Je n’ai rien contre Françoise Laborde qui au contraire fait partie à mes yeux de ceux des présentateurs télé (ils se nomment des journalistes) qui ne discréditent pas trop le service public.
Simplement, entre Françoise Laborde et Christine Je-sais-plus-comment, le 3° larron, cet "ingénieur des télécommunications" qu’on vous a presque anonymement annoncé sans que personne ne relève pourrait bien se révéler l’"élargisseur de compêtence" que Lefebvre s’est vu refusé par l’assemblée.
Le CSA a désormais compétence en son sein pour contrôler le Web. Il y a gros a parier pour que nous nous en rendions prochainement compte.
Je ne pense pas que nous soyons encore entrés dans la crise. Finacière elle est aujourd’hui, économique elle sera demain. Je mange encore quoique j’ai été estomaqué par les prix de mes deux sacs hier à la supérette locale...
Le juste prix de l’immobilier n’existe pas : il relève du patrimoine et on a tous besoin d’un toit en plus d’à manger.
A combien estimez-vous le prix de ne pas coucher dehors ? Le juste prix d’un bien ou d’un service ne peut se calculer en argent, c’est fondammental.
Je ne pense pas qu’il soit un drame métaphysique que les prix de l’immobilier se réajustent de temps à autre. Les choses changerons dans l’immobilier le jour ou les promoteurs arrêtrons de piquer leur part aux manoeuvres. Les coûts d’ojbjectifs des opérations ne foutent de ce genre de paramètres.
Le problème n’est pas que les prix montent ou descendent, ce qui me préoccupe serait plutôt la tête du propriétaire qui vendra son logement 200.00€ et qui n’aura toujours pas assez pour s’acheter une baguette de pain.
Ca, ce sera la crise économique.
Au contraire de 1929, la crise économique d’aujourd’hui est systèmique et vous ne pouvez plus raisonner "avec" ou "sans" les banques. Elles sont un intermédiaire superflu et un facteur de ralentissement dans les échanges de valeur et elles coûtent cher.
Oui, supprimons les banques et l’argent matériel.
Je n’arrive pas à conçevoir après les différentes leçon de l’histoire, dont la récente, qu’un prêt privé puisse encore aujourd’hui être légal. C’est de toutes façons, on le voit, en gros le riche qui monte l’affaire et le contribuable qui paye.
Non il ne faut pas sauver les banques.
Elles ne méritent d’ailleurs pas mieux que les bagnoles, au contraire !
Leur filer du fric nous enfoncera tous. Un bébé le comprendrait.
Je réclame la nationalisation d’urgence de toutes les banques, organismes financiers (et des compagnies énergétiques), ainsi que la mise en circulation demain matin d’un nouvelle monnaie virtuelle gérée par le ministère des finances europeéen après invasion militaire cette nuit des paradis fiscaux et autres Plam-Trees...
Toute autre mesure a été, est, et restera vaine.
Rigolez, rigolez, je ne me trompe jamais...
Le problème restera de la confiance au Banquier.
La mérite-t-il encore, ou plutôt, sommes-nous encore capable de lui faire confiance ? Personnellement, c’est non.
La désinvolture générale de l’échiquier politico-médiatique nous pousse gentiment à oublier que les arguments électoraux de Sarkozy (travail, argent, libéralisme, etc.) sont précisemment les responsables de cette crise qui a transformé le capitalisme, déjà pas très équitable par nature, en financialisme, et l’entrepreneur en agent économique. Personne n’en est dupe mais peu se dit : Qui de censé approuverait de renflouer les mêmes banques avec les mêmes personnels, les mêmes administrations et les mêmes modes de fonctionnement ?
C’est pourtant exactement ce qui se passe.
Filer du fric aux banques pour qu’elles puissent nous accorder les prêts qui relanceront la machine relève du backchich. Alors, sauver les banque juste pour sauver les banques ?
On, n’a pas fait tant d’histoires pour la métallurgie...
Et j’aurais pourtant aujourd’hui plus confiance en un métallo, s’il en restait, qu’en n’importe lequel des banquiers.
La banque est un parasite de l’économie qui n’a pas sa place dans l’idéal que je me fais du concept de transaction valorisée entre les hommes.
L’argent lui-même m’est une notion suspecte, sur laquelle s’arqueboute la sphère financière, mais à y regarder de plus près l’utilisation généralisée des cartes plastiques, bientôt celle de nos portables, l’e-commerce, etc. ne nous poussent-t-ils pas à regarder d’un nouvel oeil différent les coffres-forts ou la boîte à sucre de nos grands parents ? De banques centrales suffiraient. Pas des nationales, plutôt genre niveau européen, à la necessité-près d’harmoniser un minimum les axes sociétaux et leurs plus que nécessaires transformations.
Je sais, je sais, je délire... Alors, puisqu’il faurt croire en la démocratie...
Car ce principe me reste, que l’important, comme dans tout dilemne, n’est pas de savoir si c’est possible mais de faire comme si ça l’était. C’est le seul vrai moyen d’avancer sans faire du sur-place, si vous voyez ce que je veux dire (!) et c’est exactement ce qui me semble se passer actuellement. Démocratie ou non.
Je n’ai vu personne envahir les Bahamas, Jersey, Luxembourg ou autres... J’ai beau tendre l’oreille, on ne me parle pas plus qu’avant des "actionnaires", cette classe qui bizarrement n’apparaît pas dans les médias comme telle. On voit les belles bagnoles à 100.000€ sur auto-moto, on voit les montres aux poignés des stars, on voit des salons de la mode, des bijoux, on voit des yachts dans les ports, on les voit et on rêve... Mais où sont les actionnaires ?
Et qu’on leur dise deux mots, au lieu de leur faire des chèques, en plus...
Ah, merde ! c’est ses potes ?...
Votre titre m’a fait peur... en général je passe le nom d’Outreau pour cause de grand désabus...
Mais là, vous avez raison ; ce genre de choses m’horripile tellement qu’il ne faudrait pas que je me retrouve en face de la Commission de Révision ou de Rachida.
Y’a-t-il une pétition ou quelque chose en cours ?
Non. Emmanuel Gabla n’est pas exactement le prototype du self made man extrait de sa cité. La situation de ses parents le classerait plutôt dans la frange supérieure.
En effet, ce n’est pas l’enjeu, mais ça enjolive...
Là n’est de toutes façons pas le sujet.
Armand se méprend, Armand se méprend...
On ne discute pas avec son tortionnaire. Il y avait un Arafat, il y avait un Fatah, il y avait Oslo, etc...
Israël a tout foutu en l’air, y compris assassiné son seul leader pacifique, pour ne garder que le Hamas DONT ELLE A FABRIQUE LE POUVOIR DE TOUTE PIECES EN CONNAISSANCE DE CAUSE
Si vous n’avez pas compris ça, Armand, eh bien continuez à déplorer qu’on n,e puisse discuter avec le Hamas.
Quelle bornerie, quand-même ; comment voulez-vous en sortir en ne condamnant pas le crime. Et ne me resservez pas les roquettes, de grâce, je vous crois plus lucide que ça.
Cette guerre est électorale et rien d’autre et c’est à ça que sert le Hamas (d’une part, car d’autre part il sert à déstabiliser le Fatah). Politique amorcée par Sharon sur l’Esplanade des Mosquées en oct. 2000, merci Ariel, et savament entretenue depuis.
Armand se méprend, va-t-il se reprendre, le fonctionnaire sans parti-pris ?
N’oubliez pas : Le jour où le vent tourne, le terroriste s’appelle un résistant, et le neutre s’appelle un collabo.
Pamphlet,
Israël a installé et maintient le Hamas au pouvoir à Gaza.
Israël a fabriqué et entretient les tirs de roquettes et les ceintures explosives.
Israël a gagné la guerre car le Fatah est décrédibilisé et avec lui le sceptre de l’état palestinien stable.
Mais pas pour longtemps car cette guerre de Noël 2008 a fabriqué 20 fois plus de terroristes que la plus intégirste des écoles Coraniques.
Israël filme un colon expulsé "dans la honte" mais ne filme pas les dix-mille qui s’installent un peu plus loin.
Isarël utilise des armes nouvelles : Bien. Le Hamas rompt la trêve dès réception de ces nouvelles armes : coïncidence, évidemment.
Israël est un état nazi qui entretient des camps de concentration qu’elle bombarde pour entretenir la parano nationaliste de son peuple d’élus de temps à autres, généralement en période électorale.
Israël fabrique des murs de béton entre les hommes.
Isarël me fait chier :
Aux Justes : Quittez ce navire nauséabond ou coulez-le de l’intérieur. Vite, ça pue.
Internet a vu Israël. Israël est inéluctablement foutue.
Mesdames et Messieurs, il va falloir rediscuter Yalta.
Quant au rapport secession/pétrole, questionnons le Sinn Fein à ce sujet... Ces espoirs de sécessions datent de bien avant le moteur à explosion.
Si Bell avait joué du téléman, la sonnerie du téléphone serait moins stressante, mon cher Graham.
Mais l’homme du téléphone phonant du téléman ça c’est de la bonne limonade ou j’y connais plus rien en bulles !
On ne nomme pas Gitlis et Monsieur Yehudi Menuhin dans le même article ; et ce n’est un question de style.
Au delà du conditionnement soit médiatique soit socio-culturel, au delà du filtre cognitif, l’expérience traite de la disponibilité des sens et de ce point de vue, est- il si surprenant que l’oreille devînt selective dans le grand rouleau compresseur de l’heure de pointe newyorkaise ? Le robot voyageur n’ignore pas la musique, il ne la reçoit pas comme telle, groupe ou pas groupe, mimétisme ou pas mimétisme, nurge ou panurge.
La musique est un support d’émotion et un langage. Son domaine d’évolution ne peut être que le silence.
J’ajoute que ce silence doit être spatialisé, ne serait-ce que pour permettre l’épanouissement du son, ce qui élimine les écouteurs dans la recherche d’une perception émotionnelle et "sociétale" de la musique.
L’expérience, si interessante fut-elle, ne me surprend pas ; elle était jouée d’avance.
Demandez donc à un peintre de peindre sur une toile déjà maculée, ou à un poête de d’ecrire un livre déjà publié... (je sais je sais, je les coupe en quatre...)
Gros risque, tout-de-même pour un Stradivarius ; J’ai du mal à croire ce truc là : Vous savez que les concertistes doivent les enfermer dans des coffres, les menotter à leur poignés, declarer leur itinéraires, prendre des taxis aggrées, etc, avec un Stradivarius ? Alors, le métro à l’heure de pointe, vous savez...
Alors-là Momo, tu me prends par les sentiments. Je suis tombé dans le blues i y a bien longtemps et je comprends mieux une note tirée toute nue de Lignhning Hopkins ou un riff ravageur de Jimi Hendrix que les prouesses acrobatiques, des Malmsteen, Satriani, ou autres champions du monde revolutionnaires en catimini de 17 ans ou autres.
Même le statuaire Scott Anderson, un génie, dit-on de sources autorisées, me laisse... de marbre. Dommage, le reste du band (Tribal Tech) mérite un gratteux original, pas un moine copiste.
On confond maestria et dextérité. Quoi d’étonnant, on est à l’heure de la masturb... sorry ! de la restauration rapide, non ?
Ceci dit, je pense que les artistes ont comprennent peu à peu que les majors, les DRM et la propriété intellectuelle sont une arnaque viellissante à court d’argument sur laquelle il ne faut plus compter
Vive internet !
Vive la performance, et au boulot les branleurs ramasseurs de dividendes !
Merci Emachedé, résumé complet et bien documenté. Je vais mettre ma ceinture de C4...
Boum !
Un coup d’oeil à la présentation de l’auteur par lui-même, dans la fenêtre à droite de l’article, vous revèlera qu’en fait d’article, il s’agit là en fait de la lettre de motivation d’une demande d’emploi, la présentation de l’auteur en étant le CV joint.
@ l’Arminius masqué,
Après une dizaine d’année en Angleterre,je ne puis que constater la similitude d’arrogante défiance entre les deux pays cousins dans le sang. Nos royautés ont tellement copulé que la Reine actuelle, elle-même allemande dans les gênes, et dont la dynastie fut originellement instaurée par des Français, se demande encore lequel des deux côtés de la Manche lequel est l’usurpateur... Quant aux peuples... ils suivent, comme certains..., ou font leur vie. Qui sait ? sans ces histoires de coucheries royales dégénérantes (vous avez vu la tête du Prince Charles ?), les deux peuples vivraient probablement dans une intelligence différente de la récurrente et réciproque circonspection actuelle.
Ce que l’on pourrait dire du particularisme britannique tiendrait putôt à leur insularité (vous avez vu la tête du Prince Charles ?), comme on pourrait le dire de la Corse, de Ré ou d’un village isolé de Montagne. D’où cette fierté effectivement particulièrement expressive sur les rugby pitches, mais pas d’inquiétude, c’est nous qu’on a Chabal...
L’ Angleterre est le seul pays d’Europe à pouvoir unilatéralement faire marcher la planche à billet... les dévaluations cahées derrière les déficits resteront-elles longtemps virtuelles ? Il faut l’epérer, quand on connaît le coût actuel de la vie dans une ville comme Londres, et la mascarade de la protection sociale dans un pays ou tu peux être viré d’une minute à l’autre, ce nétait pas grave hier, mais vu l’état du bizness, les dégâts pourraient être socialement dévastateurs. Mon laveur de carreaux n’était pas au chômage, il était son propre patron ; Autonome. Le seul problème était qu’il avait 74 ans...
Article instructif et interessant (et exclusif, je n’ai rien trouvé ailleurs ?), mais à sa lescture une question, dans le contexte camerounais, me taraude les méninges : Qu’ont craint les autorités de ce pays pour devoir expuser le faucheur moustachu ?
Quand on lit dans l’article ce qui arrive à Bernard Njong, actuellement au tribunal pour dénonciation de corruption si j’ai bien compris, on peut effectivement de demander si ne s’agit pas plus d’étouffer un scandale (un de plus) de détournement de l’aide internationale que d’opposer une défense devant l’établissement local de Monsanto.
Je ne reviendrai pas sur le fumeur de pipe national et le néfaste radicalisme de son action qui a mon humble avis nuit à la cause qu’il pretend défendre. Attention, j’ai approuvé et bien rigolé lors du démontage du McDonnalds mais j’estime que prendre le CNRS ou l’Inra pour des idiots ne fera jamais avancer le débat. C’est au contraire avec eux qu’il faudrait pousser Bové à travailler.
Quant à la problématique des OGM dans le contexte camerounais, pas besoin de sortir de la cuisse de Jupiter pour comprendre qu’elle ne peut pas être ne serait-ce que comparable à celle de l’Europe. Seulement si pour le Cameroun le problème est légèrement différent, vu la luxuriance particulière de ses cultures vivirières et notamment bien sur du manioc, on peut se poser la question globalement pour l’Afrique que les oàrientations des demandes alimentaires du "nord" détournent de ses cultures vivrières qui deviennent alors tributaires des OGM.
Manger des fraises en hiver nourrit Monsanto et asservit les paysans locaux, et les "critiqueurs d’OGM amateurs de goyaves" nagent dans l’occymore.
Mais tout système a besoin d’un point d’équilibre... Quotas et subventions "équitables" au nord contre aide internationale détournable au sud...
A propos, quelqu’un sait qui est le nouveau représentant de Monsanto à la Maison Blanche ?
Pour ceux que ça interesse : excellent article glané sur le web, de Jacques Morineau, Président du Réseau agriculture durable (RAD) - Lettre du RAD n°25 - juillet 2002
Ecellent aerticle, qui metr en avant la lâcheté et la veulerie de notre "encadrement politique". Les propos notamment du journaliste du Point sont particulierement abject. Mais ce type là en vit, je comprends autant le petit commerce que les massacres electoraux de Gaza.
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