Il y a un rapport c’est la question de l’eau, monopolisée en grande partie par Israël, éventuellement pour des piscines et des golfs, pompant la nappe et bénéficiant des pentes naturelles, alors qu’à coté il n’y a pas le minimum vital.
Il a aussi des groupes juifs qui se sont rapprochés d’Hitler, dans une même perspective de politique réaliste, et dans les armées alliées au Moyen-Orient il y avait pas mal d’Arabes et de Palestiniens.
@S. Lampion
J’ai découvert pas mal d’autres cultures, je visais seulement le western qui est devenu un incontournable lié à l’américanisation.
Donc la culture du Western, tout le monde connait, mieux que les histoires locales, je discutais avec un ami sur la possibilité analogue des Chinois de nous « inonder » pareillement avec leurs histoires d’empereurs, d’anecdotes historiques...Il pensait que non, parce que la censure interdisait le traitement de certains sujets, mais je suis plus réservé car ils ont des moyens comparables à Hollywood, des acteurs, des scénaristes, ils savent mêler les contextes culturels et les mondialiser. Il y a bien eu la vague Kung Fu.
Economiquement et culturellement ils bénéficient des économies d’échelle, un produit est vite amorti, tandis que par ex les livres des pays européens restent souvent connus uniquement dans leurs pays, même des livres très diffusés, on pourrait parier sur la francophonie, mais les pays africains ou arabes concernés ont très peu de librairies ou de médiathèques
Le livre de Régis Debray « Civilisation, comment nous sommes devenus américains » est intéressant à lire pour comprendre le phénomène, il utilise aussi avec humour pas mal de termes et d’expressions US.
en fait je pensais à une série d’articles qui reprenaient des sujets à la mode dans les médias US, et les mots anglais rapportés en France étaient censés nous apprendre quelque chose de nouveau, comme par exemple quelqu’un qui boude, ou qui « efface » une autre personne, mais tout ceci existait déjà dans les caractères du théâtre ou de la littérature, la seule nouveauté était que cela se passait dans les réseaux sociaux et que c’était des noms anglais, ce qui faisait plus branché.
C’est la très vieille histoire des singes mécontents :
Pourquoi toujours expliquer par des termes anglais des comportements psychologiques qui étaient déjà connus ?
Est ce qu’on a l’impression de mieux comprendre ?
Donc il y avait une culture populaire qui est nommée un peu péjorativement du moins en français « folklore », culture liée aux langues régionales, l’enseignement obligatoire a fait disparaitre ces langues, le français a été imposé comme seule langue d’enseignement, le latin et le grec étaient enseignés dans le secondaire, mais la majorité de la population n’avait accès qu’à l’école primaire, le latin était connu par la religion, mais mal connu sauf par les religieux, ensuite lorsque l’enseignement secondaire s’est généralisé pendant un certain temps les classes « classiques » avaient le latin et le grec, mais pas les classes « modernes » on ne pensait pas pour autant qu’elles étaient défavorisées ou du moins ce n’était pas un problème puisque en contrepartie, elles offraient un enseignement plus poussé qu’auparavant aux classes populaires.
Donc il me semble que le latin ou le grec ne concernerait qu’une petite frange, mais le problème est que le temps d’enseignement est limité, si vous ajoutes des heures de telle matière vous enlevez des heures à telle autre, l’art, telle langue importante, le sport etc
@Decouz
Elles étaient réellement la culture des gens et on les a fait disparaitre, alors que le latin et le grec ne concernaient qu’une élite.
@rosemar
Si mais alors pourquoi ne demandez vous pas avec autant d’insistance l’enseignement de l’occitan et des autres langues régionales qui ont été quasiment interdites par l’enseignement officiel à une époque et qui ne subsistent plus que par la passion d’un petit nombre ?
Croire que seuls le latin et le grec puissent apprendre à penser... il vaut mieux apprendre des langues plus éloignées avec des schémas mentaux différents qui donnent une plus grande ouverture d’esprit.
Vous avez raison de préciser pour « crypter », un cryptage au sens de code secret ne change pas le contenu, on peut crypter un mode d’emploi d’appareil ménager ou autre, il n’y a pas de déplacement de sens, il est autrement pas ex dans un roman à clé, où il y a un déplacement horizontal, je raconte ceci, mais je vise autre chose, ou dans le symbolisme, déplacement vertical, tel objet désigne telle idée.
Staune se démarque à la fois de la position de l’Eglise catholique et de celle des critiques précédentes, comme celles des Protestants, pour lui Jean le disciple bien aimé a bien existé comme personnage et comme évangéliste, son texte n’est pas (uniquement) la transmission de l’héritage et de la foi d’une des églises et il est distinct de Jean Fils de Zébédée.
Il y a aussi la question du nombre d’apôtres, car le nom « apôtre » est utilisé pour des personnages qui n’ont pas côtoyé physiquement le Christ, comme St Paul, mais des personnages comme Joseph d’Arimathie qui étaient très certainement des disciples ne sont pas nommés comme tels, une des conclusions possibles serait que ceux qui sont nommés apôtres ne sont pas des intellectuels ou des Juifs érudits, parmi lesquels il y avait des partisans de Jésus, mais principalement des gens du peuple non instruits.
sur l’identité réelle de Jean Evangéliste :
http://www.jeanstaune.fr/evangile-de-jean.html
Déjà auparavant il n’y avait pas d’unanimité sur la similitude entre Jean Fils de Zébédée et Jean Evangéliste.
Le travail de Staune n’a pas convaincu tout le monde pour autant malgré la densité et la précision des arguments :
@ddacoudre
La Bible était cryptée, mais le cryptage reposait en grande partie sur ce qui est appelé en islam « la science des lettres » dans laquelle les lettres (et les nombres qui y sont étroitement liés) ont une valeur synthétique, on peut dire hiéroglyphique, donc l’interprétation ésotérique repose en grande partie sur la forme extérieure même du texte, qui est réputé être au moins en partie révélé, dès lors que l’on traduit et que l’on change de modèle culturel, cette interprétation ne peut plus se faire, la base ayant disparue, des pans entiers (la cosmologie, le rapport macrocosme/microcosme) disparaissent du même coup et sont remplacés par une interprétation à la fois moralisatrice et héllénisante, éloignée de l’esprit sémite.
J’ai entendu M.Attal dire que l’école serait « la mère des batailles », il y a des discussions sur l’origine de l’expression, elle pourrait venir d’un modèle arabe, Saddham Hussein l’avait employée, elle aurait aussi servi à désigner la bataille de Verdun.
Remarque : il était déjà ministre de l’Education, et il ne lui reste que quelques années dans le meilleur des cas pour améliorer une situation qui empire depuis des decennies.
-J’entends dire « j’assume » tel choix (de ministre), heureusement non ? Le contraire serait étonnant heu je ne suis pas sur, c’est juste un essai...
@Decouz
on en donne même plus des coups
Je vous mets les références :
https://ribateditions.com/produit/biographie-khalid-ibn-walid
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