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Accueil du site > Tribune Libre > Pour vous plaire

Pour vous plaire

C'est une boutade bien sûr car rien de ce que je dirai là ne plaira !

Je ne suis pas cinéphile et hormis quelques films qui restent gravés dans ma mémoire parce que vus sans a priori ni préméditation, les films traversent ma mémoire comme des friandises mon palais.

Mais j'ai, dans mon entourage, des cinéphiles et des professionnels des salles obscures.

Donc, nous avons parlé de Cannes.

Donc nous avons parlé de la Palme d'Or.

Donc nous avons parlé de l'homosexualité, et de tout ce qui se passe en ce moment dans notre société.

Je connais la définition du mot « homophobe » telle qu'utilisée aujourd'hui. Mais celle-ci me chagrine ; j'en reste, sans mauvais esprit mais naturellement, à son étymologie : la phobie du semblable. ( cela reste la définition en psychiatrie)

Phobie est un peu excessif sauf à décrire une peur infondée, ce qui est le cas de ceux qui « craignent » les homosexuels. Et l'homme tue ce dont il a peur.

Beaucoup de vocabulaire dérive, se perd dans la foule, tel agoraphobe- celui qui a peur des grands espaces vides et qui, soudain a vu la place se remplir de monde ; j'ai même vu récemment le « surmoi » devenir l'hypertrophie du « moi ». Bref.

Les homosexuels, pour la part d'entre eux, elles plutôt, qui ne sont pas « bi », sont plus hétérophobes que les hétérosexuels sont homophobes. Mais je joue sur les mots. Je mélange les deux pôles.

« Je suis homophobe : je répugne à l'idée d'être touchée de manière ambiguë par une femme. Je répugne même à en voir des images. De la même manière, voir exposer la sexualité, même suggérée de deux hommes, me répugne. Mais je ne suis pas plus atteinte que ceux-ci qui répugnent aux contacts charnels avec le sexe opposé.

Ce n'est pas une phobie, je maîtrise ! Et je n'ai pas peur.

Je comprends ce qu'on m'en dit : se sentir tellement femme dans le corps insupportable d'un homme, beaucoup plus vrai pour les « trans » et ne crois pas vrai le petit gène, encore, qui se serait incrusté dans le génome de ces gens-là.

Bien sûr, le jeu, la jouissance, la liberté d'un corps sans tabou peut passer par des jeux érotiques avec n'importe qui, avec n'importe quoi. Je le conçois bien que ne le ressentant pas.

Je constate, donc j'admets qu'il existe des êtres indifférenciés, des êtres qui redoutent le contact sexuel avec l'objet symbolique maternel ou paternel mais je sais que cela n'a rien de naturel mais se situe tout entier dans le culturel, dans des écueils, dans des étapes difficiles de la constitution du moi. »

 

« Moi, je suis libérée, j'ai folâtré avec des femmes plus jeune et j'ai trouvé cela très confortable ; les femmes savent, évidemment, les bons gestes ; faire l'amour avec une femme, c'est sans enjeu de pouvoir, de possession, c'est juste du bon temps.

Et je ne comprends pas qu'on soit coincé , comme tu le dis, cette répugnance, c'est une détestation de toi ! Note que cela ne gêne personne, tu n'es pas du genre à manifester ! »

« J'ai passé une soirée chez des copains la semaine dernière, L et M n'arrêtaient pas de se pourlécher  ; déjà que je n'aime pas cette impudeur chez un gars et une fille, là, c'était vraiment désagréable ; oui, je ressentais une répugnance ; c'est dans l'exhibition que quelque chose cloche. »

« J'étais à Cannes ; très mauvaise année ; violence ou sexe, sexe homo évidemment ; la scène porno de la Palme, est là, inutile, comme des cheveux sur la soupe ; ce n'est plus de l'art, il n'y a pas de message, une sorte de voyeurisme.. c'est plus que vulgaire, c'est obscène ; loin de la graine et du mulet. Jamais vu ça depuis plus de vingt ans que je suis le festival ! Soit ce film est une commande, une concession donc, une trahison, et c'est minable, soit c'est une débâcle, et c'est triste. »

« Oui, les scènes dites « chaudes » dans les films m'ont toujours laissée froide ; c'est tellement convenu ; je ne suis pas très visuelle, mais la bande son est toujours à chier ! Alors entre deux filles ou deux mecs, jamais de la vie je n'irai voir ça ! »

 

(Il n'y avait pas de représentantes de lesbiennes pur sucre pas de représentant masculin non plus.)

 

On parle ici de névroses ; et il y a fort à parier que nous soyons tous névrosés !

Voilà ce que dit Janov :

« ...Si la façade irréelle ne suffit pas, si elle n'arrive pas à provoquer une réaction humaine de la part des parents, l'enfant se voit contraint d'avoir recours à des défenses plus radicales. Pour ne pas leur déplaire ou pour les rendre chaleureux et gentils, il peut étouffer toute sa personnalité....Il peut aller jusqu'à se transformer complètement pour eux – c'est ainsi qu'on voir un garçon devenir une fille

Le besoin d'amour n'est pas quelque chose de cérébral...il pénètre tout le système et déforme aussi bien le corps que l'esprit. C'est cette distorsion qui est le système de défenses. Ces défenses ont toujours pour but le blocage des sentiments réels..

Le toxicomane est l'exemple type du sujet qui a épuisé toutes ses défenses intérieures ; en général il a étouffé en lui tant de sentiments qu'il en devient presque apathique ; souffrance, piqûre, soulagement.

Quelle que soit la douleur que comporte la douleur de la piqûre ou la pratique de rapports homosexuels, le sentiment symbolique que ressent le sujet est un sentiment de plaisir, ou plus exactement de soulagement. La douleur physique réelle, la douleur ressentie par le moi réel, est filtrée par le système de défenses qui l'interprète comme du plaisir ».

 

Ainsi, ce que je ressens du monde actuel, c'est qu'il engendre comme « défenses » une libre-pensée qui n'est que l'acceptation des conséquences d'un désastre généralisé mais en aucun cas une quelconque réflexion pour en atteindre les causes.

La drogue existe : point n'est besoin d'en connaître les causes et surtout d'affiner ces connaissances afin de les divulguer ; l'homosexualité existe, même procédé.

On accepte en riant, ou on subit ; tout dépend de qui l'on est, tout dépend des effets. On subit le harcèlement moral, on se rit du mariage ; on panse la drogue, on s'offusque des injustices ; on s'indigne des abus de pouvoir, on en dénonce les moindres aspects mais.. on ne se rebelle pas. Je veux dire, on n'agit pas, chacun dans la sphère de ses connaissances ou de ses activités pour y remédier. Là non plus on ne peut rien contre la fatalité.

On est triste d'un deuil ? On prend des antidépresseurs.

On souffre d'une trop insupportable pression, on prend des antidépresseurs. Ou l'on se suicide.

Il est à noter, à ma connaissance, qu'aucune société n'a jamais été aussi malade.

Mais on rêve de s'enrichir, on joue les poupées barbie, on espère la planète Mars.

Et dans ce cloaque si l'on s'efforce de poser un pion, incertain, il est vite recouvert.

Les féministes trouvent qu'elles n'en ont pas assez ; elles se foutent comme d'une guigne de leurs responsabilités de femmes, de mères.

Ainsi, plutôt qu'appréhender les difficultés qui étaient les nôtres, plutôt qu'approfondir et comprendre, multiplier les thérapies de choc d'un Janov, d'un Reich, plutôt que se diriger vers la santé, nous avons figé deux ou trois foutaises, comme le complexe d' Oedipe ou les méfaits de la punition et nous avons laissé venir l'enfant roi, l'enfant livré à lui-même il fallait que les mères fussent femmes et les hommes amants ; il fallait qu'ils ramènent de l'argent.

On en voit toutes les conséquences aujourd'hui. Je n'ai pas de solutions sauf à avoir pris ses responsabilités ! Le point fixe de la liberté .

Je ne suis pas morale ni moraliste ni moralisante, peut-être démoralisante, mais les méfaits sont si grands qu'on ne peut que s'en inquiéter.

Les morts d'overdose quand j'étais jeune étaient archi rares ; il y avait des tas de gens complexés, plus qu'aujourd'hui, cela semble certain. Mais dans leurs complexes et dans leur modestie, ils étaient probablement plus structurés que ne le sont les jeunes d'aujourd'hui.

Je ne sais si la pornographie soigne les complexes, les frustrations, les fantasmes « limites »mais celle-ci fleurit et ce n'est pas parce qu'elle se banalise qu'elle en est plus jolie.

La pudeur disparaît et il est de bon goût de parler « cul » dans tous les sens, se s'exhiber et d'avoir perdu jusqu'à la notion même de séduction, d'intimité, d'érotisme. Ou bien les filles parlent à leur mère, lui racontent leur nuit et le sexe devient une fonction comme une autre où il n'y a plus d'indécence ; on parle du corps, le même qu'il faut faire vérifier régulièrement ; prosaïquement. La perte des sens est à la mesure de la perte de notre animalité ; pour compenser, on surenchérit .

La délicatesse d'expression et de ressenti était partagée par les « gens du peuple » habités par cette retenue caractéristique de tous ceux qui ne sont pas très sûrs d'eux et qui ne cherchent guère les projecteurs. Espèce en voie de disparition.

On banalise ; tout est possible, tout est permis donc il n'y a plus de rêve. On a rempli tous les espaces ; la boutique mondiale géante n'a plus mon cœur en magasin.

Seule Yaël est à la mode ! Marie, Élisabeth, Jean, moi, on est des fachos !

Il faut être up to date  ; nous sommes discriminés, bien que nombreux j'en suis sûre. Il nous faut nous taire.

L'homme a réussi à nier sa nature ; tout va dans ce sens, jusqu'à où ?

Où est passé la poésie ?

Qu'est l'humain devenu, lui qui de si loin est venu ...


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16 réactions à cet article    


  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 5 juin 2013 18:11

    Le rire .....Un grand hénissement ; ruade et coup de sabot virtuel ,mais désarçonnant réellement .


    • alinea Alinea 5 juin 2013 18:28

      Aïta : je n’ai jamais caché être une adepte de la « deep ecology » !! ou presque !


    • lucille lucille 5 juin 2013 18:29

      Bonjour Alinea, sujet sérieux, avis tendance... Je me permets de vous citer une lettre dont vous avez certainement eu connaissance. Ne me voulant aucunement moraliste, un parallèle avec l’ensemble de votre sujet (féminisme, art, sexualité, « festivités » et surtout liberté) peut se faire en la personne de Goerges Sand et de ce courrier, dont je vous passerai l’historique) :

      Cher ami,

      Je suis très émue de vous dire que j’ai
      bien compris l’autre soir que vous aviez
      toujours une envie folle de me faire
      danser. Je garde le souvenir de votre
      baiser et je voudrais que ce soit
      là une preuve que je puisse être aimée
      par vous. Je suis prête à vous montrer mon
      affection toute désintéressée et sans cal-
      cul, si vous voulez me voir aussi
      vous dévoiler sans artifice mon âme
      toute nue, venez me faire une visite.
      Nous causerons entre amis, franchement.
      Je vous prouverai que je suis la femme
      sincère, capable de vous offrir l’affection
      la plus profonde comme la plus étroite
      en amitié, en un mot la meilleure preuve
      dont vous puissiez rêver, puisque votre
      âme est libre. Pensez que la solitude où j’ha-
      bite est bien longue, bien dure et souvent
      difficile. Ainsi en y songeant j’ai l’âme
      grosse. Accourez donc vite et venez me la
      faire oublier par l’amour où je veux me
      mettre.

      .
      Bien évidemment, vous aurez noter que le message n’est pas là, ni ailleurs, il est juste avant, c’est le message à donner avant d’écrire, quelque soit l’écrit (roman, article, enfantin, jeux, contrainte, commentaire, etc..., poésie) :

      « Juste laisser voguer les mots sur la crête de mes pensées... »

      Cette une lettre légère, une amusette et pourtant je la trouve un peu vulgaire,

      « c’est une boutade bien sûr car rien de ce que je dirai là ne plaira » ?


      • alinea Alinea 5 juin 2013 18:38

        Est-ce cette lettre codée qui, décodée est d’un érotisme « hard » ?
        Qu’est-ce qui est vulgaire : ma première phrase ?


      • lucille lucille 5 juin 2013 19:04

        Oui, c’est une lettre codée, je vous laisse découvrir son histoire.

        Vous n’êtes vulgaire en rien Alinea, je ne voulais pas donner ce sentiment la,
        c’est tout l’inverse. Vous dénoncez une certaine vulgarité à laquelle je m’accorde, mais ce courrier me rappelle aussi à son propos.
        J’ai cité votre première phrase, imaginant simplement que Goerges Sand ait pu se dire cela en « publiant » ce texte.


      • alinea Alinea 5 juin 2013 20:38

        Musset est ridicule à côté d’elle non ?
        Quand je pense que c’était avant les suffragettes !!
        Mais bien, sûr, cela n’a rien à voir !!
        Je l’avais entendue lire à France Culture, un matin, dans l’émission de l’inénarrable Enthoven !


      • lucille lucille 5 juin 2013 21:36

        Alinea,

        aucun code ici, juste une réponse en poésie...

        .
        Plus c’est petit Musset et plus l’idée est grande.

        .
        La réponse de Musset est controversée,
        et bien légère est l’acrostiche en vérité.

        Cette lettre a peut-être jouée un rôle
        dans l’émancipation de la femme.

        Pied de nez un peu osé presque drôle,
        le code est sournois car aisé de la Dame.

        Il en reste une douce caresse face aux drames,
        un brin d’humour ardemment flammé, un grain de Sand.


      • alinea Alinea 5 juin 2013 21:42

        Le petit Musset aurait-il ramassé les cailloux et mit les pieds dans le plat ?
        J’aurais été vexée si à une telle lettre on me m’avait fait une telle réponse !


      • gordon71 gordon71 5 juin 2013 22:53

        bonsoir Alinea 


        la pudeur, c’est ce que je retiens de votre texte sensible et respectueux 

        vous m« avez fait comprendre ce qui me gêne le plus dans cette campagne sur le mariage GAy, et peut être dans ce film que je n’ai pas vu non plus

         l’impudeur, l’exposition de l’intime, l’absence de ce »quant à soi" l’exposition et la mise à nu des sentiments et de l’intime plus violent encore que celle des corps 




        • alinea Alinea 5 juin 2013 23:08

          merci gordon ; voyez-vous, ce monde sans mystère, sans suggestion, ces gens qui parlent au téléphone dans la rue, inattentifs à ce qui les entourent, rivés à eux-mêmes, ces écouteurs sur les oreilles pour ne rien voir de l’imprévu, de l’inattendu, du différent, ces « confessions » publiques et publiées, cette apothéose du « moi » infantile et sans intérêt, ce cucul porté aux nues du sentiment le plus positif, ce manque de profondeur, de vrai intérêt pour l’humain, ce « zapping », ce « surf », cet égoïsme, cette désolante obsolescence de l’abnégation, ce que l’on nomme « amour » et qui n’est que narcissisme ou satisfactions anesthésiantes d’angoisses, ce manque de lucidité, d’exigence, tout cela me navre, me blesse car notre humanité est là toute entière, celle qui nous rend curieux et respectueux de la différence.
          Nous ne gardons de notre humanité que le pire !


        • laertes laertes 6 juin 2013 22:30

          @alinea :« , ce monde sans mystère, sans suggestion, ces gens qui parlent au téléphone dans la rue, inattentifs à ce qui les entourent, rivés à eux-mêmes, ces écouteurs sur les oreilles pour ne rien voir de l’imprévu, de l’inattendu, du différent, ces « confessions » publiques et publiées, cette apothéose du « moi » infantile et sans intérêt, ce cucul porté aux nues du sentiment le plus positif, ce manque de profondeur, de vrai intérêt pour l’humain, ce « zapping », ce « surf », cet égoïsme, cette désolante obsolescence de l’abnégation, ce que l’on nomme « amour » et qui n’est que narcissisme ou satisfactions anesthésiantes d’angoisses, ce manque de lucidité, d’exigence, tout cela me navre, me blesse car notre humanité est là toute entière, celle qui nous rend curieux et respectueux de la différence. » c’est exactement ce que je ressens !!! mais ce qui est le plus dangereux c’est que nos défenses sont faibles et qu’il faut résister contre ce poison environnant afin de retrouver le courage d’avoir le goût de la vie et du véritable amour !


        • alinea Alinea 6 juin 2013 22:41

          oui laertes, nos défenses sont faibles ; mais aussi, je crois que notre force est plus grande, la force intérieure, ni frime ni pouvoir ! Ce monde nous pousse à la retraite, au sens de se retirer !
          Et pourtant il y a en chaque être humain le même besoin, la même nécessité d’authenticité !
          Je sors du fil de Denis Thomas ; c’est inquiétant


        • 6ber 6ber 6 juin 2013 09:44

          Article et commentaires, dont la lettre, bien intéressants.
          Que les gens d’esprit sont donc agréables !
          "Cette désolante obsolescence de l’abnégation, ce que l’on nomme « amour » et qui n’est que narcissisme ou satisfactions anesthésiantes d’angoisses, ce manque de lucidité, d’exigence, tout cela me navre, me blesse car notre humanité est là toute entière, celle qui nous rend curieux et respectueux de la différence".
          Hélas...


          • alinea Alinea 6 juin 2013 22:45

            salut 6ber, merci ; Une vague nous submerge, peut-être ne mourrons-nous pas noyés !
            Quand on rencontre les gens individuellement, cela ne paraît pas si dur ! il y a peut-être de l’espoir...


          • bakerstreet bakerstreet 6 juin 2013 18:43

            Toujours aussi difficile de parler de la sexualité. 

            Hier il fallait faire tomber les interdits. 
            Le sexe était libéré
            On pensait naîvement qu’il fallait se décoincer, que la iibération sexuelle serait l’enclenchement de l’homme nouveau.
            1Aujourd’hui, on a envie de dire assez ;
            L’étalage de la pornographie et de cette iconographie graveleurse, bestiale, déconnectée de tout sentiment donne la nausée. 
            Les moutons s’achètent des sex toys, conseillent à leurs gamins de se laver les dents, et de s’éclater comme ils disent ( entendu hier sur une radio une mère « moderne » trouver tout naturel de glisse une boite de préservatifs dans le sac de son fils de 15 ans partant en camp de vacances.....
            Oua...
            Il n’y a que le tube de dentifrice à garder.



            • alinea Alinea 6 juin 2013 18:56

              On n’a jamais réussi à progresser sans foutre en l’air ce qu’il pouvait avoir de bon ; il y a des tas de gens qui s’accommodent de ce monde ; j’aime qu’il y ait de la magie, du secret dans la vie, que les choses se ressentent ou se sachent par intuition ; le langage cru ne va pas à tout !
              J’ai entendu un jour, une mère qui trouvait que la petite culotte que sa fille de dix ans avait choisie ( genre « petit bateau ») n’était pas assez « sexy » ; elle lui en fit la remarque !
              On peut dire qu’on s’en fout ! mais en réalité je crois que cela change pas mal de choses !
              À ce stade, le discours des féministes me fait marrer !!

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