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Les commentaires de PELLEN



  • PELLEN PELLEN 19 mai 2007 10:28

    Pour saisir les tribunaux, encore faut-il que des victimes soient identifiées et le délit constitué. Je vous mets au défi de trouver la moindre trace des uns et de l’autre, en France et dans les grands pays nucléaires. Vous ne trouverez jamais de victime des déchets nucléaires car il n’y en aura quasiment jamais. Ce qui n’est le cas ni du gaz, ni du charbon, ni de la pétrochimie, ni de toutes les activités domestiques et industrielles. La gestion des déchets nucléaires est, au contraire, hautement exemplaire et la société devrait s’en inspirer pour gérer l’ensemble de ses déchets, notamment chimiques dont la toxicité est éternelles et la traçabilité inexistante.

    Quant à la radiotoxicité, je vous conseille de vous documenter avant de parler d’un sujet dont vous ignorez manifestement tout. Ne vous en déplaise, la radiotoxicité d’un radioélément est d’autant moins importante que sa durée de vie est élevée. C’est tellement vrai qu’en situations accidentelles les dispositions de prévention sanitaires se préoccupent prioritairement de la protection contre les radioéléments à vie courte, comme l’iode 131 (période de 1/2 vie de 8 jours), très logiquement susceptibles de libérer beaucoup d’énergie en peu de temps dans la matière vivante. Savez-vous que l’essentiel de la radioactivité naturelle du corps humain (près de 10000 Bq) est due au potassium 40 dont la période de 1/2 vie est... d’un milliard d’années. Quelle horreur !

    André Pellen



  • PELLEN PELLEN 19 mai 2007 09:50

    Au tout début des années 60, la Corée du Sud était un pays sous-développé. Elle affiche aujourd’hui un PIB supérieur à celui de la France, concurrence le Japon et s’impose comme l’un des 4 ou 5 dragons promettant de dominer l’économie mondiale avant le milieu du siècle. Je suis effaré de constater à quel point une idéologie de type New Age - vague résurgence du pathétique mouvement hippie des années 70 - vous aveugle au point de vous empêcher de voir toutes les « Corée du Sud » en puissance se disposant à dépecer un ordre économique occidental qui vous garantit encore - pour combien de temps ? - une retraite du loisir.

    Sans surprise, vous condamnez en bloc un progrès technologique galopant, au simple motif que ses innombrables fruits échappent à votre entendement et à celui de vos pareils. Pourtant, vous semblez très bien vous accommoder de l’usage d’un Chat internet pratiqué sans modération... à la seule condition toutefois de proscrire le recours à la WiFi !

    Une simple question : en l’absence de toutes ces technologies énergétiques et de service, dont vous souhaitez débarrasser l’Humanité, avec quoi pensez vous que la société pastorale appelée de vos vœux fera vivre les quelque 12 milliards d’individus dont Zigler et la FAO prétendent la viabilité sur notre planète ?... La viabilité avec notre niveau de vie, s’entend !

    André PELLEN



  • PELLEN PELLEN 18 mai 2007 19:14

    De grâce, cher Monsieur, ne vous laissez pas abuser par la propagande de « Sortir du Nucléaire » et/ou de Greenpeace ! La réalité de ce prétendu pic d’uranium est la suivante.

    Les réserves avérées d’uranium naturel sont de 4 à 6 millions de tonnes et les spéculatives de 16 à 20 millions de tonnes. Au taux de consommation des réacteurs existants dont le nombre ne croîtrait plus, mais que l’on renouvellerait systématiquement, ces réserves représentent 300 ans de consommation. Une multiplication par 8 de leur nombre - un minimum pour faire face à l’accroissement prévisible de la consommation -, d’ici à 2050, épuiserait, en effet, ces réserves aux alentours de 2070.

    Oui mais voilà, si l’on fait appel à la régénération pouvant indifféremment brûler de l’uranium et un thorium en très grande quantité sur la planète, ces réserves sont tout à coup multipliées par 200 et par un facteur beaucoup plus important si l’on fait appel à la surgénération. Parmi les réacteurs correspondants - classés dans une 4 ème génération de science fiction dans la conscience collective - il en est un que la France exploitait avec 30 ans d’avance : le surgénérateur SuperPhénix qu’un pouvoir politique éclairé a tout bonnement envoyé à la casse aux frais du contribuables... Facture finale proche de 20 milliards d’euros !

    Une majoration du financement des 300 REP d’au moins 25 % pour démantèlement ? Vous avez probablement accès à des chiffres qu’EDF elle-même ne connaît pas encore. Mais, peu importe : même en y incluant ce supplément, il est incontestable que le prix de revient du kw.h nucléaire est le moins cher de tous ; et le provisionnement pour démantèlement est bel et bien inclus dans ce prix ! Alors je vous pose la question : si la capacité de production de ces 300 réacteurs s’avérait néanmoins requise, dans quel autre outil de production, forcément plus cher, proposez-vous à nos compatriotes d’investir ?

    Pour le reste, la tonalité de votre discours me désole. Ce sont des considérations philosophiques que seuls les riches peuvent se payer, bien entendu, en ne les faisant suivre d’aucune résolution pratique concrète. Vous dites ne pas vous résigner et ne pas accepter le fatalisme. Soit. Qu’allez-vous faire concrètement... personnellement ? Je vous propose de tenir votre discours aux Indonésiens, aux Indiens, aux Chinois et même aux Brésiliens.

    Lorsque la guerre vous est déclarée, il ne sert plus à rien d’en déplorer le caractère ignoble : il faut la faire ou mourir. Et je ne veux pas que mes enfants et mes petits-enfants meurent, ni même qu’ils deviennent les vassaux d’un nouveau pouvoir économique mondial, asiatique.

    André Pellen



  • PELLEN PELLEN 17 mai 2007 18:17

    J’adhère sans réserve à la thèse que vous développez et qui me semble pouvoir se résumer au constat effrayant suivant : il existe sur Terre deux entités vivantes d’intelligence supérieure désormais distinctes, l’Homo Sapien... et le corps social humain. Je dis distinctes parce qu’il est hélas incontestable que la dernière entité a fini par prendre une totale autonomie, par rapport à la première, et que l’antagonisme entre les deux ne cesse de s’amplifier. Le drame c’est que le potentiel cérébral du corps social est sans commune mesure avec celui de l’Homo Sapien.

    Le problème pour nous, individus contemporains, c’est qu’à échelle humaine - une à deux générations tout au plus - nous avons d’énormes (et triviales !) responsabilités de subsistance vis-à-vis de nos enfants et petits-enfants et que ce n’est pas leur rendre service que de céder à une démagogie spéculative confinant de plus en plus à l’extravagance. Cette démagogie suscite légitimement l’indignation lorsqu’on observe qu’elle est le fonds de commerce de mouvements partisans, dont les promoteurs savent n’avoir pas à assumer des conséquences susceptibles, à moyen terme, de s’avérer désastreuses ; trop conscients qu’ils sont des protections socio-économiques dont il jouiront longtemps encore.

    Imagine-t-on, un jour, la comparution de Dominique Voynet et de Lionel Jospin, pour trahison des intérêts supérieurs de la Nation, lorsqu’on se rendra compte que leur gouvernement a délibérément envoyé, à grands frais, à la casse un précieux réacteur... de 4ème génération ?

    Quant à la question de savoir si l’Humanité sera toujours capable de dégager les richesses nécessaires à la traduction industrielle du développement exponentiel de l’innovation technologique, je pense qu’elle le pourra tant qu’elle disposera de richesses primaires suffisantes. Car la civilisation humaine est un organisme complexe dont la nourriture de son vorace développement n’est autre que son propre berceau... Et comme, jusqu’à plus ample informé, nous n’avons pas de berceau - de garde manger ! - de rechange, eu égard à nos sombres spéculations d’avenir , je ne vois qu’une drastique maîtrise de la démographie pour tenter de faire durer le règne du genre humain.

    Bien cordialement,

    André PELLEN



  • PELLEN PELLEN 17 mai 2007 15:54

    Il y a quelque chose de surréaliste dans l’obstination de la mouvance écolo-politique - à laquelle vous semblez appartenir - non seulement à nier une réalité manifeste, mais à se penser en prescripteur universel exclusif des bonnes et des mauvaises pratiques existentielles de l’Humanité. Heureusement, l’opinion semble de plus en plus sensible à l’indécence de cette liturgie émanant d’une classe occidentale, somme toute très protégée, se permettant d’inviter le monde à une ascèse généralisée.

    L’autre classe occidentale, dont le niveau de vie résulte directement du régime moteur de l’activité marchande, la méconnaît superbement et, davantage encore, ces multitudes africaines, sud-américaines et asiatiques mettant aujourd’hui les bouchées doubles à sortir du sous-développement. Car, l’une et les autres attendent la démonstration du distingué Benjamin Dessus que l’accroissement hautement souhaitable de l’efficacité énergétique puisse un jour être en mesure de désolidariser la croissance économique de l’accroissement de la consommation énergétique.

    Au demeurant, rien n’empêche les promoteurs de l’auto-modération de cette consommation de se l’imposer, sans attendre les gains de ladite efficacité dont, au passage, le coût ne manquera pas d’être très élevé pour la collectivité. Ils pourraient, par exemple, limiter significativement l’usage par trop intensif de leur ordinateur, en réduisant fortement la pratique d’un « Chat » que d’aucun jugent excessif et largement superfétatoire... Reste à savoir ce qu’en pense l’équipe d’Agoravox, dont le métier n’existait pas voilà seulement 10 ans, dont le métier ne pourrait en aucune manière exister sous un régime de disette électrique.

    Je note, en tout cas, que vous ne semblez pas indisposé par la remise en cause directe de l’arrêté Cochet. Je m’en réjouis et ne suis probablement pas le seul en France. Aussi, Alain Juppé doit-il désormais savoir la résolution de nombre de ses compatriotes à s’affranchir de l’impôt injustifiable dont cet arrêté dissimule le drainage.

    Quitte à froisser nos partenaires communautaires - allemands, danois et espagnols, en particulier -, ils feront tout pour convaincre le nouveau super-ministre d’en tirer des conséquences conformes à l’intérêt national. En tout état de cause, cet arrêté ne peut rester en l’état.

    André PELLEN



  • PELLEN PELLEN 15 avril 2007 09:39

    La réponse ci-après s’adresse à ce monsieur DECURION qui dit ceci : " Et que pourriez vous, monsieur, nous apprendre sur Tchernobyl, que nous ignorerions ? Au delà du nucléaire, le probleme, c’est l’homme.

    Que je sache, à tchernobyl, les responsables, n’étaient pas des pékins inexpérimentés, mais bien des personnes formés. Celà n’a pas empeché l’explosion du réacteur N° 4. Aprés l’accident, les crème de l’élite soviétique s’est trouvé démuni, désemparé, réduite à balancer des billes de plomb sur la fournaise.

    Que le nucléaire puisse etre maitrisé, c’est possible, il n’en demeure pas moins, que si l’homme n’est pas fiable, celà restera dangereux.

    Dans le fond, que vous ayez raison ou non, importe peu. Ce qui compte, c’est ce que les citoyens voudront, et pour moi, vos certitudes m’inquiètent bien plus qu’elles ne me rassurent."

    Dans ces conditions, on se demande bien pourquoi vous acceptez de prendre l’avion ! Sachez que, pour moi, les certitudes professionnelles de l’équipage me rassurent infiniment plus que leurs hésitations, tatonnements ou doutes. André PELLEN



  • PELLEN PELLEN 14 avril 2007 08:53

    C’est précisément là qu’il faut le mettre en priorité. D’abord pour montrer aux innombrables Français qui se sont laisser séduire - sans grande résistance, il faut bien le reconnaître - par les sirènes de « Sortir du Nucléaire », qu’il existe, dans ce pays, beaucoup de citoyens modestes qui relèvent la tête, commencent à se structurer et à tenter de démystifier une propagande dont on s’irrite de se la voir assénée par une organisation aux effectifs milititants et aux ressources surprenantes, transnationale - disons étrangère - de surcroît ! Ensuite, pour dire à ces organisations qu’elles vont désormais trouver sur leur chemin à qui parler. Bien cordialement. André PELLEN.



  • PELLEN PELLEN 14 avril 2007 03:47

    Cher Monsieur Lhomme, Je vous remercie de confirmer - ô combien maladroitement ! - ce que j’affirme implicitement. À savoir que, si la puissance électrique mondiale fournie par le charbon était remplacée par une puissance nucléaire, nous économiserions d’innombrables vies humaines. Pour s’en convaincre, il suffit de considérer les chiffres suivants : pour produire 10 TW.h électriques, il suffit des 9/10 d’une charge combustible (uranium) d’un réacteur N4... ou brûler 3,5 millions de tonnes de charbon ! Au passage, merci pour la planète... Quant à votre affirmation, comme toujours gratuite, selon laquelle on mourrait autant, sinon plus, dans les mines d’uranium que dans celles de charbon, je vous mets au défi, devant nos lecteurs, de prouver ce que vous avancez : en la matière, les statistiques australiennes, canadiennes, nigérianes et même algériennes sont largement accessibles... allez-y, ne vous gênez pas... Par ailleurs, vous me fournissez enfin l’occasion de fustiger, comme il se doit, le raisonnement puéril consistant à dire que, du moment que le nucléaire ne représente que 6,8 % de l’énergie consommée dans le monde (17 % de l’électricité) - et non les 2 % que vous aimez lancer à la cantonnade -, ce nucléaire n’a pas d’avenir. C’est exactement le raisonnement que tenaient tous les cochets de France et de Navarre dans la 2ème moitié du 19ème siècle, pendant laquelle le train a éprouvé le plus grand mal à s’imposer. On connait la suite : le TGV - électrique ! - vient de dépasser les 570 km/h... Affligeant ! De toute façon, voulez-vous, une fois de plus, que nous prenions les paris sur l’avenir de l’électronucléaire, devant les lecteurs d’Agoravox ? Inutile de se donner RV dans 10 ans : je prends le pari que la Suisse et l’Allemagne vont renouer, au moins partiellement, avec le nucléaire dans les toutes prochaines années. De plus, il va sûrement vous être très désagréable de voir le maghreb, l’Egypte, le Canada, les Etats-Unis, le Brésil et même la Namibie les devancer... et je ne vous parle pas de la Chine et de l’Inde. Claude Mandil n’a sûrement pas dit que, pour renouveler le parc mondial de centrales nucléaires, il comptait sur les éoliennes. Car, à raison de 4000 à 5000 éoliennes (de 180 mètres de haut) équivalent EPR, je laisse deviner à nos lecteurs l’aspect des paysages du futur que vous voulez nous réserver ! Une liste des conditions à remplir par le nucléaire français pour être acceptable ? Mais qu’avez-vous à lui reprocher, depuis 40 ans, dans notre pays ? Pas le moindre blessé, pas la moindre pollution, une production de richesse nationale incomparable : vous ne manquez pas de culot. Pour le reste, les commentaires sont inutiles... Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose. Vous ne laisserez pas une trace bien glorieuse dans l’Histoire de notre pays. André PELLEN.



  • PELLEN PELLEN 14 avril 2007 02:38

    Il vous est loisible de vérifier que, jusqu’ici, le Pr Pellerin a gagné tous ses procès, en première instance, appel et cassation. Les condamnés ont été messieurs Mamère, Jacquemin et, indirectement, madame Rivasi. Voulez-vous que nous prenions les paris sur l’issue du procès en cours ? Je suis prêt à mettre beaucoup d’argent sur la table ! Et pourtant, croyez-moi, d’une pierre ce procès devrait faire au moins implicitement deux coups : laver le professeur de ses accusations et, surtout, faire un sort définitif à la pitoyable mascarade du nuage, depuis 20 ans, fond de commerce de la CRIIRAD et de « Sortir du Nucléaire ». Quant aux avortements provoqués dans certains pays - Pologne, Grèce et Allemagne notamment - par la terreur verte - le terme est approprié -, je confirme. Les études sur le sujet sont fragmentaires et contradictoires, mais on peut sans risque avancer le nombre de plusieurs milliers. Des amis, plus au fait que moi sur ce point, ne manqueront pas d’apporter de précieuses précisions. André PELLEN



  • PELLEN PELLEN 12 avril 2007 20:55

    La plus élémentaire mesure de prudence permettant d’éviter de s’exposer au ridicule devant nombre de ses compatriotes est de s’enquérir de la qualité professionnelle de son contradicteur et, surtout, d’éviter de se répandre en grotesques considérations aux prétentions scientifiques. Il se trouve que je suis l’auteur d’une étude technique très spécifique sur l’influence de la production éolienne sur le réseau électrique national et, surtout, sur la conduite du système « production-consommation » européen. Je vous engage à la consulter sur le site de l’association « SAUVONS LE CLIMAT », au lien http://www.sauvonsleclimat.org/, en sélectionnant la rubrique « DOCUMENTS » puis le thème « LES SOURCES D’ENERGIES »... Mais je ne suis pas sûr que vous y comprendrez grand chose. André PELLEN



  • PELLEN PELLEN 12 avril 2007 13:10

    Vous ne pouvez imaginer à quel point votre réaction fait plaisir aux Français - bien plus nombreux qu’on ne le croit, mais hélas trop silencieux - que mon article représente. Pour prolonger votre réquisitoire, nos lecteurs doivent savoir que le principal crime perpétré par les Verts, contre la Nation, est certainement d’avoir sabordé un joyau industriel de la technologie française : le surgénérateur SuperPhénix. Les médias traditionnels se garderont bien de vous dire que cette magouille politicienne inqualifiable va se traduire par une perte sèche - une de plus ! - de quelque 20 milliards d’euros pour le consommateur et contribuable. Dans le sillage de Nicolas Hulot, ces mêmes médias se garderont bien de vous dire que les réacteurs de 4ème génération - alibi anti-EPR brandi à tout bout de champ - sont avant-tout 4 surgénérateurs, dont l’un n’est autre que la version améliorée de SuperPhénix. Cet Ariane de l’industrie énergétique française, capable de brûler l’essentiel de ses propres déchets, conférait à notre technologie 20 à 30 ans d’avance sur le reste du monde ; avance génératrice de richesses et d’emplois considérables. Ceux qui vous disent que, dans les temps agités qui s’annoncent, on pourra se passer de nucléaire ne mesurent la portée désastreuse de leur mensonge. Comme ils ne mesurent pas - à commencer par Nicolas Hulot - la portée du mensonge consistant à affirmer que l’accès aux réacteurs de 4ème génération ne nécessite pas le passage par l’EPR. Pour fonctionner, chacun de ces réacteurs-surgénérateurs a besoin d’une charge de quelque 10 tonnes de Plutonium que les réacteurs actuels (à renouveler sous 10 à 15 ans) devront préalablement produire sur deux ou trois décennies. Donc, qui prétend vouloir les « génération4 » doit exiger la construction de l’EPR. Nous sommes quelques-uns à attendre de pied ferme la contestation argumentée de tout ce qui précède. André PELLEN