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Les commentaires de Frédéric BOYER



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 16 septembre 2014 15:03

    Tesla ne fera jamais autant rêver que Ferrari, Mercedes ou Jaguar.



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 16 septembre 2014 14:57

    C’est depuis l’invention de l’auto que les campagnes sont devenues désertes...



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 16 septembre 2014 13:49

    Pas d’accord !


    Même si les arguments scientifiques que vous avancez sont tout à fait exacts, puisqu’il faut bien fabriquer ces voitures avec des procédés polluants, les alimenter avec des sources d’énergie polluantes et dangereuses, et de surcroît générer une déperdition énorme dans le transport et le stockage de l’électricité, la voiture électrique représente une opportunité majeure de sortir du tout automobile.

    Pourquoi ? Eh bien parce que la voiture électrique est à l’automobile ce que la méthadone est à l’héroïne : elle va permettre à l’homo automobilus de se désintoxiquer du vroum vroum, parce qu’elle roule doucement et en silence. Elle n’est pas une fin en soi, mais une étape vers la décroissance des déplacements.

    Si la voiture électrique s’impose, c’en sera fini du fétichisme de l’objet qui caractérise l’auto depuis un siècle. Sans ce fétichisme, les hommes n’auraient pas massacré leurs villes, leur campagnes, leurs lieux de socialisation, pour le Dieu Auto.

    Faire tomber le symbole de la société de consommation, çà vaut le coup, non ?


  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 15 septembre 2014 09:07

    Votre article est amusant, mais Mélenchon a raison de soutenir Kerviel. 


    La mise en cause spectaculaire de Kerviel a été orchestrée pour faire croire que seuls quelques individus étaient corrompus, alors que le système financier actuel serait vertueux dans son ensemble, alors que le pauvre n’était qu’un croupier parmi d’autres dans le casino de la finance mondiale.

    Bon, ceci dit, il faut relativiser tout le cinéma fait autour de la spéculation. Certes, les traders risquent de faire « sauter la banque », mais n’est-ce pas là une perspective merveilleuse ?

    Grâce à la crise financière de 2008, le monde s’enfonce dans la récession industrielle. C’est une bonne nouvelle, non ? Il vaut mieux sortir de la route en atterrissant dans le champ de la décroissance que de finir dans le précipice du dérèglement climatique irrémédiable...


  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 8 septembre 2014 16:26

    Gauche et Socialisme, ce n’est pas la même chose.


    Ni Marx, ni Proudhon n’étaient de gauche.

    La gauche, c’est simplement la « bourgeoisie éclairée ».


  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 8 septembre 2014 16:12

    Cela fait plus de 30 ans qu’est intervenu « le tournant de la rigueur », autrement dit un virage à 180 degrés du PS.


    Le PS a alors abandonné toute perspective socialiste, pour se tourner vers l’horizon indépassable de la mondialisation heureuse, sous l’égide de la finance internationale.

    Et voici que le peuple ouvre les yeux, et se rend compte que gauche et socialisme n’ont plus grand chose en commun. 

    Au fait, quelqu’un a-t-il entendu un seul dirigeant du PS prononcer le mot « socialisme » depuis 10 ans, 20 ans ? Merci de me faire parvenir l’enregistrement ou le texte du discours.

    Si pour Raffarin le gouvernement Valls II est une catastrophe, c’est que la vérité est dévoilée.

    Ou est la catastrophe ? Qu’une imposture qui dure depuis 30 ans soit dévoilée ?





  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 8 septembre 2014 14:07

    Excellent article. Mais quel travail !



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 8 septembre 2014 09:34

    Le plaidoyer de Todd contre l’Allemagne ne tient pas debout. Sauf à croire que l’Allemagne dirige l’OTAN.



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 8 septembre 2014 09:27

    Je ne vois pas ce qu’il y a de catastrophique dans la perspective que vous dessinez.



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 28 août 2014 17:10
    Je lis très régulièrement :
    • Le Monde Diplomatique.
    • Fakir.
    • La Décroissance.
    • Eléments.

    Jusqu’au référendum de 2005, je lisais tous les jours « Le Monde » et « Libération ».
    Depuis, je mets un point d’honneur à ne pas les ouvrir, même s’ils sont posés sur une table devant moi. 

    Idem pour le Nouvel Obs, l’Express, Charlie, le Canard, et tous les bulletins paroissiaux des chiens de garde de l’OTAN et l’UE.

    Il m’arrive d’acheter « l’Yonne Républicaine », pour ses pages locales.

    Je consulte une vingtaine de sites web tous les jours, dont Agoravox bien sûr.

    Je n’ai pas de télévision.


  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 28 août 2014 10:05
    J’ai décidé en 2005, après le référendum, de ne plus jamais acheter aucun quotidien ou hebdomadaire « d’information » (je continue à lire la presse mensuelle dissidente).

    Mais je parcours de temps en temps leurs sites web, et je suis effaré par le nombre d’articles ou de manchettes « pousse à la guerre » que j’y trouve.

    Les dépêches que l’AFP diffuse sur les conflits en Syrie (attaque au gaz) et en Ukraine (vol MH17) valent largement celles de l’agence TASS de la grande époque soviétique.

    Comment contrer les courroies de transmission de l’OTAN ?

    Un mensonge répété 10 fois reste un mensonge, répété 10 000 fois il devient vérité. Cette phrase de Hitler est devenue le mantra de nos médias « mainstream ».

    Mais il est possible de contrer la propagande : un mensonge répété 10 000 fois reste un mensonge si nous sommes 10 millions à rétablir, chaque jour, à chaque occasion, en privé, en public, la vérité.


  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 27 août 2014 11:34

    LA GAUCHE EST AU POUVOIR, ET HOLLANDE EN EST L’INCARNATION.


    Lisez Michéa et ouvrez les yeux !

    Il n’y a pas de lien organique entre Gauche parlementaire et Socialisme, mais seulement un compagnonnage issu de l’affaire Dreyfus, qui s’est renforcé dans la lutte contre les fascismes, avant de s’évaporer avec l’effondrement du bloc communiste.

    La Gauche est l’avant-garde de la société libérale.

    De la loi Le Chapelier (interdiction des associations ouvrières) à la répression de la commune (Thiers, Gambetta, Ferry, Grevy), puis de la désindexation des salaires (Delors), à la promotion du travail le dimanche (Hollande), la gauche parlementaire a été du côté du capital.

    ENTENDEZ-VOUS JAMAIS UN ELU DE GAUCHE PRONONCER LE MOT SOCIALISME ?


    POURQUOI ?


  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 22 août 2014 21:53

    Que l’on soit d’accord ou pas avec lui, Michel Onfray est toujours excellent.



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 13 août 2014 20:51
    Bien compris. Cet épithète ne m’était pas destiné.

    J’aime débattre avec ceux qui ne sont pas d’accord avec moi. Débattre, c’est déjà éviter de se battre. Il y a toujours à apprendre du point de vue de l’autre.

    Dans le cas qui nous intéresse, l’Ukraine, rien n’est tout blanc ni tout noir, il y a eu, de part et d’autre, flux et reflux de massacres, tout au long du XXème siècle.

    Cordialement.



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 13 août 2014 20:39

    Bonsoir,


    Ayez la gentillesse de développer.
    En quoi suis-je abruti ?

    Cordialement,


  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 13 août 2014 20:18

    Y serait pas un peu, c’est un effet de style. Raté ?



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 13 août 2014 20:03

    La propagande de guerre occidentale est hystérique. Elle nous donne une idée, à nous qui n’étions pas nés, de ce qu’a dû affronter Jaurès en 1914.

    L’oligarchie occidentale, et la haute bourgeoisie française en particulier, a une rancœur tenace envers la Russie contemporaine à cause de ce qu’elle a représenté dans un passé récent :

    -  Le non remboursement des emprunts russes.

    -  Stalingrad et l’écrasement de la croisade contre le communisme.

    -  70 ans de pression communiste sur l’Europe occidentale, qui ont obligé la gauche parlementaire (et même la droite) à faire semblant d’être socialiste.

    Ce sont des tâches inaltérables pour la bourgeoisie française, qui a toujours exprimé ses préférences : « plutôt les Prussiens que la commune », « Plutôt Hitler que le Front Populaire », « Plutôt L’OTAN que l’indépendance nationale ».

    Et puis Poutine, ça rime avec Staline : le Poutine, y serait pas un peu partageux, des fois ?

    Paraît qu’il est comme de Gaulle : il sert d’abord les intérêts de son pays. Avant ceux des riches !

    Un monstre, j’vous dit !



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 31 juillet 2014 08:48

    Une panne géante d’électricité. Retourner à la bougie. Le rêve !



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 17 juillet 2014 08:17

    Michel Serres, philosophe ? 

    A peine un chien de garde.
    Difficile de trouver plus niais.


  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 5 juillet 2014 23:55
    Votre tribune est intéressante, mais vous n’embrassez qu’une part du réel.

    Dans la crise du monde contemporain, il y a probablement plus de réponses à trouver chez Proudhon que chez Marx. 

    Nous faisons face au problème suivant :

    1 - La répartition de la richesse est de plus en plus inégalitaire.

    2 - La production de richesse stagne ou décroit, conséquence du point 1.
    (pas besoin de se plonger dans des équations, tout le monde comprend que le millionnaire ne peut pas manger 2 000 pizzas à chaque repas, acheter 200 Frigidaires, ou utiliser 20 voitures à la fois).

    Les économistes honnêtes, et il en reste (Sapir, Lordon, etc...), cherchent à résoudre le point 2 en proposant de corriger le point 1, afin que nous consommions par exemple plus de pizzas, de frigidaires et de voitures, mais aussi que nous soyons de plus en plus nombreux, suivant l’axiome : « Plus, c’est mieux ».

    Problème : la planète ne peut pas supporter le niveau de production actuel de pizzas, de frigidaires, de voitures, et encore moins une augmentation de cette production. Pas besoin d’équations là non plus, il suffit d’ouvrir les yeux. On en arrive donc au point 3 :

    3 - Il faut que la production stagne ou régresse, c’est un impératif de survie de l’espèce.

    Nous allons donc devoir changer de modèle, nous détacher de l’avoir, pour nous focaliser sur l’être. Et voici que Proudhon, qui apparaissait complètement dépassé au XXème siècle, redevient pertinent (Piketty, on s’en fout, pas besoin de statistiques fouillées pour constater que les inégalités de patrimoine et de revenu ont explosé depuis 30 ans, il suffit d’ouvrir les yeux).