets, des mécènes car le système est bien incapable de comprendre l’intérêt de ces recherches. Plus modestement, j’espère qu’un éditeur pourra publier mon essai sur le vivant. C’est idiot cette situation. Mes travaux sont en avance et novateurs mais je vais finir dans le fossé des pionniers rejetés et c’est franchement dommage. Mais c’est la règle du système. L’homme est un prédateur autant qu’un fossoyeur. Le Nobel ou le cimetière. C’est au moment de la mort que le bilan de la vie doit être dressé. Mais quoi qu’il se passe, la société des hommes est à la fois un grand moment de civilisation et une sinistre farce conduite par des arnaqueurs. Là aussi, il y aurait un bon sujet de réflexion à instruire. Les imposteurs, les tricheurs… L’énigme de l’Homme est aussi celle de la Nature et de Dieu.

 


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18 réactions à cet article    


  • robin 26 avril 2013 09:36

    Pour sortir la science de l’impasse il faudrait la sortir de l’influence de tous lobbies (même chose chez les merdias d’ailleurs), autant rêver, elle crèvera donc avec le capitalisme, il faut vous y faire.


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 26 avril 2013 13:15

      Les lobbies n’y sont pour rien Le problème, c’est une sorte d’ignorance généralisée et un manque de support médiatique. Les journalistes ne sont pas à la hauteur de la science, les politiques sont indifférents à la science, sauf si elle est un moyen.


    • ffi ffi 26 avril 2013 14:04

      A mon avis, pour sortir la science de l’impasse, il faut y privilégier l’amour de la simplicité plutôt que le génie de la complication, ce que Dugué ne semble pas en mesure de faire.
       
      Il conviendrait déjà de réviser les fondements des théories du XXème siècle, en faire un audit, afin de simplifier les approches de manière à en éradiquer tous les détours inutiles, ce que Dugué, qui accepte pleinement toutes ces théories, ne semble pas en mesure de faire.
       
      Quand on est dans une impasse, il convient de faire demi-tour si l’on ne veut pas faire du surplace...


    • Vipère Vipère 26 avril 2013 18:51

      L’énigme de l’homme ?

      Franck HATAM nous donne quelques pistes de réflexion.... smiley


    • CKPLAN 27 avril 2013 07:56

      Bonjour,

      « l »imagination est plus importante que la connaissance« . (A. Einstein).

      L’univers est nombre.

      Le platonisme mathématique est la voie qui part de l’essentiel :

       »Il existe, si je ne me trompe, tout un monde qui est l’ensemble des vérités mathématiques, dans lequel nous n’avons accès que par l’intelligence, comme existe le monde des réalités physiques ; l’un et l’autre, indépendants de nous, tous deux de création divine, qui ne semblent distincts qu’à cause de la faiblesse de notre esprit, qui ne sont pour une pensée plus puissante qu’une seule et même chose, et dont la synthèse se révèle partielllement dans cette merveilleuse correspondance entre les mathématiques abstraites d’une part, l’astronomie et toutes les branches de la physique de l’autre."

      « Je vous ferais bondir,

       si j’osais vous avouer que je n’admets aucune solution de continuité, 
      aucune coupure entre les mathématiques et la physique,
       et que les nombres entiers me semblent exister en dehors de nous et en s’imposant avec la même nécessité, la même fatalité que le sodium, le potassium, etc. »

      Le temps , la durée plutôt, résultent de la rotation de la terre sur elle même, de la rotation autour su soleil et du mouvement du système solaire dans la galaxie.

      Nos chercheurs sont sur des branches de l’arbre de la connaissance avec une sophistication à l’extrême de leurs modèles et outils, chacun dans son domaine .

      Simplifions ! Revenons aux racines et au tronc initial de la connaissance.

      CF. mon blog :


      Cordialement.

    • Aldous Aldous 26 avril 2013 10:44

      Pourquoi le choix de cette illustration ?


      • Bernard Dugué Bernard Dugué 26 avril 2013 13:12

        Lame 21, le Monde, c’est le dernier arcane du Tarot Je vous laisse deviner le symbole


      • Aldous Aldous 26 avril 2013 14:36

        Allez je vous fait une proposition :

        7+7+7 = 21

        http://www.jovanovic.com/ws777.htm

         smiley


      • Gollum Gollum 26 avril 2013 11:03

        Bonjour. L’éloge de Ken Wilber avec la présentation de la lame XXI du Tarot (lame assez stylisée et modernisée mais qui perd en puissance d’évocation je trouve..) m’a fait plonger dans la fiche Wikipédia consacrée à WIlber... J’avoue mal me souvenir de son ouvrage Une brève histoire de tout...


        Je vois donc dans ce portrait de Wikipédia le concept de holon. Qui sont apparemment des niveaux d’organisation en soi complets du réel, mais qui peuvent être imbriqués les uns dans les autres.. Dans cette même page Wiki on voit les 4 quadrants de l’existence avec la notion d’objectivité/subjectivité entrecroisée avec celle d’individuel/collectif...

        J’avoue être assez agacé ici de voir que Wilber ne fait jamais référence à Abellio qui a, bien avant lui, conceptualisé le même style de logique à 4 pôles, avec interdépendance croisée de ces pôles, cette interdépendance ayant pour résultat un pôle du Haut, qui dans le vocabulaire de Wilber ferait pénétrer à l’étage supérieur, autrement dit un holon plus englobant, alors que le pôle du Bas, mettrait en liaison avec le ou les holons inférieurs (je dis « les » parce que l’étage inférieur est celui de la pluralité)..

        Cette logique de la contradiction croisée comme l’appelle Abellio n’est autre que la logique traditionnelle que l’on retrouve dans tous les Arts ésotériques, astrologie, Yi Jing chinois, alchimie, et.. Tarot.

        Dont la lame XXI montre précisément un androgyne (qui n’est autre que le Christ lui-même) au sein des 4 animaux d’Ézéchiel, ces animaux correspondants aux 4 signes fixes du zodiaque..

        Cette même logique sphérique, globalisante, se retrouve dans le Sepher Yetzirah, texte fondamental de la tradition juive.

        On voit donc qu’a toujours circulé de façon souterraine, et cela depuis des siècles, des concepts que certains modernes tels qu’Abellio, Lupasco ou Wilber retrouvent.

        (Toujours est-il que je suis très circonspect quand je vois dans la quadrature d’explication du holon « existence » proposé par Wilber dans cet texte Wiki, Freud et Marx..

        Ce n’est pas parce que le modèle est pertinent que celui-ci sera fiable si on met un peu n’importe quoi dans les pôles proposés...)

        Toujours est-il que je ne crois pas à une mutation globale de la science, mais plutôt de certains scientifiques, qui retrouveront ces savoirs traditionnels.. Pour moi la science est la science : elle est orientée vers le matériel, le quantitatif et ne peut en sortir.. Si elle en sort ce ne sera plus de la science mais de la gnose, celle-ci étant orientée vers le qualitatif, le spirituel..

        par contre l’inverse peut être vrai, la gnose étant par essence intégratrice, celle-ci, ou plutôt les quelques futurs gnostiques issus des milieux scientifiques, auront une moisson double de par leur parcours..

        Mais je ne saurais dire de quelle moisson il s’agira exactement.

        • Bernard Dugué Bernard Dugué 26 avril 2013 13:11

          Bonjour.

          J’avoue rester sur un point de désaccord avec vous sur le devenir de la science

          La gnose ne se fera pas contre la science mais avec la science qu’elle inclura en l’utilisant comme levier pour une ontologie transcendante. Et c’est ce qui rendra crédible la nouvelle gnose dont les conclusions dépasseront de loin les résultats de la gnose de Princeton, de Capra, de Sheldrake... et d’Abellio évidemment

          De Ken Wilber, je vous conseille les trois yeux de la connaissance, c’est son ouvrage le plus accessible qui présente la plupart de ses thèses

          Sinon, si vous pigez un peu l’anglais, il y a son manuel de psy spectrale transformation of consciousness. J’en ai une copie chez moi, à l’époque, j’avais dû faire venir le livre d’Angleterre par le prêt interuniversitaire car aucune fac de France et de Navarre n’avait ça dans ses rayons, même pas la Sorbonne, c’est dire l’ignorance du système. Je ne crois pas au Nouvel Ordre mondial mais au système de l’ignorance qui s’auto entretient

          La science n’est pas orientée uniquement vers le matériel. Bientôt nous allons comprendre pour quelles raisons la cosmologie et la MQ ne peuvent pas s’accorder.


        • ffi ffi 26 avril 2013 14:14

          En fait, vous deux, vous adorez les choses compliquée, car comme personne ne comprend rien à ce qui est compliqué, cela permet d’y voir ce que l’on veut, c’est-à-dire ce que l’on croit à priori.
           
          Mais il faut préférer la science quand elle est simple, car alors tout paraît clairement, ce qui permet de voir ce qui est.

          L’impératif de simplicité n’est pas négociable en science, car le science a pour but d’expliquer.


        • CKPLAN 29 avril 2013 16:55

          Appliquer le rasoir d’OCKHAM à du platonisme mathématique !!!!


          voir mon blog :


          Cordialement

        • soi même 26 avril 2013 11:49

          Vous posez une question indirect qui à est de notre époque dans la société humaine
          , c’est la soumission à l’autorité, comme doit elle aujourd’hui être vécus ?


          • Bernard Dugué Bernard Dugué 26 avril 2013 13:16

            Pourriez-vous livrer en même temps que votre commentaire un décodeur ?


          • slipenfer 26 avril 2013 17:40

             smiley smiley smiley


          • soi même 26 avril 2013 18:26

            Pour un philosophe c’est un comble, avoir besoin d’un décodeur, vous n’avez jamais fait le rapprochement de cette soumission à l’autorité scientifique, alors pour quoi écrivez vous se papier, pour vous faire mousser ?


          • Laurenzola Laurenzola 26 avril 2013 18:28

            Une intuition à partager :

            Ce qui est intéressant dans la symbolique du tarot, c’est de constater que la carte XXI n’est pas une fin en soi, le Monde n’est que la fin d’un cycle temporel, il est suivit et précédé par une seule et même carte, le Mat, qui ne porte pas de numéro, ni début, ni fin...

            En résumé, la science pourra toujours progresser mais chaque découverte ne fera qu’ouvrir un champ plus large de questionnement, la réponse à toute question se trouve au plus profond de chacun d’entre nous, et nous partageons tous ce « Mat » intemporel, il est notre libre arbitre, nos choix, notre conscience, et peut nous conduire à la folie si nous cherchons à nous l’approprier.

            Je constate par ailleurs que le jeu de pouvoir qui règne dans notre société de compétition et consommation est un choix destructeur, seul un monde coopératif et frugal pourra subsister.

            Pas besoin d’aller faire des grandes théories, des grandes découvertes, seul le choix de chacun compte, un choix responsable, par respect pour nos enfants.


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