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Les commentaires de Serge ULESKI



  • Le spectacle bien sûr !

    Pourquoi pas...

    Si seulement il n’était pas urgent d’avancer tous ensemble...



  • Sorel pense que l’intégration c’est le problème des Français issus de l’immigration et/ou du colonialisme seuls et seulement ; et non celui des Français de souche et de la République.

    Bouteldja pense que c’est le problème de la République seule et certainement pas celui des Français issus de l’immigration et/ou du colonialisme.
     
    On n’avancera ni avec l’une ni avec l’autre. Toutes deux se trompent de diagnostics quant aux réalités sociales et culturelles de la France.



  • Je reformule : "Est-il nécessaire de rappeler que toutes les sociétés, toutes les cultures, toutes les nations, sur tous les continents et de tout temps, rencontrent un jour, au cours de leur histoire, l’homophobie, la xénophobie, le racisme, le machisme, l’antisémitisme, le sexisme, la discrimination, l’injustice, et ce à des degrés divers ?

    _____

    Nouvelle version de cet article finalisée à l’adresse suivante : http://sergeuleski.blogs.nouvelobs.com/

    cordialement.



  • Sorel est dans le refoulement et Bouteldja dans le défoulement, toutes les deux à l’excès.

    On n’avancera ni avec l’une ni avec l’autre.



  • Sans doute Monsieur Raoult a-t-il besoin d’exister. Homme sans talent et sans qualités, toujours à court d’imagination, privé de « destin national », ne pouvant guère espérer en politique... au mieux qu’un mandat de maire, dans les faits, Monsieur Raoult travaille jour après jour à sa ré-élection comme Maire du Raincy - commune propre et calme, certes ! mais sans envergure, à l’image de son maire -, en flattant les penchants xénophobes de ses électeurs (et de tout électeur ? parce que... humain, bien trop humain ce penchant ?).

    Sans oublier la flagornerie auprès de Sarkozy, sans doute dans l’espoir d’une nomination à un poste de ministre…

    En politique, Raoult est un homme sans courage et sans honneur.



  • Comment ça ?! Vous dites ?!

     

    Faudrait extrader Polanski 

    vers les Etats-Unis ?!

     

     

    Non mais… vous êtes fous ou quoi ?!

     

    D’abord, c’était il y a longtemps ; et puis, que celui qui n’a jamais violé qui que ce soit (ou qui que ce fût… pour peu qu’il ou elle soit encore en vie)  lui jette la première pierre et…

     

    Aïe !

     

     Zut alors ! Je savais pas qu’ils étaient aussi nombreux ! Ca tombe et ça pleut de partout !

     

    Vite ! A l’abri !

     

        _____________________

     

     

    Et notre ministre de la culture

     

    de déclarer, lui qui ne souhaitait manifestement pas être en reste..

     - tout de suite après un Costa-Gavras (vive la gauche !) qui a décidé, tout seul dans son coin, qu’il n’y avait jamais eu viol -, peu de temps avant BHL et ce qu’il qualifia « d’erreur de jeunesse » de Polanski... 

    Frédéric Mitterrand donc... de nous faire savoir, avec des trémolos dans la voix : « Si en France le monde de la culture ne soutenait pas Polanski, ça voudrait dire qu’il n’y a plus de culture dans notre pays ».

     

    Dieu ! Que l’intelligence est difficile et rare ! Et la connerie accessible à tous, ministre ou pas.

     

     



  •  



    L’attitude des parties civiles et des avocats de la famille Halimi ne fait pas exception dans un procès d’Assises dont les jugements sont chaque jour davantage, verdict après verdict, violemment contestés par ceux qui peuvent être directement ou indirectement concernés par les peines prononcées (les coupables, les victimes et leur proche).

    Pensons, à titre d’exemple -, aux procès autour « des tournantes » ou d’autres affaires touchant « les banlieues » ; au cours du procès du « Gang des barbares », on a pu retrouver cette même contestation et cette même violence, jusqu’à l’insulte à l’encontre des avocats de la défense ; et nombreux sont ceux qui ont ouvertement désiré la peine de mort ou la perpétuité pour tous les protagonistes (ils se sentaient liés à la famille de la victime du seul fait d’appartenir à la même communauté), et ce sans tenir compte de l’implication et de la responsabilité de chacun d’entre eux.

    Il serait bon de mentionner tous ceux qui ont entouré ce procès à des fins de vampirisation : identifications communautaire, religieuse, ethnique mâtinées d’idéologie et de politique : sionisme/anti-sionisme, racisme/anti-racisme, juifs/arabes, judaïsme/islam - sujets autour desquels des conflits tantôt larvés tantôt manifestes prospèrent dans une complète ignorance d’une grande partie de la société française.

    D’aucuns au moment de ce procès se sont revendiqués comme «  militant juif  »  ! Qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire  ? D’autres encore, sur le net, n’ont pas cessé de mettre l’accent sur le fait suivant : «   … un juif c’est sacré ! Quiconque s’avise de lui ôter la vie n’a qu’un droit  : celui de mourir… et les complices aussi !  » Ou bien encore, une fois les verdicts rendus : «  On veut un autre procès. On veut que les coupables aient les peines qu’ils méritent.  »

    Comportement à la racine duquel on trouvera une exacerbation identitaire longuement murie, cajolée et entretenue, ainsi que l’ abandon, de la part des élites intellectuelles concernées par cette identité, de leur rôle émancipateur (1) au profit d’un tutorat vague et mou, démagogique et complaisant, ou bien, parfois, franchement communautariste  ; exacerbation dont personne n’a souhaité mesurer et interroger, au fil des ans, le caractère dommageable pour notre société et pour les intéressés eux-mêmes : frustrations sans nombre face à la réalité « nationale » qui, elle, ne tiendra pas compte des particularismes communautaires, comme il nous a été donné de le voir à l’occasion d’un procès dont le jury populaire qui s’est bien gardé de rendre un verdict d’exception.

     
    1 - l’Homme sera toujours plus que ce qu’il croit savoir sur lui-même qui n’est  - le plus souvent -, que ce que l’on a daigné lui enseigner ou bien, ce qu’on lui a laissé espérer... pour lui-même.

    Sûrement, une mauvaise nouvelle cette contestation violente et récurrente, sinon systématique, sur des bases soit ethnique, soit sociale ou micro-géographique (le quartier, la cité) ! Car, c’est bien d’une recherche d’impunité dont il est question, là, des deux côtés ; pour ce qui est des victimes, à titre d’exemple : grande est la tentation d’exclure le droit pour mieux passer outre cette figure tutélaire et contraignante qu’est l’institution judiciaire.

    Manifestement, tous les moyens sont bons quand il s’agit de discréditer toute personne ayant «  concouru  » de près ou de loin, à ce qu’on estime être «  une parodie de justice  ».

     

     




  • L’attitude des parties civiles et des avocats de la famille Halimi ne fait pas exception dans un procès d’Assises dont les jugements sont chaque jour davantage, verdict après verdict, violemment contestés par ceux qui peuvent être directement ou indirectement concernés par les peines prononcées (les coupables, les victimes et leur proche).

    Pensons, à titre d’exemple -, aux procès autour « des tournantes » ou d’autres affaires touchant « les banlieues » ; au cours du procès du « Gang des barbares », on a pu retrouver cette même contestation et cette même violence, jusqu’à l’insulte à l’encontre des avocats de la défense ; et nombreux sont ceux qui ont ouvertement désiré la peine de mort ou la perpétuité pour tous les protagonistes (ils se sentaient liés à la famille de la victime du seul fait d’appartenir à la même communauté), et ce sans tenir compte de l’implication et de la responsabilité de chacun d’entre eux.

    Il serait bon de mentionner tous ceux qui ont entouré ce procès à des fins de vampirisation : identifications communautaire, religieuse, ethnique mâtinées d’idéologie et de politique : sionisme/anti-sionisme, racisme/anti-racisme, juifs/arabes, judaïsme/islam - sujets autour desquels des conflits tantôt larvés tantôt manifestes prospèrent dans une complète ignorance d’une grande partie de la société française.

    D’aucuns au moment de ce procès se sont revendiqués comme « militant juif »  ! Qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire ? D’autres encore, sur le net, n’ont pas cessé de mettre l’accent sur le fait suivant : « … un juif c’est sacré ! Quiconque s’avise de lui ôter la vie n’a qu’un droit  : celui de mourir… et les complices aussi ! » Ou bien encore, une fois les verdicts tombés : « On veut un autre procès. On veut que les coupables aient les peines qu’ils méritent. »

    Comportement à la racine duquel on trouvera une exacerbation identitaire longuement murie, cajolée et entretenue, ainsi que l’ abandon, de la part des élites intellectuelles concernées par cette identité, de leur rôle émancipateur (1) au profit d’un tutorat vague et mou, démagogique et complaisant, ou bien, parfois, franchement communautariste ; exacerbation dont personne n’a souhaité mesurer et interroger, au fil des ans, le caractère dommageable pour notre société et pour les intéressés eux-mêmes : frustrations sans nombre face à la réalité « nationale » qui, elle, ne tiendra pas compte des particularismes communautaires, comme il nous a été donné de le voir à l’occasion d’un procès dont le jury populaire qui s’est bien gardé de rendre un verdict d’exception.

     
    1 - l’Homme sera toujours plus que ce qu’il croit savoir sur lui-même qui n’est  - le plus souvent -, que ce que l’on a daigné lui enseigner ou bien, ce qu’on lui a laissé espérer... pour lui-même.

    Sûrement, une mauvaise nouvelle cette contestation violente et récurrente, sinon systématique, sur des bases soit ethnique, soit sociale ou micro-géographique (le quartier, la cité) ! Car, c’est bien d’une recherche d’impunité dont il est question, là, des deux côtés ; pour ce qui est des victimes, à titre d’exemple : grande est la tentation d’exclure le droit pour mieux passer outre cette figure tutélaire et contraignante qu’est l’institution judiciaire.

    Manifestement, tous les moyens sont bons quand il s’agit de discréditer toute personne ayant « concouru » à ce qu’on estime être « une parodie de justice ».

     

     



  • Non mais... sur AV, ils sont tous comme ça quand ils sont comme ça ?



  • « Quand vous aurez l’occasion, ne manquez pas de nous expliquer en quoi la politique étrangère de la France est responsable du crime horrible commis par le gang barbare de Fofana. »

    Non mais, vous êtes vraiment un grand malade (lol) !

    Où est-ce que vous êtes allé chercher ça ?????

    (MDR)



  • Bon d’accord.

    Cela dit, j’ai un post à envoyer ; impossible de le faire ; c’est du HTML qui s’affiche. Si quelqu’un ou quelqu’une peut me dire ce qu’il se passe ?

    Je ne peux plus envoyer de commentaires de plus de deux lignes ; au délà, c’est du HTML qui s’affiche.

    Sabotage ? Censure ? ’(lol)



  • Merci de tenir compte du sujet de mon billet : ce n’est pas le sionisme ni l’anti-sionisme.



  • Monsieur ,

    Vous cessez de prétendre à un dialogue quel qu’il soit lorsque vous insultez ou bien, lorsque vous tentez de nuire à votre interlocuteur en tentant de l’associer à des idées (sanctionnées par loi ou non) qui ne sont pas les siennes.

    Le dialogue,... ça se mérite Monsieur.

    Et dans ce domain- là, vous ne méritez (et vous n’êtes pas le seul sur ce fil) déjà plus grand-chose de ma part.

    __________

    Merci d’aller voir ailleurs si cela se fait de commenter un billet qui n’existe pas.





  • Une question en passant : comment se porte Mediapart ?

    Moi qui n’y suis plus abonné depuis janvier.





  • La presse utilise alternativement les noms « Fofana » ou « Halimi ».

    Tout dépend de la personne que vous souhaitez mettre en avant : l’assassin ou la victime.

    On peut aussi raisonner en ces termes : « l’affaire Halimi ».

    Dans tous les cas...

    Merci d’éviter le procès d’intention à ce sujet car, personne ne sort grandi d’une telle manoeuvre, souvent plus bête que méchante.


    Cordialement
    Serge ULESKI



  • Bon. Puisque vous insistez tant... tous...
    .

    Articles de journalistes avec pour entête : « Procès Halimi »
    .

    http://www.slate.fr/story/4451/proc%C3%A8s-halimi-fofana-et-le-gang-des-barbares

    http://www.slate.fr/story/5151/la-france-black-blanc-beur-dans-le-box


    L’avocat général du procès Halimi défend le verdict

    Samedi 11 juillet, 15h10

    Procès Halimi : une autre victime de Fofana témoigne

    Créé le 18/05/09 - Dernière mise à jour le 19/05/09 à 8h06
    Europe 1

    Alors que le procès du « gang des barbares » est entré dans sa quatrième semaine, la cour d’assises des mineurs de Paris va entendre mardi un témoin particulièrement attendu. Cet homme avait été violemment agressé à peine deux semaines avant Ilan Halimi et dans des conditions similaires. Il s’est confié au micro d’Europe 1.

    ©


    ETC....


  • Vous écrivez : « Donc, on n’aura aucun mal à discerner derrière ce discours confus, une sorte d’antisémitisme latent qui ôte tout crédit à la (pourtant juste) dénonciation de l’instrumentalisation des médias et du pouvoir par les lobbies sionistes.
     »

    ___________


    Monsieur ,

    Vous cessez de prétendre à un dialogue quel qu’il soit lorsque vous insultez ou bien, lorsque vous tentez de nuire à votre interlocuteur en tentant de l’associer à des idées (sanctionnées par loi ou non) qui ne sont pas les siennes.

    Le dialogue,... ça se mérite Monsieur.

    Et dans ce domain- là, vous ne méritez (et vous n’êtes pas le seul sur ce fil) déjà plus grand-chose de ma part.

    __________

    Merci d’aller voir ailleurs si cela se fait de commenter un billet qui n’existe pas.



  • Bravo ! Vous avez gagné. Il s’agit bien d’un poème de Rimbaud : « Foin des bocks et de la limonade... etc...
    Pour info... et dans l’espoir que ceci répondra à votre question...

    ____________

    L’ introduction de mon billet (les dix premières lignes) est à prendre au 2è degré, bien évidemment.

    J’ai pensé aux propos de « café du commerce » au sujet de ce que j’ai pu lire après l’annonce des verdicts du procès Fofana et de ses complices. 

    _________________

    Cordialement
    Serge ULESKI